Le
DXM aurait plutôt tendance à me faire m'évader ds la rêverie. Quand je suis sous hallucinogènes, je prends de grandes feuilles format A2 et je dessine et écrit. Sous
DXM les réflexions et "réponses" que j'y écris sont assez sommaires, et fantaisistes. C'est plus de l'ordre du délire que de l'introspection.
Par contre sous psilo, pas d'échappatoires ! Si je n'affronte pas mes problèmes, c'est le bad garanti. Je deviens hyper conscient de mes problématiques. L'avantage c'est que si j'accepte de les examiner en face et sans peur, tout perd de sa dimension dramatique. Ça peut partir en dérision rigolarde généralisée sur tout les aspects de la vie. Un de mes premiers leitmotif sous champi c'était : "Tout ça c'est des conneries"
Mais de manière bienveillante, avec ce sentiment d'amour universel propre aux champignons. Le
DXM me rends con, les psilo me rendent confiant et bienveillant. Il y a aussi l'
Ayahuasca qui est très réputé pour l'introspection, mais je ne saurais t'en parler, jamais essayé.
Dernière modification par Funkanoïde (21 novembre 2017 à 02:47)