[ Enfant ]
Mon fils devient irritable et violent

#1 
MIMA femme
Nouveau membre France
26 décembre 2017 à  14:16
Bonjour,

je suis maman d'un garçon de 18 ans qui fume depuis au moins 2 ans. Je pense que sa consommation ne fait qu'augmenter. Il devient de plus en plus violant et très irritable hier il a encore était violant verbalement avec son père et moi, je suis désemparée, je ne sais quoi faire.
Il ne peut pas rester à la maison il faut qu'il trouve toujours une excuse pour sortir. Il dit devenir fou en restant à la maison.
Voilà aujourd'hui j'ai lu quelques commentaires qui m'ont remontés le moral, j'ai besoin de savoir comment je dois mi prendre avec mon fils ? je suis passée par tous mes états , compréhensive, autoritaire, exigeante etc mais rien ne fait, il a accepté de se faire suivre par une psychologue.
aidez moi SVP

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#2 
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Recklinghausen homme
Adhérent PsychoACTIF France
26 décembre 2017 à  17:32
Salut,

Si seulement il existait un système d'éducation qui fonctionne, je pense que quasiment tous les parents adopteraient le comportement adéquat wink

Tu parles de fumer... C'est bien de cannabis dont il s'agit ?

Je me permets de mettre des parenthèses par rapport à ce que tu penses croire.

Il est loin d'être évident que se soit le produit psychotrope qui soit responsable de ses sauts d'humeur.

Qu'appelle tu donc violences verbales ? Des mots d'un jeune énervé ? Des menaces de violences physiques ( voir pire ) ? Des choses qui sont cassées ?

Car étant jeune, je me rappelle avoir eu quelques discussions houleuses avec mes parents sans que cela puisse être assimilées à de la violence.

Pour ce qui est du cannabis, quelle est donc votre position par rapport à ce produit à la maison ?

Autre petite question sans aucun rapport, il est donc jeune majeur... Que fait-il actuellement ?

Il travaille, est à l'école, en recherche d'emploi, en stage,... ?

Le fait de sortir montre qu'il a des difficultés à rester en place. Peut-être a t-il besoin de marcher pour s'extérioriser ? De parler à des personnes de son âge ( surement plus apte à comprendre ce qu'il ressent ) ?

Les hypothèses peuvent être multiples.

En tout cas, à son âge, je ne restais guère à la maison parentale. Si on m'y voyait à l'heure du repas, c'était déjà bien...

Et je considère avoir une vie équilibré à l'heure actuelle.

Quand tu dis que rien n'y fait... Mais que devrait-il donc faire ? Pourrais tu être un chouillat plus précise s'il te plait ?

Et pourquoi penses tu qu'il doit se faire suivre par un psychologue ?

@ +


Reck.

L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.

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Bonjour

Tout d'abord c'est une bonne chose de venir demandé des conseils sur Psychoactif

Et pour ça je vous félicite :)

Votre relation avec votre fils ressemble à celle que j'avais avec ma mère a l'époque où je fumé du cannabis (souvent le soir dans mon cas) également entre 17 et 19ans

J'ai consommais ce produit parce que j'aimais ses effets euphorisant et apaisant, j'ai fini par arrêté car j'en avais marre d'être sous ses effets aussi souvent...et pour le permis bien sûr wink

Ma mère et notamment mon père était inquiet de ma consommation, ils n'avaient et n'ont malheureusement toujours pas de connaissances pertinente à propos des drogues et des addiction ce qui amène à la désinformation et finalement à la crainte du produit

J'etai parfois aussi irritable mais pas seulement à cause de mon parcours avec le produit, j'avais et j'ai encore des problèmes relationnel avec ma mère

Et je pense que le fait de ne pas fumé parfois n'a fait que augmenter mon mal être  vis à vis de ma situation

La ou je veux en venir c'est que oui une drogues peut causé de l'irritabilité mais ceux sentiments à toujours une source qu'il vous faut trouvait pour pouvoir comprendre davantage votre fils

Vous venez faire le premier pas ici...chercher des informations pour le bien de votre fils ce qui devrait vous aider davantage à comprendre les effets des produits

Quelques informations rationnelle :

https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … émoignages

Dans votre cas il vous faut privilégier a tout pris le dialogue qui lui s'avère constructif par rapport au menace et à la colère

Tout d'abord ne portez pas de jugement restait tolérante sur ça consommation

Ensuite attendez que les choses ce calme et au moment où lui se sent bien, la vous pourrai ouvrir le dialogue sur la consommation

