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Méthadone: désormais plus de patients traités par gélules que par siro
Publié par psychodi,
12905 vues, 18 réponses
#1
- psychodi
Pour ma santé :5 weed et j'les fume par jour
- 12 février 2014 à 15:45
Salut à tous les Psychoactifiens et toutes les Psychoactifiennes
Voici donc une petite actu du monde des TSO
bonne lecture
International<http://www.apmnews.com>.
Mercredi 5 février 2014 - 17:42
Méthadone: désormais plus de patients traités par gélules que par sirop (Bouchara-Recordati)
PARIS, 5 février 2014 (APM) - Le nombre de patients traités par gélules de méthadone, le traitement de substitution aux opiacés, est pour la première fois supérieur à celui des patients traités par sirop, a-t-on appris mardi auprès du chef de projet méthadone chez Bouchara Recordati, Thierry Kin.
La méthadone AP-HP est commercialisée par Bouchara-Recordati. Elle est homologuée en France depuis 1995 pour sa forme sirop et depuis 2008 pour les gélules. La méthadone en gélules a en effet été mise sur le marché en avril 2008 avec un schéma de prescription particulier, notamment une prescription en relais d'un traitement d'au moins un an avec le sirop de méthadone, rappelle-t-on (cf APM CCLD7003).
Cette forme galénique a été élaborée pour des patients stabilisés afin de remédier aux inconvénients de la forme sirop: goût amer et sucré, présence de sucre et d'alcool, encombrement lié au stockage des flacons et à l'absence de discrétion liée à sa prise, rappelle-t-on.
Dans un communiqué intitulé "2014, l'année des gélules de méthadone" adressé à l'APM, les laboratoires Bouchara-Recordati précisent que, depuis sa mise sur le marché, le nombre de patients bénéficiant d'un traitement par les gélules de méthadone augmente de 3.000 à 4.000 patients chaque année.
En 2014, un peu plus de 25.000 patients sont sous gélule de méthadone pour moins de 24.000 traités par sirop.
Les laboratoires soulignent que la méthadone sous la forme de gélule est "donc en passe de devenir la forme la plus diffusée, alors que ses conditions de prescription restent restreintes". Ces conditions "obligent en effet les patients stabilisés sous sirop et suivis par des médecins de ville" à "retourner dans des services spécialisés" pour "avoir à nouveau une délégation de prescription par le médecin traitant", font-ils remarquer.
Ils pointent également les "très fortes variations départementales" dans l'accès aux gélules de méthadone, citant une étude publiée dans la revue Le Flyer en 2012 qui montrait des variations du taux de patients traités par la gélule de 15% dans certains départements à plus de 70% dans d'autres.
Les laboratoires précisent qu'ils ne sont pas surpris par le "succès" de cette nouvelle forme, "très attendue par les soignants mais surtout par la majeure partie des patients", pour qui le sirop présentait "plus d'inconvénients que d'avantages (encombrement, sucre, goût...)".
"Malgré des conditions de prescription restreintes et avec de fortes disparités régionales, petit à petit, cette gélule finit par se répandre", a commenté Thierry Kin auprès de l'APM.
INTOXICATIONS PEDIATRIQUES ?
Les laboratoires signalent, en outre, dans leur communiqué, que les bilans menés par les autorités de santé semblent "plutôt positifs".
Au niveau de l'addictovigilance, les laboratoires dressent en effet un bilan positif: quelques rares cas de sniff généralement non pérennisés, tentatives de préparation à l'injection rapidement avortées et une présence sur le marché parallèle plutôt limitée étant donné les particularités de la population d'usagers.
Les intoxications pédiatriques avec niveau de gravité sévère (un cas) ou fatal (un cas) -constatées entre avril 2008 et avril 2012- restent en outre "extrêmement rares", soulignent les laboratoires, qui précisent que dans ces deux cas il s'agissait de gélules de méthadone importées de Belgique (conditionnement non sécurisé).
