J'ai un amis qui a perdu son fils suite a une OD. Il avait 25ans.
Il c'est trouvé livré a lui même et lui qui est analysé et analyste, spécialiste du langage a l'IUFM, qui a toujours appliqué une éducation a la pointe de ce que l'on peut faire, bien dans sa peau malgré sa polio, il n'accepte toujours pas ce malheur comme un accident, au même titre que son fiston aurait pu mourir dans un accident de la route et bien éméché.
Non, pour lui, c'est la faute a la drogue, aux dealers, et il culpabilise ne pas avoir su l'éviter a son fils.
Il ne veut pas en discuter, et j'ai du lui cacher ma rechute dans l’héroïne et mon traitement
Méthadone.
La
réduction des risques ne l'intéresse pas. Il ne c'est jamais défoncé, a part aux études, en résilience du corset qu'il portait a l'époque.
C'est devenu un sujet tabou et il souffre avec élégance.
Tu es dans le topique "Familles, amoureux(euse), collègue : je t'aime moi non plus ?" ou tu devrais trouver de quoi donner du grain a ton "agitation de conscience".
Rico.
Dernière modification par Ricoson (24 janvier 2014 à 14:39)