[ Olanzapine (Zyprexa) ]

Zyprexa (Olanzapine)

Change de psy ^^

Déjà si ce n'est pour la prise en charge qui n'est pas la même pour un bipolaire ce traite avec un thymo-régulateur aidé d'un anti-dépresseur en phase dépressive ou d'un neuroleptique en phase maniaque et d'autres traitement si nécessaire, d'une psycho-éducation mais un neuroleptique tout seul j'ai connu pour un diagnostique similaire à part t'enfermé dans ton monde avec t'es angoisse ça change pas grand chose pour un retour à la vie sociale et active.

J'ai perdu deux ans de ma vie dans ce genre de prise en charge ou devrais-je dire torture mentale.

Pour la schizophrénie je ne peux pas t'aidé mais je pense que tu trouvera bien des infos sur le web

Le poids j'ai connu avec le zyprexa je suis passer de 72kg à 87kg en même pas deux mois dans ce genre de cas même un mauvais psy te l'arrête (taille de pantalon 40 à 46,passe du xl au double xl bonjour la merde pour s'habillé).

A l'arrêt de tout ça je suis redescendu à 77kg sans rien changer.

Il me reste 5kg à perdre avec un bon régime en un ou deux mois c'est jouable.

Je ne suis pas spécialiste mais la majeur partie des calories que l'on ingère pendant la journée servent à maintenir nos fonctions vitales, je pense que les médicaments diminue le métabolisme de base donc à part faire du sport toute la journée on peut pas vraiment lutter contre ça.

Sur mon vélo d'appartement je faisais deux fois 30 minutes par jours à une fréquence cardiaque de 120-140bpm ce qui correspondait théoriquement d'après mon iwatch à 600kcal

bref ça changeait pas grand chose sur la balance

Dernière modification par AlienMaster (15 mars 2018 à  14:52)

Salut,

Il est rare que les psychiatres posent un diagnostic et le partage...

Comme je l'écrivais, les maladies dites psychiatriques sont diffèrentes d'une pathologie ORL.

Il est beaucoup plus compliqué d'être sur de ce qu'on avance et mettre une personne dans une case peut n'être profitable pour personne, ni pour le patient, ni pour l'entourage.

La psychiatrie fait encore peur à l'heure actuelle. C'est également une des raisons pour laquelle ces spécialistes évitent de poser tel ou tel diagnostic.

Ils tentent simplement de stabiliser la personne avec la horde de molécules différentes à sa disposition par rapport au discours qu'elle entretient avec lui.

Le " problème " de la.maladie psy est que la,majorite du temps, le patient ne s'en aperçois pas.

Lors de mon dernier délire paranoïaque, mon discours était tout à fait censé et ma démonstration tenait la route... Mais il ne s'agissait que de la paranoïa... J'avais fabrique une histoire avec quelques exemples et créer une histoire en remplissant les blancs entre les exemples réels ( je n'entre pas dans les détails pour des motifs personnels ).

C'est ma femme ( une des rares personnes en qui j'ai confiance ) qui m'a fait remarqué que mon discours n'allait pas et que j'étais en train de partir en vrille.
C'est d'ailleurs grâce à elle que je peux me passer de neuroleptiques... Elle me regarde et décèle quand je ne vais pas bien et... Je tiens compte de ses paroles.

Seul, je pense que je ne tarderais pas à reprendre un traitement... De ma propre volonté, ou pas.

Par contre, il est inutile d'être en colère parce que la secrétaire médicale respecte le règlement

L'envoi de documents confidentiels comme un dossier médical ne peut pas être envoyé par la Poste au patient par le médecin... C'est au patient à demander à le récupèrer ( envoi en recommandé avec accusé d réception ) sur place ou à le consulter.

Mais généralement les psychiatres restent tres évasifs quand au véritable diagnostic qu'ils envisagent

@ +


Reck.

Je veux pas la vexer en demandant à changer de psychiatre. Je ne sais pas si c'est utile. C'est vrai c'est si bizarre que ça d'avoir comme traitement seulement un neuroleptique ?

La dose en dessous 7,5 mg doit être 5 mg pour l'Olanzapine, n'est-ce pas ? Peut-être que la prochaine fois que je la vois elle voudra bien à nouveau diminuer.

C'est vrai que j'aimerai bien avoir l'avis d'un/une autre professionnel/lle, savoir vraiment si j'ai quelque chose et quoi... C'est compliqué de vivre sans savoir !

Belle soirée à vous.

Diminuer la dose d'Olanzapine tous les mois c'est assez espacé pour un sevrage ? Je veux dire par là si ça se passe bien à 7,5 mg ce mois ci, est-ce que le mois prochain je peux passer à 5 mg ?

Tout à l'heure je pensais communiquer ce topic à ma psychiatre pour qu'elle le lise mais je suis pas sûr que ça soit une bonne idée. Ça doit resté un lieu un peu à "usage privé" enfin je sais pas comment dire. Que pensez-vous de cela ?

Alors Fluche, demandez l'avis d'un/une autre psychiatre je sais pas si je peux car ça fait partie d'un secteur de psychiatrie de l'hôpital. Je consulte gratuitement. Je sais pas si je peux demander à avoir l'avis de quelqu'un d'autre. En même temps pourquoi je ne pourrai pas ? ... Mais comme j'ai dis plus haut ça m'embête car j'ai déjà demandé à changer de psychologue alors si je demande maintenant pour la psychiatre...

Au bout de combien de temps je vais voir s'il y a une différence, si je supporte bien d'avoir diminué la dose ? Pour l'instant je ne vois pas de changement mais c'est sûrement normal puisque c'est récent.