Dans la majorité des cas, soit une vingtaine, il s'agit d'intoxications avec un niveau de gravité faible à modéré, suggérant que l'absorption n'a été que partielle (plusieurs cas de gélules sucées), détaillent-ils.
Une étude à paraître dans le prochain numéro de la revue "Le Flyer", dont APM a eu copie, présente une évaluation de la campagne d'information conjointe Bouchara-Recordati/ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), menée auprès des patients-parents depuis 2008.
Cette campagne consiste en une remise systématique de "blocs-lettres" aux soignants pour sensibiliser les usagers à tenir hors de portée des enfants leur traitement. Elle est doublée depuis octobre 2013 d'un affichage de posters dans les lieux de passage des usagers de drogue.
Cette étude a été menée au mois de juin 2012 auprès de 161 patients. La population interrogée était majoritairement masculine (60% contre 40% de femmes). Les patients interrogés avaient dans la moitié des cas entre 30 et 40 ans (54,7%), 23% avaient moins de 30 ans et 22,4% plus de 40 ans.
Dans la majorité des cas (54,7%), les patients avaient des prescriptions pour des gélules, contre 44,7% pour du sirop et 0,6% pour les deux formes.
Les résultats montrent l'intérêt des lettres remises aux patients, indiquent les auteurs de l'étude. Malgré la déclaration d'une connaissance du risque d'intoxication pédiatrique antérieure à la remise de la lettre, la moitié des patients déclarent que cette information va changer leur comportement à domicile afin de faire en sorte que l'enfant n'ait jamais accès au traitement.
Cette campagne a aussi permis de sensibiliser les patients-parents à conduire leurs enfants aux urgences, même en cas de simple suspicion d'absorption de méthadone, peut-on lire dans cette étude.
mh/ab/APM polsan
redaction@apmnews.com<mailto:redaction@apmnews.com>
MHRB5002 05/02/2014 17:42 ACTU
©1989-2014 APM International.
Voici donc une petite actu du monde des TSO
bonne lecture
International<http://www.apmnews.com>.
Mercredi 5 février 2014 - 17:42
Méthadone: désormais plus de patients traités par gélules que par sirop (Bouchara-Recordati)
PARIS, 5 février 2014 (APM) - Le nombre de patients traités par gélules de méthadone, le traitement de substitution aux opiacés, est pour la première fois supérieur à celui des patients traités par sirop, a-t-on appris mardi auprès du chef de projet méthadone chez Bouchara Recordati, Thierry Kin.
La méthadone AP-HP est commercialisée par Bouchara-Recordati. Elle est homologuée en France depuis 1995 pour sa forme sirop et depuis 2008 pour les gélules. La méthadone en gélules a en effet été mise sur le marché en avril 2008 avec un schéma de prescription particulier, notamment une prescription en relais d'un traitement d'au moins un an avec le sirop de méthadone, rappelle-t-on (cf APM CCLD7003).
Cette forme galénique a été élaborée pour des patients stabilisés afin de remédier aux inconvénients de la forme sirop: goût amer et sucré, présence de sucre et d'alcool, encombrement lié au stockage des flacons et à l'absence de discrétion liée à sa prise, rappelle-t-on.
Dans un communiqué intitulé "2014, l'année des gélules de méthadone" adressé à l'APM, les laboratoires Bouchara-Recordati précisent que, depuis sa mise sur le marché, le nombre de patients bénéficiant d'un traitement par les gélules de méthadone augmente de 3.000 à 4.000 patients chaque année.
En 2014, un peu plus de 25.000 patients sont sous gélule de méthadone pour moins de 24.000 traités par sirop.
Les laboratoires soulignent que la méthadone sous la forme de gélule est "donc en passe de devenir la forme la plus diffusée, alors que ses conditions de prescription restent restreintes". Ces conditions "obligent en effet les patients stabilisés sous sirop et suivis par des médecins de ville" à "retourner dans des services spécialisés" pour "avoir à nouveau une délégation de prescription par le médecin traitant", font-ils remarquer.
