[ Arrêt & Sevrage ]
Questionnement par rapport à un sevrage de cannabis
#1
- Akshaya
Nouveau membre
- 12 décembre 2015 à 15:00
Bonjour tout le monde, je poste un sujet car j'aurais besoin d'y voir un peu plus clair entre le Vrai du Faux à propos du cannabis, peut être que certains sauront m'apporter des débuts de réponse ou des pistes 
!
Ca va faire 4 ans que je fume presque quotidiennement (à par les moments où je trouvais juste rien). Quand j'ai commencé la fumette vers 14-15 ans, la weed est apparue comme la solution 'magique" à tous mes problèmes (dépression, voir troubles bipolaires d'aprés les psy...), fumer m'a au début permis de mettre mes angoisses de côté, de calmer mes pulsions de colère, mes crises de nerfs, etc...... Etant aussi dans une quête 'spirituelle", j'ai eu à ce moment là l'impression d'ouvrir une porte de ma conscience et de ressentir des choses nouvelles, comme on dit : les portes de la perception...
Seulement aujourd'hui, aprés 4-5 ans de consommation, je constate juste qu'au final, malgré avoir sois disant ouvert ces "portes de la perception", je suis incapable d'aller plus loin dans mes démarches spirituelles, je suis toujours aussi lunatique, colérique et angoissée, j'ai beau avoir de supers projets je suis incapable d'aller au bout ; tout reste à l'état de rêve, je ne vie pas....
Seulement lorsque je tente de ne pas fumer, c'est pire ! Et lorsque je m'interdit de fumer et qu'au final me sentant trop mal, je décide de m'en rouler un, je retrouve les effets positifs que je recherchais, cest à dire réflexions positives, créativité, prise de recul, calme....
Je ne sais donc plu quoi penser de cette plante qui fait tant parler d'elle, en bien comme en mal.
Entre les gens qui font l'apologie de la weed et ceux qui sont totalement contre, c'est dur de faire la part des choses. D'autant plus que j'ai tendance à être plutôt entourée de gens qui en font l'apologie, comme si l'herbe était la solution miracle que notre méchant gouvernement voulait nous empêcher de prendre. Alors c'est pas facile de se sortir cette idée de la tête : que l'herbe est une plante super géniale et super spirituelle, et tout ca, tout ça ; quand on a évolué dans ce milieu et qu'on se conforte dans cette idée depuis des années (d'autant plus avec tous les mouvements pro cannabis qui voient le jour).
En bref, je sens que fumer me fait du mal (même si ponctuellement ça m'aide), mais arrêter exacerbe encore plus mes mauvais côtés (quand je dit arrêter ça se limite à me dire "non" ; puis en rouler un 3h aprés par ce que je pete les plombs) . Je voudrais juste savoir si certains ont des témoignages à m'apporter sur leur sevrage ou autre ? Si c'est normal de péter les plombs au début et que ça passe ? Si ceux qui ont réussi à se sevrer ont trouvé ça réellement positif, ...
Et je suis désolée si mon texte est un peu confus et emmêlé, mais comme vous le savez, quand on fume beaucoup, les pensées sont dur à synthétiser ^^ !
! Ca va faire 4 ans que je fume presque quotidiennement (à par les moments où je trouvais juste rien). Quand j'ai commencé la fumette vers 14-15 ans, la weed est apparue comme la solution 'magique" à tous mes problèmes (dépression, voir troubles bipolaires d'aprés les psy...), fumer m'a au début permis de mettre mes angoisses de côté, de calmer mes pulsions de colère, mes crises de nerfs, etc...... Etant aussi dans une quête 'spirituelle", j'ai eu à ce moment là l'impression d'ouvrir une porte de ma conscience et de ressentir des choses nouvelles, comme on dit : les portes de la perception...
