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Dernière modification par meumeuh (03 décembre 2023 à 13:57)
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Terson a écrit
J'approuve le post de Acid Test même si je souligne quand même que les opiacés ont aussi une dépendance psychologique non négligeable qui est souvent une source de rechutes une fois un sevrage effectué.
Surtout que l'on se dit que maintenant que notre tolérance a baissé on va encore plus kiffer l'effet des opis. Enfin moi je le voyais comme ça.
Je pense qu'il est important de mettre en oeuvre divers moyens pour tenter d'oublier le fameux rush du crack, car c'est bien cette pensée qui nous pousse a consommer encore et encore non ? Malheureusement c'est très difficile et il ne faudrait pas que tu passe du temps a la montagne loin de la coke pour ensuite replonger dedans la tête la première.
J’espère que des gens pousseront pour des traitements de substi aux stims dans les cas les plus sévère comme les grosses dépendances au crack, je pense évidemment pour ma part au MPH mais ça ne doit pas être la seule voie.
Bien sur que les opiacés peuvent générer une énorme dépendance psychologique lorsqu'on en devient dépendant et je connais très bien le sujet après des décennies d'utilisation opiacés et une longue dépendance ( traitements de substitution, traitement de maintenance et conso d'hero ) mais ce que je voulais dire c'est que la coke n'engendre pas une dépendance physique aussi forte que celle des opiacés , meme si elle peut tout de meme engendrer une très forte dépendance psychologique et avoir certains effets aussi au niveau physiologique , concernant le dérèglement des molécules neuromédiatrices entre les synapses dans le cerveau .
Dernière modification par Acid Test (16 février 2023 à 17:05)
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NoFilter a écrit
Quand y'en avait plus, je me suis sentit mal, jusqu'à chercher par terre etc
Pareil quand j’arrive sur la fin je suis là à chercher la moindre miette… Ça relève du TOC et ça fait chier grave. Tu te dis « mais je suis complètement débile à courir après des micro-poussières ?! »
J’arrive à m’empêcher d’en prendre la semaine pour pouvoir assurer le boulot mais dès le weekend venu c’est presque obligatoire.
Une des drogues les plus addictives que j’ai connu. J’ai même arrêté le shit, déjà parce que j’ai du arrêter pour récupérer mon permis de conduire, et aussi parce que je kiffe de me souvenir de mes rêves, mais aussi, je dois l’avouer, parce que ce que je dépense pas en shit c’est ce que je pourrais me mettre en plus en crack dans le cornet, ça laisse songeur. La drogue tellement puissante qu’elle dégage les autres drogues…
J’en suis rendu à me demander si je serai capable de passer un we sans en prendre…
Et pourtant ya même pas cette sensation physique de manque comme avec l’héro, c’est purement dans la tête. Je ne sais pas ni comment, ni même, si, je vais m’en sortir.
“A hell of a drug…”
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