Ils pointent également les "très fortes variations départementales" dans l'accès aux gélules de méthadone, citant une étude publiée dans la revue Le Flyer en 2012 qui montrait des variations du taux de patients traités par la gélule de 15% dans certains départements à plus de 70% dans d'autres.
Les laboratoires précisent qu'ils ne sont pas surpris par le "succès" de cette nouvelle forme, "très attendue par les soignants mais surtout par la majeure partie des patients", pour qui le sirop présentait "plus d'inconvénients que d'avantages (encombrement, sucre, goût...)".
"Malgré des conditions de prescription restreintes et avec de fortes disparités régionales, petit à petit, cette gélule finit par se répandre", a commenté Thierry Kin auprès de l'APM.
INTOXICATIONS PEDIATRIQUES ?
Les laboratoires signalent, en outre, dans leur communiqué, que les bilans menés par les autorités de santé semblent "plutôt positifs".
Au niveau de l'addictovigilance, les laboratoires dressent en effet un bilan positif: quelques rares cas de sniff généralement non pérennisés, tentatives de préparation à l'injection rapidement avortées et une présence sur le marché parallèle plutôt limitée étant donné les particularités de la population d'usagers.
Les intoxications pédiatriques avec niveau de gravité sévère (un cas) ou fatal (un cas) -constatées entre avril 2008 et avril 2012- restent en outre "extrêmement rares", soulignent les laboratoires, qui précisent que dans ces deux cas il s'agissait de gélules de méthadone importées de Belgique (conditionnement non sécurisé).
Dans la majorité des cas, soit une vingtaine, il s'agit d'intoxications avec un niveau de gravité faible à modéré, suggérant que l'absorption n'a été que partielle (plusieurs cas de gélules sucées), détaillent-ils.
Une étude à paraître dans le prochain numéro de la revue "Le Flyer", dont APM a eu copie, présente une évaluation de la campagne d'information conjointe Bouchara-Recordati/ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), menée auprès des patients-parents depuis 2008.
Cette campagne consiste en une remise systématique de "blocs-lettres" aux soignants pour sensibiliser les usagers à tenir hors de portée des enfants leur traitement. Elle est doublée depuis octobre 2013 d'un affichage de posters dans les lieux de passage des usagers de drogue.
Cette étude a été menée au mois de juin 2012 auprès de 161 patients. La population interrogée était majoritairement masculine (60% contre 40% de femmes). Les patients interrogés avaient dans la moitié des cas entre 30 et 40 ans (54,7%), 23% avaient moins de 30 ans et 22,4% plus de 40 ans.
Dans la majorité des cas (54,7%), les patients avaient des prescriptions pour des gélules, contre 44,7% pour du sirop et 0,6% pour les deux formes.
Les résultats montrent l'intérêt des lettres remises aux patients, indiquent les auteurs de l'étude. Malgré la déclaration d'une connaissance du risque d'intoxication pédiatrique antérieure à la remise de la lettre, la moitié des patients déclarent que cette information va changer leur comportement à domicile afin de faire en sorte que l'enfant n'ait jamais accès au traitement.
Cette campagne a aussi permis de sensibiliser les patients-parents à conduire leurs enfants aux urgences, même en cas de simple suspicion d'absorption de méthadone, peut-on lire dans cette étude.
mh/ab/APM polsan
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Dernière modification par psychodi (12 février 2014 à 15:46)
il y a des jours étranges
il y a des jours, j'm'étrangle
Surtout...ne pas se biler sur la route...
Psychoactif ? Faut s'abonner là, vite !!
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#2
- maybe
Psycho junior - 15 février 2014 à 19:20
a quand des gélules de 2 mg?
La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme.
