Salut.
Pour ma part, le
seresta n'a jamais eu aucun effet sur moi, dès les premières doses.
Je me souviens plus très bien mais y me semble que j'avais un léger dosage ~80mg par jour.
Ça me rendait dingue pendant les crises et je prenais la plaquette entière, sans effet.
Le médecin ne voulant rien entendre, je me suis procuré d'autre manière ce qui me calmait. Et malgré que je ne les prenais plus, le médecin continuait à me les prescrire.
L'
alprazolam, au début, c'est 0,25, puis 0,50. Ça me calmait.
Et finalement, je me suis retrouvé à prendre 150-200 pour avoir ce soulagement. Puis,
ça ne soulageait plus. Heureusement à cette époque, c'était un autre médecin qui a compris d'une manière un peu con. Je suis arrivé avec mon petit sac en plastique blanc. J'attends discute avec le médecin, voyant qu'elle doute et commence à me tirer vers la cage des mauvais préjugés.
Je me lève, je récupère mon sac par terre, défais le noeud et lui vide sur sa table, je ne sais plus combien de boîte de
xanax, imovane,
zolpidem,
lexomil,
lysanxia et je ne sais quoi d'autre, des boîtes encore scellé, d'autre légèrement entamé. (a cet époque, j'avais un ami dont sa sœur travaillait à l'hôpital et lui faisait faire des ordo pour son frère par son chef de service, seul chose jamais réussi à me faire prescrire c'était le
stilnox que je prenais en internement).
Je regarde le médecin et lui dit que si je veux des médocs, j'en ai mais c'est pas ce que je cherche, je souffre et j'ai besoin d'aide.
Et la, elle va me prendre au sérieux et je vais avoir du
Diazepam, elle me dira d'en prendre tous les jours à chaque fois que j'en ressens le besoin.
Mais pour une fois que ça marchait, je voulais pas tout gâcher et j'en prenais que 2 à 3 fois par semaines max, que je voulais pas m'habituer.
Du coup, ça a permis de tenir plus longtemps mais malheureusement, les doses ont finit par être doublé, triplé, de plus en plus rapprocher, jusqu'à nouveau manger ça par plaquette.
En 20 min, ça me soulageait, me permetait de me reconcentrer et travailler.
Mais ça, c'est fini. Et les tits plans douteux eux aussi se sont envoler.
Enfin bref, j'ai un peu dérivé mais chaque organisme réagit différemment au molécule.
Mais sinon, pas d'effet de durée constaté, ça calmait juste mon amygdale et je repartais, jusqu'à qu'une nouvelle crise se déclenche qui ést aléatoire. Ça peut être de quelques heures, à quelques jours, même presque déjà failli tenir 1 mois.