Seulement aujourd'hui, aprés 4-5 ans de consommation, je constate juste qu'au final, malgré avoir sois disant ouvert ces "portes de la perception", je suis incapable d'aller plus loin dans mes démarches spirituelles, je suis toujours aussi lunatique, colérique et angoissée, j'ai beau avoir de supers projets je suis incapable d'aller au bout ; tout reste à l'état de rêve, je ne vie pas....
Seulement lorsque je tente de ne pas fumer, c'est pire ! Et lorsque je m'interdit de fumer et qu'au final me sentant trop mal, je décide de m'en rouler un, je retrouve les effets positifs que je recherchais, cest à dire réflexions positives, créativité, prise de recul, calme....
Je ne sais donc plu quoi penser de cette plante qui fait tant parler d'elle, en bien comme en mal.
Entre les gens qui font l'apologie de la weed et ceux qui sont totalement contre, c'est dur de faire la part des choses. D'autant plus que j'ai tendance à être plutôt entourée de gens qui en font l'apologie, comme si l'herbe était la solution miracle que notre méchant gouvernement voulait nous empêcher de prendre. Alors c'est pas facile de se sortir cette idée de la tête : que l'herbe est une plante super géniale et super spirituelle, et tout ca, tout ça ; quand on a évolué dans ce milieu et qu'on se conforte dans cette idée depuis des années (d'autant plus avec tous les mouvements pro cannabis qui voient le jour).
En bref, je sens que fumer me fait du mal (même si ponctuellement ça m'aide), mais arrêter exacerbe encore plus mes mauvais côtés (quand je dit arrêter ça se limite à me dire "non" ; puis en rouler un 3h aprés par ce que je pete les plombs) . Je voudrais juste savoir si certains ont des témoignages à m'apporter sur leur sevrage ou autre ? Si c'est normal de péter les plombs au début et que ça passe ? Si ceux qui ont réussi à se sevrer ont trouvé ça réellement positif, ...
Et je suis désolée si mon texte est un peu confus et emmêlé, mais comme vous le savez, quand on fume beaucoup, les pensées sont dur à synthétiser ^^ !
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#2
- Intervenant Nuit Blanche
PsychoHead - 12 décembre 2015 à 17:55
Bonjour Akshaya,
Tu as bien résumé :-) il y a du bon et du mauvais comme avec toute chose
Le cannabis n'est pas épargné... il y a des effets positifs et du négatif je dirais comme chaque produit, conduite, comportement, addiction
C'est a toi de voir si la balance penche plus d'un coté ou de l'autre
Moi j'ai arrêté quand la balance penchait trop d'un côté et je ne regrette absolument pas...
Ecouter les autres c'est pas vraiment nécessaire, il y a aura tjrs des avis tranchés et pas forcément justes pour toi, écoute toi dans tes besoins avant tout
Comme tu as pu voir, la vie émotionnelle refait surface quand on arrête, soit tu gères, soit pas mais perso, je préfère vivre mes émotions pleinement même si elles sont parfois dures a vivre mais au moins je me sens plus vivant
Pour l'ouverture spirituelle je trouve drôle comme tu en parles ! Comme si la spiritualité voulais dire vivre zen
Pas du tout, c'est juste se découvrir en profondeur, dans tout notre être... avec notre lumière et notre ombre
Et le plus dur je dirais c'est d'accepter ces parts d'ombres, d'imperfection qu'on a envie d'effacer, de gommer
Le vrai travail est de les vivre, de les accepter, de les assumer, d'apprendre a vivre avec et peut être petit à petit de les lâcher mais avant tout il faut être conscient du mécanisme et des éléments déclencheurs du mal être
Tout ce que je peux te dire, c'est que le chemin est long mais il en vaux la peine. Si a un moment tu ne t'en sens pas capable tu peux te faire accompagner au travers d'une thérapie, moi ça m'a bcp aidé
INB
Tu as bien résumé :-) il y a du bon et du mauvais comme avec toute chose
Le cannabis n'est pas épargné... il y a des effets positifs et du négatif je dirais comme chaque produit, conduite, comportement, addiction
C'est a toi de voir si la balance penche plus d'un coté ou de l'autre
Moi j'ai arrêté quand la balance penchait trop d'un côté et je ne regrette absolument pas...