[Pierre Baillargeon]
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#3
- Bicicle
Rat de laboratoire - 15 février 2014 à 20:46
1000 de plus quoi, en gros c'est quasiment 50%-50% : 24 000 sirop, et 25 000 gélule, mais un truc m'interpelle, pourquoi en France on ne peut prendre la gélule qu'à partir d'un an de traitement ? C'est quoi le problème dans le fait de prendre la gélule en "primo-prescription" ? Dans d'autres pays (Belgique je crois ?) ça se fait pourtant.
Moi ça m'est un peu égal, mais la forme sirop a quelques désavantages notamment au niveau du sucre qui attaque les dents à terme si on se brosse pas les dents après la prise (ce qu'il faudra que je pense à faire d'ailleurs quand je m'y mettrai).
Et l'autre jour je suis tombée sur un site où il était évoqué que pour certains usagers, la forme sirop serait perçue comme "infantilisante" car les sirops évoquent pour eux les médicaments pour enfants, etc. Moi je ne partage pas forcément cette perception, le sirop me gène pas dans l'absolu, mais bon, je peux comprendre que ça puisse déranger (le goût aussi, etc).
Moi ça m'est un peu égal, mais la forme sirop a quelques désavantages notamment au niveau du sucre qui attaque les dents à terme si on se brosse pas les dents après la prise (ce qu'il faudra que je pense à faire d'ailleurs quand je m'y mettrai).
Et l'autre jour je suis tombée sur un site où il était évoqué que pour certains usagers, la forme sirop serait perçue comme "infantilisante" car les sirops évoquent pour eux les médicaments pour enfants, etc. Moi je ne partage pas forcément cette perception, le sirop me gène pas dans l'absolu, mais bon, je peux comprendre que ça puisse déranger (le goût aussi, etc).
"Quiconque fait deux cent mètres sans amour, va à ses funérailles vêtu de son linceul." W.Whitman
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#4
- LLoigor
Modérateur a la retraite - 15 février 2014 à 23:45
En fait y a la "théorie" et la "pratique".
Car par exemple :
Car par exemple :
Ces conditions "obligent en effet les patients stabilisés sous sirop et suivis par des médecins de ville" à "retourner dans des services spécialisés" pour "avoir à nouveau une délégation de prescription par le médecin traitant"
Cela dépend vraiment ... Perso je ne suis pas reparti au centre (et d'après ce que j'ai lu, je suis loin d'être le seul), ça c'est fait par téléphone depuis mon médecin il me semble.
Pour d'autres c'est le médecin qui a simplement préciser "gélule" sur l'ordonnance.
Idem pour la règles des "un an".
Beaucoup de gens ont eu accès a la gélule directement, dès la primo-prescriptions ! (et tant mieux 
)
Y a même des gens qui ont des primo-prescriptions par des généralistes ^^
LLoigor 
Вам не нужно делать ничего, кроме перевода подписи
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#5
Salut,
Dès qu'on est en contact avec des enfants, même quelques heures par semaines, il faut demander un flacon sécurisé (ouverture spéciale) avec sécurité "enfants". Ca ne coûte rien du tout et très utile.
Amicalement,
seba59
Dès qu'on est en contact avec des enfants, même quelques heures par semaines, il faut demander un flacon sécurisé (ouverture spéciale) avec sécurité "enfants". Ca ne coûte rien du tout et très utile.
Amicalement,
seba59
"Ils ont cru s'enivrer des Chants de Maldoror, et maintenant ils s'écroulent dans leur ombre animale." H.F. Thiéfaine
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#6
- mortfine
NO P@S@R@N - 16 février 2014 à 12:09
Ils pointent également les "très fortes variations départementales" dans l'accès aux gélules de méthadone, citant une étude publiée dans la revue Le Flyer en 2012 qui montrait des variations du taux de patients traités par la gélule de 15% dans certains départements à plus de 70% dans d'autres.
un peu récurent dans notre nation,une tradition française visant a "favoriser"les dite "grandes" villes en opposition aux monde rural
mais mon Doc ma laisser entendre qu'il y aurais sans doute moyen de raccourcir le délai d'un ans pour la metha gélules en fonction et je cite <<de mon comportement face a là TSO>> :)
Bicicle a écrit
C'est quoi le problème dans le fait de prendre la gélule en "primo-prescription" ? Dans d'autres pays (Belgique je crois ?) ça se fait pourtant.
il me semble qu'il y a un rapport avec le fait que la metha gélules et plus facile a injecter que le sirop!???
mais suis vraiment pas sur là ,ca reste a confirmer !
