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clodb168 a écrit
Mammon ...oui tu m'imppressionne mec ou fille ou trans ....
tes connaissances sont tres vastes et moi j'en profite et pas que moi
Rendre a cesar ouais ce genre de trucs.
Sur les mangas er les domages collateraux de la codeine tu m'as planté direct ....
Planté n'est pas le mot approprié y a pas d'offense au contraire c un rare compliment.
Je ne le prend pas mal t'inquiète et merci pour le compliment
Je lis beaucoup en général, et les mangas sont une de mes nombreuses passions (mon dernier tatouage a d'ailleurs un rapport avec mon manga favori).
Ça a commencé tout gosse au club Dorothée avec Dragon Ball Z, Ken le survivant et autres Chevaliers du Zodiaque. Et plus je creusais, plus je trouvais des séries fantastiques qui ont fini par remplir une grosse étagère chez moi ^^ (le reste étant consacré à mes autres livres, mes comics, mes consoles, mes figurines de jeux de plateau (Warhammer) et cartes Magic (une autre de mes grandes passions), matos de jeux de rôle, etc etc... A part les sports de combat, mes autres passions sont toute d'intérieur comme vous pouvez le constater )
(et je suis un mec, un bonhomme, 22 ans et toutes ses dents )
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clodb168 a écrit
Suis un peu paumé la
Hollywood film sur un manga?
Quel est le realisateur probable : Paul Verdo. ou James Cam. Un autre?
En l'occurence quand je parlais de "Death Note" je parle de la série animé japonaise de 27 épisodes.
Hollywood cherchant toujours de bon scénario a souvent acheter des droits de certain manga (je rappelle le processus habituel , ca sort au japon en manga (bande déssiné) , si y a du succès c'est produit en animé (dessin animés) , si y a encore plus de succès parfois le cinéma japonais fait un film avec des acteurs , et si y a encore plus de succès hollywood achète les droits de la série.
Mais entre le moment ou ils achetent les droit et sort le film il peux se passer 10 ans ...
Pour "Death note" , les droits ont vite était acquis , mais l'histoire de Death note qui sur les 27 épisodes en dessin animé représente 11 heures , ne peux pas être adapter en film pour en apprécier le génie du scénario.
Pour le moment on sais qu'hollywood a les droits (enfin quelqu'un de labas) , un réalisateur inconnu est annoncé selon certaines rumeurs , mais si il fait un film : ca sera nul (comment faire entrer 11h essentielle dans 2h30 max).
En revanche si il en font une série comme "LOST" , ca peux être intérressant.
Mais comme j'ai dit , il peux se passer 10ans avant de voir la version US de "Death note" , qui de doute facon ne sera pas aussi bonne que la série animé.
Donc autant regarder le dessin animé (qui a des dessin "adulte" , une bande son formidable , et a tout le temps sur ses 27 épisodes de bien détailler l'histoire).
clodb168 a écrit
@ce film m'a presque "appeler" , je vous raconterai pourquoi
J'suis perdus dans tes delires
Quel film ? et pourquoi?
La en revanche je parle d'un manga (bande déssiné japonaise) qui a était adapté directement en 3 films avec des acteurs japonais , fait par un réalisateur japonais , ce manga/trilogie s'appelle : 20th century boys >> http://fr.wikipedia.org/wiki/20th_Century_Boys
Et effectivement il c'est passé une coïncidence troublante qui m'a fait dire que cette trilogie "m'avais appelé" , je vous raconterai pourquoi
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Synopsis :
A l'origine, il y a Les portes de la perception, le livre d'Aldous Huxley sur son expérience de la mescaline et d'autres drogues hallucinogènes. La citation de William Blake, qui lui a fourni le titre de ce livre, inspira également Jim Morrison et Ray Manzarek pour le nom du groupe - The Doors - qu'ils fondèrent en 1965 à Venice Beach avec John Densmore et Robby Krieger. Ils allaient devenir l'un des groupes les plus importants et les plus influents du rock américain.
Une critique que je trouve bien fichu :
"Un film exceptionnel ! The Doors est mon groupe préféré et je ne pouvais en aucun cas ratés ce film qui,par chance,est passé dans mon ciné ! Pour faire court,When You're Strange est LE DOCUMENT AUDIOVISUEL ULTIME SUR LES DOORS ! En 1h40,pas une seconde d'ennuie ! Les images d'archives tournée par Jim Morrison sont d'une rare beauté et d'une poésie incroyable !
Les images d'archives sont trés bien utilisés,les commentaires complet et passionnant,la traduction des chansons est fantastique...
la musique,n'en parlons même pas... Le fait de mettre en parallèle les faits du groupe et la politique et l'environnement du pays en ces années "Rock"et une idée génial et trés bien exploité. De plus,le film ne s'interresse pas qu'a Morrison,mais à Kriegger,Densmore et Manzarek (un génie !).