Ecouter les autres c'est pas vraiment nécessaire, il y a aura tjrs des avis tranchés et pas forcément justes pour toi, écoute toi dans tes besoins avant tout
Comme tu as pu voir, la vie émotionnelle refait surface quand on arrête, soit tu gères, soit pas mais perso, je préfère vivre mes émotions pleinement même si elles sont parfois dures a vivre mais au moins je me sens plus vivant
Pour l'ouverture spirituelle je trouve drôle comme tu en parles ! Comme si la spiritualité voulais dire vivre zen
Pas du tout, c'est juste se découvrir en profondeur, dans tout notre être... avec notre lumière et notre ombre
Et le plus dur je dirais c'est d'accepter ces parts d'ombres, d'imperfection qu'on a envie d'effacer, de gommer
Le vrai travail est de les vivre, de les accepter, de les assumer, d'apprendre a vivre avec et peut être petit à petit de les lâcher mais avant tout il faut être conscient du mécanisme et des éléments déclencheurs du mal être
Tout ce que je peux te dire, c'est que le chemin est long mais il en vaux la peine. Si a un moment tu ne t'en sens pas capable tu peux te faire accompagner au travers d'une thérapie, moi ça m'a bcp aidé
INB
Dernière modification par Intervenant Nuit Blanche (12 décembre 2015 à 17:57)
Intervenant Nuit Blanche - Action de réduction des risques en milieu festif à Genève - www.nuit-blanche.ch
Travail photographique personnel : www.regards-et-perceptions.com
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#3
- Charli420
Nouveau membre - 12 décembre 2015 à 21:01
Salut,
J'ai moi même suivi un sevrage pour le cannabis -
Je te conseil de chercher des solutions intérieures plutôt qu'elles soient extérieures :
Le cannabis a été un moyen pour toi de faire face à certains de tes problèmes mais je pense qu'il faut s'en prendre à la racine du problème, pour vivre mieux et "sereinement"
La racine du problème c'est à dire les raisons pour lesquelles tu fumes, et aussi pourquoi tu n'arrives pas à t'en passer, à arrêter.
Tu parles de dépression, de pulsions de colère ou encore de crises de nerfs - travail là -dessus, je pense que le cannabis est une solution seulement temporaire.
Je te souhaite du courage et de la patience,
Au plaisir
J'ai moi même suivi un sevrage pour le cannabis -
Je te conseil de chercher des solutions intérieures plutôt qu'elles soient extérieures :
Le cannabis a été un moyen pour toi de faire face à certains de tes problèmes mais je pense qu'il faut s'en prendre à la racine du problème, pour vivre mieux et "sereinement"
La racine du problème c'est à dire les raisons pour lesquelles tu fumes, et aussi pourquoi tu n'arrives pas à t'en passer, à arrêter.
Tu parles de dépression, de pulsions de colère ou encore de crises de nerfs - travail là -dessus, je pense que le cannabis est une solution seulement temporaire.
Je te souhaite du courage et de la patience,
Au plaisir
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#4
- Akshaya
Nouveau membre - 14 décembre 2015 à 13:29
Nuit Blanche, si j'en suis à me poser toutes ces questions c'est sûrement que balance commence à pencher un peu trop d'un côté , mais ça me fait prendre conscience de quelque chose d'enome ce que tu dit à propos de ma vision de la spiritualité, c'est vrai qu'inconsciemment j'ai toujours vu un peu ça comme, être zen, sans perturbations, tranquille, etc... Et c'est ce que peut apporter l'herbe d'ailleurs !