Diminuer tous les mois me semble assez raisonnable pour un sevrage, oui, même si je ne suis pas médecin et que tu devrais avoir confiance en elle ^^ A MON avis, si tu n'as pas confiance il y a un problème dans ta relation avec elle.
Je suppose que c'est par un CMP que tu as ces rdv gratuits ? Est-ce qu'il y a un autre CMP dans ta ville/dans ton secteur ? Sinon, peux-tu avancer l'argent pour consulter un psychiatre de ville ? Et en faisant jouer le tiers payant ? Es-tu en ALD pour ton affection ? De nombreux psychiatres sont conventionnés secteur 1 (sans dépassement d'honoraires), c'est 41,70 € avec 28,19 € remboursés.

Fluche a écrit

Diminuer tous les mois me semble assez raisonnable pour un sevrage, oui, même si je ne suis pas médecin et que tu devrais avoir confiance en elle ^^ A MON avis, si tu n'as pas confiance il y a un problème dans ta relation avec elle.
Je suppose que c'est par un CMP que tu as ces rdv gratuits ? Est-ce qu'il y a un autre CMP dans ta ville/dans ton secteur ? Sinon, peux-tu avancer l'argent pour consulter un psychiatre de ville ? Et en faisant jouer le tiers payant ? Es-tu en ALD pour ton affection ? De nombreux psychiatres sont conventionnés secteur 1 (sans dépassement d'honoraires), c'est 41,70 € avec 28,19 € remboursés.

Je n'ai pas dis que je n'ai pas confiance en elle.

Je consulte au secteur 1 de la psychiatrie de l'hôpital. Sinon oui il y a un CMP dans ma ville. J'y ai déjà été il y a longtemps mais j'avais rencontré que des infirmiers il me semble. Je suis normalement en ALD.

Tu sais on voit de tout dans les organisations de psychiatrie : le CMP dans lequel consulte mon mari est dans le service ouvert de l'hôpital psychiatrique ^^

Ne prends pas mal ce que je te dis : les meilleures décisions sont les tiennes car c'est toi qui te connais le mieux !

Je viens de contacter le CMP de ma ville pour savoir si je peux avoir un RDV avec un/une psychiatre pour avoir un autre avis.

Si tu est sous Affection Longue Durée tu sera intégralement remboursé. C'est bien pratique l'ALD quand je vais voir mon généraliste, il se paye avec ça,même si ça n'a rien a voir avec mon affection psychiatrique (mais bon il est un peu roublard, pour ma plus grande joie). Même pas besoin d'avancer le prix de la consultation.
Par contre je garde un très mauvais souvenir d'un psychiatre libéral, qui voulait me voir toute les semaines(ba tient 45€/semaine). Il ne parlait pas et c'était 10 minutes max. Fallait de la rentabilité puisque contrairement à un psy en milieux hospitalier lui ne touché pas de salaire fixe mais était payé à la consultation. Et je devais le avancer les frais en plus.

Si tu es sous ALD oui tu n'a pas besoin de passer par un généraliste. Par exemple j'ai un pote qui est épileptique et il va voir son neurologue quand bon lui semble.
Si tu ne sais pas si tu l'es, demande à un généraliste ou à la sécu. Et si tu ne l'es pas, ba ton psy est un gros con, car tu es tout à fait éligible pour l'être (pathologie psychiatrique). Au fait à tu un statut RQTH ou/et touche tu l'AAH?

je n'ai pas le droit à l'AAH

Tu ne dois pas être assez fou

Et du coup pour l'ALD?

Dernière modification par Von zymmel (21 mars 2018 à  13:41)

Oui il y a un GEM dans ma ville. Je n'y ai jamais été. J'avais juste vu la plaquette dans la salle d'attente. Je viens de regarder un peu sur le net. A voir...

Je vois ma psychiatre le mois prochain. Je pense lui demander de descendre à 5mg. Pour l'instant, ça va, le fait d'avoir baissé à 7,5 mg mais c'est peut-être encore tôt pour voir un changement.

Les gem ça consiste en quoi ??

Petite question, est ce que le zyprexa existe en 2.5 mg ??
J'aimerai bien continuer à diminuer doucement...

Bises Mia

En fait c'est l'équivalent de psychoactif (qui est en dehors du CSAPA) mais pour les patients psy.

C'est une super définition. Ce sont des assos d'autosupport et d'empowerment destinées essentiellement aux usagers en psychiatrie.

Perso je suis animateur en GEM...Pas du tout en lien avec l'UDAF par contre, à la base j'ai démarré comme intervenant en atelier musical dans l'asso, et puis super feeling et place vacante c'est comme ça que je me suis retrouvé animateur.

La charte des GEM précise d'ailleurs qu'il est souhaitable que les encadrants n'aient pas nécessairement une formation dans le social ou le médico-social, afin de favoriser d'autres types d'approches et d'interactions avec les usagers. Tu peux même être une personne concernée ou ayant été concernée par la souffrance psychique (c'est mon cas) et être animateur en GEM, ou bénévole.

La particularité d'un GEM, c'est surtout que le bureau associatif (président/secrétaire/trésorier) doit être constitué d'usagers de l'association, élus par le groupe d'usagers. Ainsi, la dynamique de l'asso, les prises de décisions, les activités proposées, reflètent directement la volonté des usagers, leurs désirs.

Les GEM ne sont pas des associations anti-psychiatriques, mais elles sont généralement autonomes par rapport à l'hôpital, n'embauchent pas de soignants, ni psychiatres, ni infirmiers psy...L'usager est accueilli en tant que personne et non en tant que pathologie (d'ailleurs nous n'avons pas accès au dossier médical des usagers).

On peut éventuellement parler, en quelque sorte, d'alter-psychiatrie