Bref,c'est avec émotion et surtout un nouveau regard sur la vie que l'on quitte la salle,content d'avoir vécu plus d'une heure et demie dans les tripes d'un groupe culte et au delà de la perception ! Qu'une envie aprés le film : écouter les Doors (pas de changements pour moi^^)! When You're Strange,le must des Rockumentaire !
Bande annonce :
Note :
Apocalypse Now fait partie de mon top10 de mes meilleurs films , et bien que je ne suis pas un fan de la musique des "Doors" , hormis quelques titres :
"The End" , est un chef d'œuvre qui me met la chair de poule a chaque écoute
Ahh l'intro d'Apocalypse Now sur "The End" , ca restera pour moi légendaire :
"The End" , couplé au bruit particulier des moteurs des "UH-1 Huey" (fameux hélicoptères US pendant la guerre du Vietnam) , est véritablement hypnotique
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The Drummer
aka Zhan Gu | Hong Kong | 2007 | Un film de Kenneth Bi | Avec Jaycee Chan, Tony Leung Ka-Fai, Angelica Lee Sum-Kit (Li Sin-jie), Roy Cheung Yiu-Yeung, Josie Ho Chiu-Yi, Kenneth Tsang Kong, Yumiko Cheng Hei-Yi, Liu Ruo-Yu, Huang Chih-Chun, Eugenia Yuan Lai-Kei
« A cet instant, j´étais le fils de mon père. J´étais cet instant. Cet instant, c´est moi. »
Sid est le fils de Kwan, gangster au mauvais tempérament. Il faut dire aussi que le gosse sait y faire pour le mettre en colère ; c´est lors d´un concert où il officie en tant que batteur, qu´il jette son dévolu sur Carmen. S´il choisit la jeune femme, ce n´est pas simplement parce qu´elle est jolie, mais aussi parce qu´il s´agit de la compagne de Stephen Ma, lui aussi gangster - mais en costume. Bien entendu, le parrain découvre leur relation, et demande à Kwan de lui offrir les mains de son rejeton en guise d´excuse. Plutôt que de s´exécuter, Kwan bannit son fils à Taïwan sous la surveillance de Chiu, son bras droit. Sur place, Sid tente d´abord de s´enfuir pour rejoindre sa bien aimée illégitime, avant de se résoudre à ne rien faire de constructif en attendant d´être autorisé à rentrer à Hong Kong. Son manque d´ambition change brutalement le jour où il découvre que des batteurs zen s´entraînent dans le calme des montagnes. Lorsqu´il leur demande de l´accueillir, son choix est motivé aussi bien par un réel désir d´apprendre leur art, que par l´intérêt qu´il porte à la belle et revêche Hong Dou...
Troisième film de Kenneth Bi après A Small Miracle et Rice Rhapsody, The Drummer est un conte initiatique zen, ambitieux à bien des niveaux. Narratif tout d´abord, puisque le récit s´articule autour de deux mouvements opposés, l´avènement zen de Sid et la chute criminelle de son père. Visuel ensuite, puisque la production est irréprochable, la photo comme le son très travaillés. Au niveau du casting enfin, puisque le rôle principal est confié à Jaycee Chan, nul autre que le fils de Jackie, qui a marqué les mémoires en tant qu´endive de luxe dans Twins Effect 2 avant d´être promu acteur devant les caméras de Benny Chan (Invisible Target) et de Jiang Wen (The Sun Also Rises).
Si la narration de The Drummer peut paraître étrangement proportionnée – le prologue à Hong Kong, aboutissant au départ forcé de Sid pour Taïwan dure tout de même une vingtaine de minutes ; le pivot du film intervient tardivement ; l´apprentissage réel du tambour est laissé de côté – il apparaît en cours de route qu´elle reflète l´une des bases de l´enseignement du tambour zen : avant de redescendre, le bâton doit d´abord monter. Et il n´est pas nécessaire d´expliciter l´instant qui sépare les deux - pourtant lieu de la véritable maîtrise de l´art - puisque qu´il résonnera une fois le coup porté.