Dernière modification par mortfine (16 février 2014 à 12:10)
réagir bêtement a un acte stupide, crée une situation idiote
Pierre Dac.
https://www.youtube-nocookie.com/watch?v=vuBGdquP2KM
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#7
- Bicicle
Rat de laboratoire - 16 février 2014 à 12:17
Ben non justement Mortfine, d'après ce que j'ai lu sur le forum, la gélule n'est pas du tout injectable, son contenu est fait de telle façon que si tu essayes de le sniffer ou de le mettre dans de l'eau dans la cuillère, ça devient un mélange gluant et absolument ininjectable.
Mais en Belgique par exemple je crois que parfois leur composition est différente du coup y'en a qui arrivent à sniffer etc.
Mais en Belgique par exemple je crois que parfois leur composition est différente du coup y'en a qui arrivent à sniffer etc.
"Quiconque fait deux cent mètres sans amour, va à ses funérailles vêtu de son linceul." W.Whitman
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#8
- roulmapoule
Psycho junior - 16 février 2014 à 12:43
En principe faut retourner au carrud (pour celui qui a déjà été redirigé vers son medecin generaliste) faire une analyse d'urine négative et à ce moment le medecin du centre te fais la primo prescription gellule.(c'est ce que m'a dit mon medecin quand j'en ai fais la demande y'a un an ) Mais dans la pratique ça differe sans doute suivant l'endroit.
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#9
- mortfine
NO P@S@R@N - 16 février 2014 à 12:47
ben voila c'est régler c'est bien ce qui me semblais je n’étais vraiment pas sur et pour les même raison que toi ,mais je ne me souvenais vraiment plus si j'avais vu que c'etais injectable ou non!!
donc là , ta question ressort effectivement pourquoi attendre un ans?
ca a l'air quand même plus pratique et moins infantilisant en gélules qu'en sirop!
??
donc là , ta question ressort effectivement pourquoi attendre un ans?
ca a l'air quand même plus pratique et moins infantilisant en gélules qu'en sirop!
??
réagir bêtement a un acte stupide, crée une situation idiote
Pierre Dac.
https://www.youtube-nocookie.com/watch?v=vuBGdquP2KM
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#10
- mortfine
NO P@S@R@N - 16 février 2014 à 12:51
oui poste croiser @roulmapoule
effectivement ,c'est sans doute très variable selon l'endroit et les personne,comme je l'ai dit ailleurs, mon Doc. ma laisser entendre que selon mon "comportement"(face a la TSO) le délais de un ans peut être largement raccourcies......
effectivement ,c'est sans doute très variable selon l'endroit et les personne,comme je l'ai dit ailleurs, mon Doc. ma laisser entendre que selon mon "comportement"(face a la TSO) le délais de un ans peut être largement raccourcies......
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#11
- virtualfacto
Nouveau Psycho - 16 février 2014 à 18:53
salut,
Après justification de tes 1 an de prescripation sirop, le doc du CSAPA te remet une feuille rose que tu dois remettre à ton doc de ville, ainsi qu'à ta pharmacie relais, ils en gardent une copie, et cela leur donne le droit légal de te prescrire pr le doc et de te délivrer pour la pharma la gélule.
Ca, c'est la théorie, car en pratique, si ils voient que tu n'est pas trop "à risque" (revente, mésusage,..), ce délai peut être quasi réduit à rien. Je connais des personnes qui se sont vues prescrire la gélule après 1 mois de sirop seulement.
Du coup, forcément, le délit de sale gueule peut entrer en ligne de compte. Untel présnte plus de risque et attendra un an, et tel autre l'aura sous qques semaines.
