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Dernière modification par prescripteur (15 juin 2012 à 21:30)
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prescripteur pour le retour d'un de tes confrères ! Merci à lui aussi d'avoir consacré un peu de son temps à "réagir" et nous transmettre son ressenti !Hors ligne



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ben faudrait peut etre les informer de la galère à laquelle ils se préparent, je pense qu'ils sont plutot "naif", et qu'ils resteraient au chichon ....s'ils savaient
du coté des généraliste il faudrait peut etre qu'ils pratiquent des test urinaires avant l'induction, et qu'ils aient une bonne connaissance de la clinique du manque....
Sachant qu'il y aura toujours des petits malins qui feront le tours du paté de maison vingt fois histoire d'arriver en sueur....
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Dernière modification par syl20 (01 août 2013 à 11:29)
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prescripteur a écrit
Il y a des usagers qui se voient comme simples usagers et pas des "malades" (ou patients). Donc, je ne suis pas sûr que tous soient d'accord avec toi. (appel aux avis !!)
Amicalement
J'ai aussi du mal avec le mot "usager", ça fait un peu "machin usé" (je suis donc un usager du cannabis ? ça fait bizarre, je me pensais juste consommateur excessif ) On pourrait pas dire "usageur" ou un autre mot ? Même si effectivement, se considérer comme "patient" peut renvoyer à "malade", est-ce si sytématique ? je suis bien le patient de mon psychanalyste...mais suis-je pour autant "malade" ?
à débattre, c'est intéressant...et tant qu'on ne parle pas de "client" ça me va (la direction de mon CSAPA commence d'ailleurs à parler "d'entreprise" et de "clients" en parlant des gens qui viennent, ça fait tout bizarre)
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