Alors qu'au final comme tu dit, le chemin spirituel est bien loin d'être facile, et justement fumer empêche d'aller au fond de nous meme pour y voir la part d'ombre, l'accepter et la travailler, car on la fuit comme on fuit nos émotions négatives en fumant ! Et comme tu le dit bien, on finit par ne plus ressentir les choses vraiment,comme si on était moins vivant... !
Comme quoi avoir un regard extérieur peut nous mettre des évidences sous le nez qu'on arrive pas à voir seul !
Charli420, merci pour tes conseils, jepense qu'effectivement chercher en soi même est la meilleure solution pour trouver des réponses et se retrouver sois même, accepter de se sevrer c'est justement accepter de voir la nature du problème, qui peut être parfois bien enfouie! Toute la difficulté du travail est là !
En tout cas merci pour vos avis et encouragements, rien que ça me conforte dans l'idée d'arrêter (au moins quotidiennement) !
, mais ça me fait prendre conscience de quelque chose d'enome ce que tu dit à propos de ma vision de la spiritualité, c'est vrai qu'inconsciemment j'ai toujours vu un peu ça comme, être zen, sans perturbations, tranquille, etc... Et c'est ce que peut apporter l'herbe d'ailleurs ! Alors qu'au final comme tu dit, le chemin spirituel est bien loin d'être facile, et justement fumer empêche d'aller au fond de nous meme pour y voir la part d'ombre, l'accepter et la travailler, car on la fuit comme on fuit nos émotions négatives en fumant ! Et comme tu le dit bien, on finit par ne plus ressentir les choses vraiment,comme si on était moins vivant... !
Comme quoi avoir un regard extérieur peut nous mettre des évidences sous le nez qu'on arrive pas à voir seul !
Charli420, merci pour tes conseils, jepense qu'effectivement chercher en soi même est la meilleure solution pour trouver des réponses et se retrouver sois même, accepter de se sevrer c'est justement accepter de voir la nature du problème, qui peut être parfois bien enfouie
! Toute la difficulté du travail est là ! En tout cas merci pour vos avis et encouragements, rien que ça me conforte dans l'idée d'arrêter (au moins quotidiennement) !
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#5
- Lilican
Nouveau membre - 17 janvier 2016 à 23:15
Bonsoir,
Je suis ou plutot j'étais une grosse fumeuse.
J'ai commencer la fumette a 12ans pour oublier, c'était occasionnel.
A partir de 14, 15ans c'était devenu quotidien a en perdre la tete quand j'avais plus rien.
Aujourd'hui j'ai 26ans et j'ai arrêté il y a peu, 27 JOURS exactement.
Je ne te caches pas que c'est difficile.
Les deux premières semaines j'étais énervée mais finalement ca changer pas trop, avec les 10 dernières années que j'ai vecu, des sueurs nocturne, tremblement.
Le pire ca reste les insomnies. Qui sont toujours presente aujourd'hui et les cauchemards quand j'arrive enfin a dormir. J'ai beau me boire 3, 4 tisanes ce ne fonctionne pas.
Je dort peu.
Il y a des jours ou tout va bien je suis très fiere de moi et d'autres jours ou ca ne va pas.je suis triste déprimé quoi...
Je n'ai personne avec qui en parlait.
Mes amis fume tous alors je reste seule.car malgres mon arrêt je n'arrive pas a dire non si on me tend un joint.
Ce qui me fait peur, c'est qu'à certain moment la defonce me manque.
Alors que je sais, je vois que je suis beaucoup mieux sans ca.
En tout cas j'espère pouvoir echanger a ce sujet avec vous tous.
Et si des questions a ce sujet je suis la.meme si 27 jours c'est rien.
Je suis ou plutot j'étais une grosse fumeuse.
J'ai commencer la fumette a 12ans pour oublier, c'était occasionnel.
A partir de 14, 15ans c'était devenu quotidien a en perdre la tete quand j'avais plus rien.
Aujourd'hui j'ai 26ans et j'ai arrêté il y a peu, 27 JOURS exactement.