Quant à moi, j'ai même pu changer à la volée de prescripteur sans me faire refaire cette feuille rose, et rester en gelule, et je crois que depuis 2009, je ne l'ai faite renouvelée qu'une seule fois, au lieu de tous les ans, normalement.
Personne, nulle part, ne me l'a jamais redemandée.
Par contre, l'ordo sécurisée doit mentionner le dosage et la durée en toute lettre, ainsi que le nom de la pharma, et aussi la délivrance en galénique gelule. Si ce n'est pas écrit, la pharma ne peut pas (en théorie) dlivrer sous ce format, même si c'est un renouvellement.
Mais bon, au final, tu vois le pharamacien tous les 15 jours, donc au bout d'un moment, il commence à te connaître, et c'est plus le relationnel qui importe et qui te permettra une avance exceptionnelle ou autre "gentillesse".
je ne pense pas que cela ait changé à aujourd'hui.
Après justification de tes 1 an de prescripation sirop, le doc du CSAPA te remet une feuille rose que tu dois remettre à ton doc de ville, ainsi qu'à ta pharmacie relais, ils en gardent une copie, et cela leur donne le droit légal de te prescrire pr le doc et de te délivrer pour la pharma la gélule.
Ca, c'est la théorie, car en pratique, si ils voient que tu n'est pas trop "à risque" (revente, mésusage,..), ce délai peut être quasi réduit à rien. Je connais des personnes qui se sont vues prescrire la gélule après 1 mois de sirop seulement.
Du coup, forcément, le délit de sale gueule peut entrer en ligne de compte. Untel présnte plus de risque et attendra un an, et tel autre l'aura sous qques semaines.
Quant à moi, j'ai même pu changer à la volée de prescripteur sans me faire refaire cette feuille rose, et rester en gelule, et je crois que depuis 2009, je ne l'ai faite renouvelée qu'une seule fois, au lieu de tous les ans, normalement.
Personne, nulle part, ne me l'a jamais redemandée.
Par contre, l'ordo sécurisée doit mentionner le dosage et la durée en toute lettre, ainsi que le nom de la pharma, et aussi la délivrance en galénique gelule. Si ce n'est pas écrit, la pharma ne peut pas (en théorie) dlivrer sous ce format, même si c'est un renouvellement.
Mais bon, au final, tu vois le pharamacien tous les 15 jours, donc au bout d'un moment, il commence à te connaître, et c'est plus le relationnel qui importe et qui te permettra une avance exceptionnelle ou autre "gentillesse".
je ne pense pas que cela ait changé à aujourd'hui.
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#12
Salut,
Je pense que dans le Nord, il sont plus souples parce qu'il y a la "concurrence" avec la Belgique qui prescrit directement de la méthadone injectable (mais ça dépend de ton pharmacien et de ton possible "mésusage") en gélules. Mais, il n'y a vraiment que les gens de l'Europe de l'Est pour s'injecter du sirop ou des gélules, à mon humble avis.
seba59
Je pense que dans le Nord, il sont plus souples parce qu'il y a la "concurrence" avec la Belgique qui prescrit directement de la méthadone injectable (mais ça dépend de ton pharmacien et de ton possible "mésusage") en gélules. Mais, il n'y a vraiment que les gens de l'Europe de l'Est pour s'injecter du sirop ou des gélules, à mon humble avis.
seba59
"Ils ont cru s'enivrer des Chants de Maldoror, et maintenant ils s'écroulent dans leur ombre animale." H.F. Thiéfaine
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#13
- Shaolin
Modératrice à la retraite - 16 février 2014 à 19:22
seba59 a écrit
Mais, il n'y a vraiment que les gens de l'Europe de l'Est pour s'injecter du sirop ou des gélules, à mon humble avis.
Des humbles avis comme ça, tu peux les garder pour toi, merci!