Si il refuse accepter le et essayer plus tard

Dite lui que vous avait chercher à trouvait des informations pertinentes au sujet des drogues car les médias on tendance à montré le contraire

Il ne sent sentira que compris en vu de la stigmatisation qui règne à propos des drogues

Une fois que vous arriverez à parler du cannabis et qu'il se sentira en confiance vous pourrez alors lui parler de son irritabilité envers vous

Mais tous dépend comment vous avait ouvert la conversation avant avec lui, car croyait le, il n'y a rien de pire que d'être stigmatiser par ça propre famille (à éviter donc)

Seul lui peut vous apporter ces réponse

Toute fois j'espère avoir pu vous aider :)

Dernière modification par Petit conton (26 décembre 2017 à  17:54)

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#4 
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Wonderland femme
Borderline & beyond France
26 décembre 2017 à  22:21
Bonjour à vous,

J'aurais aimé que mes parents aient votre démarche et viennent poser des questions plutôt que de se fermer à moi.

La prise régulière de cannabis, dans beaucoup de cas je pense, s'associe à cette envie de retrouver le bien être procuré par le cannabis la toute première fois. Enfin, un enfant peut tout avoir de matériel, tout ce dont il aurait besoin, sans pour autant se sentir bien au fond. Cela ne veut pas dire que vous y êtes pour quelque chose, nos histoires sont toutes différentes et je me base sur mon expérience.

Mes parents n'ont jamais compris que je devienne accroc à ça alors que j'avais "tout ce qu'il me fallait". Pour eux, la consommation de cannabis est forcément liée à la pauvreté ou les - gros - problèmes familiaux (gros, à définir...).
Je suis irritable, je le sens, je suis un peu plus sanguine qu'avant (j'étais plus passive-agressive que dans la confrontation comme aujourd'hui).

Pour moi, l'idée serait de lui en parler en adoptant une posture ouverte et sans jugement vis à vis de ses activités car sinon il risque de se renfermer sur lui même si jamais il se sent incompris ou jugé. Il est important à mes yeux que les parents, dans les situations d'addictions, ne fassent pas culpabiliser leur enfant et ne lui fassent pas honte mais montrent qu'ils cherchent à comprendre sans condamner. Evidemment, il serait normal de citer les effets négatifs sur la santé, mais il serait contreproductif de dire qu'un addict au cannabis finit sa vie sous les ponts, le traiter de junky etc (pour avoir testé, je peux vous dire que plus jamais je ne m'ouvrirai à la personne qui m'a dit ça). Il faut lui montrer que vous êtes prête à l'aider et le soutenir si jamais il en a besoin, mais sans le brusquer. Je ne sais pas si vous arriverez à faire qu'il arrête sa consommation, je ne sais pas si c'est une bonne idée d'espérer. PErsonnellement je n'ai jamais réussi à arrêter pour personne et j'estime que le declic doit être personnel, et non pour une autre personne.

Bon courage dans ta démarche, j'imagine que ce n'est pas facile.

"I've never had problems with drugs. I've had problems with the police." Keith Richards

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Bonsoir Mima, ton témoignage
me touche particulièrement
j'ai moi même 2 garçon (15ans)

et je culpabiliser vachement
en tant que toxicomanes à plein temps
qu'il ne reproduise mon parcours,
et puis en faite ils ne s'intéresse pas du tout à la drogue le cadet est dans les premiers de sa classe le grand travail

et il ne veut pas qu'on lui paye une moto,
ils demandent toujours si ils peuvent quitter la table à 15ans,

J'allucine defois je me demande
si on me les a pas changé à la maternité, alors je te répondrai que malheureusement il n'y a pas de recettes miracles,
juste un conseil, quoi qu'il arrive ne jamais en arriver au main(pourtant)

parce-que après y a cassure
et pour recoler les morceaux c'est mort
je te dit sa parce-que je l'ai vécu
avec mon père a 15ans du coup grand mère m'a élevé depuis ce jour où l'on c'est tapé dessus moi et mon père et sa a été terminé depuis ce jour là, fini.

Après c'est pas facile j'ai une copine dans ton cas sans marie, bah il prend la cc de sa mère tout les mois pour acheter son shit, ce mois ci elle m'a appelé pour que je la dépanne elle avait plus un centimes sur son compte le 10 mois, et quand je l'ai croisé pour dépanner la maman j'avais bien envie de lui en mettre une bonne.