Je ne te caches pas que c'est difficile.
Les deux premières semaines j'étais énervée mais finalement ca changer pas trop, avec les 10 dernières années que j'ai vecu, des sueurs nocturne, tremblement.
Le pire ca reste les insomnies. Qui sont toujours presente aujourd'hui et les cauchemards quand j'arrive enfin a dormir. J'ai beau me boire 3, 4 tisanes ce ne fonctionne pas.
Je dort peu.
Il y a des jours ou tout va bien je suis très fiere de moi et d'autres jours ou ca ne va pas.je suis triste déprimé quoi...
Je n'ai personne avec qui en parlait.
Mes amis fume tous alors je reste seule.car malgres mon arrêt je n'arrive pas a dire non si on me tend un joint.
Ce qui me fait peur, c'est qu'à certain moment la defonce me manque.
Alors que je sais, je vois que je suis beaucoup mieux sans ca.
En tout cas j'espère pouvoir echanger a ce sujet avec vous tous.
Et si des questions a ce sujet je suis la.meme si 27 jours c'est rien.
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#6
- Yeswecan
Nouveau Psycho - 18 janvier 2016 à 20:09
Salut,
Je pense que si tu as tenu 27 jours, tu es sur la bonne voie et le plus fort des symptomes est passé.
J etais aussi un gros fumeur et ce n est qu au bout de 2/3 mois que je n ai plus eu de problème d insomnies ou de réveils nocturnes ou très matinaux.
Après la déprime, elle revient certains soirs et puis avec les semaines elle s en va.
Il faut tenir bon !
C est agréable de retrouver son corps qui n est plus dépendant mais il faut un peu de temps pour retrouver la forme.
Bon courage !
Je pense que si tu as tenu 27 jours, tu es sur la bonne voie et le plus fort des symptomes est passé.
J etais aussi un gros fumeur et ce n est qu au bout de 2/3 mois que je n ai plus eu de problème d insomnies ou de réveils nocturnes ou très matinaux.
Après la déprime, elle revient certains soirs et puis avec les semaines elle s en va.
Il faut tenir bon !
C est agréable de retrouver son corps qui n est plus dépendant mais il faut un peu de temps pour retrouver la forme.
Bon courage !
Lilican a écrit
Bonsoir,
Je suis ou plutot j'étais une grosse fumeuse.
J'ai commencer la fumette a 12ans pour oublier, c'était occasionnel.
A partir de 14, 15ans c'était devenu quotidien a en perdre la tete quand j'avais plus rien.
Aujourd'hui j'ai 26ans et j'ai arrêté il y a peu, 27 JOURS exactement.
Je ne te caches pas que c'est difficile.
Les deux premières semaines j'étais énervée mais finalement ca changer pas trop, avec les 10 dernières années que j'ai vecu, des sueurs nocturne, tremblement.
Le pire ca reste les insomnies. Qui sont toujours presente aujourd'hui et les cauchemards quand j'arrive enfin a dormir. J'ai beau me boire 3, 4 tisanes ce ne fonctionne pas.
Je dort peu.
Il y a des jours ou tout va bien je suis très fiere de moi et d'autres jours ou ca ne va pas.je suis triste déprimé quoi...
Je n'ai personne avec qui en parlait.
Mes amis fume tous alors je reste seule.car malgres mon arrêt je n'arrive pas a dire non si on me tend un joint.
Ce qui me fait peur, c'est qu'à certain moment la defonce me manque.
Alors que je sais, je vois que je suis beaucoup mieux sans ca.
En tout cas j'espère pouvoir echanger a ce sujet avec vous tous.
Et si des questions a ce sujet je suis la.meme si 27 jours c'est rien.
Soyez amoureux. Crevez-vous à écrire. Ne perdez pas votre temps. Écoutez la musique. Regardez la peinture. Lisez sans cesse. Ne cherchez pas à vous expliquer.
Écoutez votre bon plaisir.
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