Faut rien regretter... Revendique tes conneries, elles sont à toi. Et surtout, vis à fond! On vieillit bien trop vite. La sagesse, ça sera pour quand on sera dans le trou. Jacques Brel
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#14
- prescripteur
Adhérent PsychoACTIF - 16 février 2014 à 19:36
Virtual facto, en effet au debut le relais gelule devait etre renouvelé tous les ans par le CSAPA mais c'est fini. Plus de renouvellement !!
Amicalement
Amicalement
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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#15
- filousky
Modérateur - 16 février 2014 à 19:39
Je plussoie fortement.
Ta remarque est particulièrement xénophobe.
La seule personne que j'aie vue s'injecter sa méthadone était un parisien français pure souche et pas l'ombre d'un con.
Fil
Ta remarque est particulièrement xénophobe.
La seule personne que j'aie vue s'injecter sa méthadone était un parisien français pure souche et pas l'ombre d'un con.
Fil
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#16
- drugstore cowboy
Repose en Paix - 16 février 2014 à 19:46
Shaolin a écrit
seba59 a écrit
Mais, il n'y a vraiment que les gens de l'Europe de l'Est pour s'injecter du sirop ou des gélules, à mon humble avis.
Des humbles avis comme ça, tu peux les garder pour toi, merci!
Et c'est reparti ! Seb/Shao balle au centre 
Maintenant Seb, je rejoins quand même Shaolin dans le sens où n'importe quels injecteurs, de France, de l'est ou du trou du cul du monde, sont tentés et/ou essaye d'injecter tel ou tel produits.
On m'a mis une étoile (jaune, merci à lui ) parce que j'avais dit "un médecin sorti de je ne sais quel pays..." pour me jouer, je pense, la carte du racisme... Du grand n'importe quoi. (cf : discussion csapa qu'en pensez vous)
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#17
- Bicicle
Rat de laboratoire - 17 février 2014 à 18:45
Seba : tu es belge ? S'il y a d'autres belges ici, j'aurais bien aimé savoir si vous avez déjà eu des gélules "injectables" ? Ca fait un effet injectée la métha ou c'est psychologique, par addiction au geste un peu comme le sub ?
"Quiconque fait deux cent mètres sans amour, va à ses funérailles vêtu de son linceul." W.Whitman
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#18
- mortfine
NO P@S@R@N - 17 février 2014 à 21:10
bicicle ta question me fou les 
,merde tu dit toi même en avoir marre des IV 
sans dèk tu viens de commencer une TSO metha aujourd'hui
bon après ce p'ti coup de gueule j'me calme
mais ca ne vas pas du tout dans le sens de tes post là ,non??
allez good vibes et dit en plus!!!
:))))
,merde tu dit toi même en avoir marre des IV sans dèk tu viens de commencer une TSO metha aujourd'hui
bon après ce p'ti coup de gueule j'me calme
mais ca ne vas pas du tout dans le sens de tes post là ,non??
allez good vibes et dit en plus!!!
:))))
Dernière modification par mortfine (17 février 2014 à 21:18)
réagir bêtement a un acte stupide, crée une situation idiote
Pierre Dac.
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#19
- Bicicle
Rat de laboratoire - 17 février 2014 à 21:32
Lol mortfine non je demandais pas curiosité !! Je suis pas du tout de Belgique ou quoi donc je sais très bien que jamais j'aurai de la métha sous forme injectable, mais je demandais pour savoir si des belges en ont déjà eu et ce que ça fait ? Pour savoir si ça apporte un truc en + que le prendre normalement ou si c'est surtout l'addiction au geste un petit peu comme avec le sub.
Même si je comprends qu'avec 1 jour de métha derrière moi, cette question puisse être mal interprétée lol, mais c'est que de la curiosité
Même si je comprends qu'avec 1 jour de métha derrière moi, cette question puisse être mal interprétée lol, mais c'est que de la curiosité
"Quiconque fait deux cent mètres sans amour, va à ses funérailles vêtu de son linceul." W.Whitman
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