L´ascension, lieu d´enseignement inspiré, est constitué par la longue exposition du film, qui prend le temps de décrire les enjeux humains aussi bien dans l´action que dans l´observation. Ainsi par exemple, Kenneth Bi prend-il le temps de filmer l´expression, silencieuse et corporelle, de la nervosité de Kwan, terrain narratif plus riche que ses dialogues. L´apex elliptique (au cours duquel Sid devient un maître zen) est atteint tardivement, une fois le contexte pleinement exposé – celui de Sid et Kwan donc, mais aussi celui Hong Dou et même, plus discrètement, celui de Chiu, qui profite implicitement de ces vacances forcés tel un parent proche des exilés mis en scène par Kitano. C´est lorsque le mouvement descendant est amorcé – au moment, approprié, de la chute de Kwan à Hong Kong - que The Drummer exprime ses principales qualités cinématographiques. Le dialogue improbable qui réunit autant qu´il oppose Sid et son père, est un terrain imaginaire, véritable lieu de Cinéma rendu possible par la pertinence du montage. La mise en scène de Kenneth Bi, maitrisée mais sans éclat lors de l´ascension, ne faiblira plus jusqu´aux dernières images du film, culminant dans un spectacle de tambour qui fait éclater l´affirmation d´un Sid devenu Tao.
Cette affirmation est double, puisqu´il s´agit autant de celle du personnage que de celle de son interprète. Manquant cruellement de charisme au cours de la première moitié du film, Jaycee Chan se révèle étonnant dans sa seconde partie. Comme pour mieux souligner sa progression, le reste du cast à été choisi pour lui laisser le devant de la scène : dans la peau de Kwan, Tony Leung ressemble à s´y méprendre à la parodie de lui-même, et Angelica Lee - magnifique comme il se doit - pâtit d´un personnage de jeune femme agressive peu développé. En tant que bras droit mesuré enfin, Roy Cheung est exceptionnel, marchant sur les traces d´un Anthony Wong en s´affirmant capable d´une telle restreinte tranquille. On se souvient en le regardant, de la délicatesse de sieur Ebola aux côtés de la même Angelica Lee, en tant que prof de danse dans Princess-D...
Au final, The Drummer s´affirme comme un film passionnant, se basant sur une structure classique du film HK, sur des rôles redondants et autres parti-pris, pour mieux faire ressortir la singularité de sa démarche et ses nombreuses qualités. Sans être un chef-d´œuvre, cette troisième réalisation de Kenneth Bi possède suffisamment d´intensité et d´intelligence, pour redonner foi dans le cinéma contemporain non musclé de l´ex-colonie.
c est une histoire très sympathique que j ai bien aimé que je te laisse découvrir
http://www.dvdfly.be/movie_detail.asp?M … Kenneth+Bi
Dernière modification par reskaper (20 août 2010 à 20:11)
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Dernière modification par tyler durden (24 août 2010 à 12:58)
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Dernière modification par clodb168 (06 septembre 2010 à 18:04)
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Dernière modification par clodb168 (06 septembre 2010 à 18:19)
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manouch desouche a écrit
cool, pour 1fois qu'il a des bons films a la téloche ce soir, du coup me suis enquillé snatch avec brad pitt, suivi de l'énorme borat, trop drolle!
Borat meme apres une RAZ tu rigoles encore - too much ce mec!
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Dernière modification par clodb168 (08 septembre 2010 à 20:58)
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La prison pour délinquant juvénile d'Enola Vale aux Etats-Unis accueillent trois nouveaux venus détenus ; Davis, 16 ans, condamné pour trafic de drogues, Angel, 15 ans, pour vol de voiture avec violence et Butch, 17 ans, transféré d'une autre prison pour avoir éborgné un officier de probation. Ils seront affiliés au dortoir de l'agent Goodyear et seront confrontés à leurs camarades de cellules, notamment Banks, un jeune délinquant qui purge sa peine et s'amuse à briser les nouveaux venus. Chacun sera confronté à la réalité de l'univers carcéral et devra survivre tant bien que mal dans celui-ci.
Ce film a était extrêmement bien reçu par les critiques , et ce n'est pas volé.
La bande annonce :
Des films sur les prisons américaines (ado/majeur) y en a beaucoup , mais celui ci est très immersif.
Le personnage de "butch" qui est quand même celui sur lequel s'attarde le plus le réalisateur est une vrai bombe a retardement , que l'ont voit s'amorcer tout au long du film. (comme le montre également la bande annonce)
Ce film est sorti en salle y a déjà un moment (23 juin 2010) , et est sorti en DVD.
Du coup si vous ne savez pas quoi louer au passage d'une borne de location , je vous le conseille franchement
Et si vous n'avez pas lecteur DVD ou autre , envoyez moi un mail pour la solution :)
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Dernière modification par clodb168 (11 septembre 2010 à 18:06)
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clodb168 a écrit
Yo no savais pas que t'etais en vacances aussi
Ca c bien passé tu etais ou ? En sibérie du nord ( je sais que tu crains la chaaleur)
J'étais dans la forêt de Brocéliande , quelques photos et récit de mon voyage ici : http://www.psychoactif.org/forum/t3083- … vrage.html
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Dernière modification par clodb168 (19 octobre 2010 à 18:43)
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Dernière modification par clodb168 (14 septembre 2010 à 17:34)
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