Si j'étais dans ton cas
je ne sais pas comment je ferai,
j'ai vraiment du bol avec les miens.
Je te souhaite bon courage
et si j'ai une bonne idée moi,
il devrai les mettre au service militaire comme dans le temps sa leur ferai les pied, c'est pas si con que sa comme idée aller à l'armée.

Je te souhaite bon courage pour la suite,

Desolé pour le pavé mais je suis speeder ce soir.

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Speedmicha a écrit

il devrai les mettre au service militaire comme dans le temps sa leur ferai les pied, c'est pas si con que sa comme idée aller à l'armée.

Je suis pas d'accord avec toi sur ce point speedmicha, forcer un UD's de quelques manières que se soit a decrocher n'a jamais prouver son éfficacité thérapeutique.
C'est meme dans certains cas contre productif.

Tu as de la chance d'avoir de gamin come les tiens.

Amicalement.
Gas'.

PS: L'armée en elle meme n'est pas le problème c la manière "thérapeutique" dans le cas de l'addiction qui est critiquable !

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#7 
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Wonderland femme
Borderline & beyond France
26 décembre 2017 à  23:25
+1 Gaspard.

Pour ma part ça m'a surtout éloignée de mes parents, et de ma famille en général. Le sentiment d'être incomprise a fait que j'ai davantage sombré dans mon addiction qui me semble aujourd'hui etre mon seul refuge.

"I've never had problems with drugs. I've had problems with the police." Keith Richards

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Que dire ? Perso à 18 ans je fumais du cannabis certes , mais je ne m'entendais pas  avec mes parents , j'ai d'ailleurs quitté le domicile familial à 18 ans pour aller vivre en communauté avec des copains, je ne suis même pas allée passer mon bac bref...

Aujourd'hui j'ai 53 ans et ... je ne m'entends toujours pas avec mes parents !   Donc comme dans un divorce/une séparation où on est deux à avoir ses torts, ses raisons etc.  Dans une famille on deux ou trois ou quatre .

Que ton enfant aille voir un psy c'est une bonne chose mais tu devrais aller en voir un toi aussi afin de débriefer un peut tout cela !

Je te souhaite que tout s'arrange au mieux !

Amicalement

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#9 
sud 2 france homme
problème traitement France
27 décembre 2017 à  05:41
je n'ai qu'une chose à dire : le dialogue le dialogue le dialogue le dialogue
@ speedmicha: Les enfants d'UD se rebellent en étant.....straights; mais en général ils décrochent de bons diplômes ce qui peut être utile dans cette super société......Ton fils, en refusant la moto, se rebelle.....
Et attention aux étoiles avec l'armée etc.....De + les quelques jours d'armée que j'ai fait c'était les gradés qui fournissaient la fumette.....donc fausse solution

Dernière modification par sud 2 france (27 décembre 2017 à  05:45)

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Je crois pas que micha a parlé de l'armée comme solution de sevrage.
Mais plutôt comme un moyen d'apprendre la cohésion et le savoir vivre ensemble.

Sinon pour le reste je pense comme Reck et Laguêpe, à 18 ans fallait m'attacher pour que je reste à la maison.....
Et je m'entendais pas avec mes parents...

Et arrivé à 40ans je ne m'entends toujours pas avec eux.. ^^

240 g de chocolat noir cassé en morceau.
    60 g de beurre.
    6 œufs jaunes et blancs séparés.
    60 g de sucre et une pincée de sel.

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Bonjour,

Il ne peut pas rester à la maison il faut qu'il trouve toujours une excuse pour sortir. Il dit devenir fou en restant à la maison.

Il est évident que ça ne s'arrangera pas tout seul et qu'il faut trouver une façon pour l'aider à s'autonomiser sans pour autant le laisser libre de faire n'importe quoi.
On dit souvent que "la" drogue est une forme d'autonomisation mais je crois que c'est en général faux. Beaucoup de toxicomanes que j'ai soigné sont encore avec ou dépendant des parents à l'âge où leurs frères et soeurs ont une vraie autonomie (professionnelle, sentimentale etc..).
nb= je dis "la" drogue parce que , pour moi, il y a des drogues et pas une drogue unique et interchangeable. Et chaque produit a ses bénéfices et ses méfaits propres..., bien entendu, en association avec l'état mental lui même et l'environnement social.

Je crois que la consommation peut refléter le désir d'autonomie mais avec la douleur psychique de ne pas y arriver. Donc quand il te dit cela (ce que je cite plus haut) , le mieux serait, je pense, de discuter avec lui pour savoir comment vous pouvez l'aider à réaliser cette autonomie. Bien sûr il aura des réponses immédiates mais qui relèveront probablement justement de son inaptitude à s'autonomiser (c'est à dire des "solutions" inefficaces et utopiques). Il faudra avec tact l'amener à comprendre que désirer n'est pas vouloir et qu'une réelle volonté d'autonomisation passe par des solutions crédibles et sécures. Mais c'est lui qui devra faire le travail et trouver ses solutions, si possible en fonction de son niveau scolaire et professionnel. Et, bien sûr, de vos niveaux de ressource.
Ce pourra etre l'armée mais aussi toute autre solution pour laquelle il aura une réelle motivation. Mais il faudra l'amener à bien définir les difficultés et les risques et à définir des jalons précis qui lui permettront éventuellement de corriger le tir.
Je pense que c'est en l'aidant dans ce moment difficile que vous le retrouverez le mieux, une fois la crise passée.
Amicalement

PS je m'aperçois que je n'ai pas du tout parlé de ses consommations mais c'est justement parce qu'elles sont probablement "secondaires" (à ses difficultés d'existence..) qu'il faut les laisser en arrière plan. Par contre il peut etre utile de faire de la RdR (Réduction des Risques) y compris les risques judiciaires qui ne l'aideraient pas à cheminer vers le mieux.


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Non je me suis mal exprimé,
je parle pas de l'armée
comme solution de sevrage.

Loin de là, faut pas exagéré non plus.

Évidemment qu'il vaut mieux les voir à l'armée que de procrastiner, volé et compagnie..........

Moi héroïnomane je n'ai jamais
manqué de respect à mes parents

De plus c'est prouvait que les gosses
sont plus rassuré lorsqu'il grandisse
dans un cadre avec des règles strict

Tant qu'il sont à la maison il y a des règles à respecter.
Et la première c'est le respect.

L'autre jour j'ai croisé une maman avec un petit de 4/6ans qui avait les lassés défait, la mère dit au gosse

"fait tes lassé tu vas tomber, la maîtresse t'a pas appris à l'école.

Y a un moment où faut  arrêté les conneries .
Les maîtresse elles  ont  autre chose
à foutre c'est pas leur rôle d'apprendre
au mome à se moucher
ou à remonter sa braguette
ou se laver.

Beaucoup de parents se décharge
de leur rôle et attende que l'école
leur apprennent à s'essuiller ou à essuiller la cuvette des chiottes.

Et croive que mettre une fessée c'est de la maltraitance.

Déjà c'est bon pour la santé
sa fait circuler le sang
et sa remet les idées en places.

Et tu réfléchis à deux fois avant de recommencer '

Alors après t' à les têtes brûler
avec qui tu peux rien en tirer
peut-être le fils à Mima
est-il comme sa,

Si c'est le cas c'est une bonne nouvelle,
sa veut dire qui se laissera
pas marcher sur les pieds
et qu'il est plus degourdie
que les autres.
Bon peut-être un peu trop même.

Quand mon daron me disais enfile tes godasses  tu viens courir avec moi.

Bah j'avais pas le choix et j'allais courir.
Mais sa me fesai du bien.
Que de traîner au quartier.



fache-non-non

Dernière modification par Speedmicha (27 décembre 2017 à  12:07)

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#13 
avatar
Sufenta
Adhérent PsychoACTIF
27 décembre 2017 à  12:12
La fessé c’est bon ça fait circuler le sang mais la barre que je viens de me taper :)

Après l’armée n’est pas non plus le refuge de tous les gamins en perdition, certain ne s’y adapte pas du tout et surtout s’il y a une problématique stup c’est direct P4 ..

L’educaction et le dialogue sont primordiaux comme l’a bien expliqué prescripteur...

Ça me donne encore moins envie d’avoir des gamins tout ça ...

SINTES: Analyse de produits :
https://www.psychoactif.org/sintes

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#14 
avatar
Recklinghausen homme
Adhérent PsychoACTIF France
27 décembre 2017 à  12:34
Petit HS...

L'armée convient aux personnalités psychopathes car elles donnent des règles strictes qui permettent de donner un cadre à ces personnes atteintes de ce trouble de la personnalité.

Attention, je ne prétends nullement que les militaires sont tous des psychopathes en puissance et que seul ces personnes peuvent faire de bons militaires.

Juste que l'armée comme solution est une idée à prendre avec des pincettes.

En ce qui concerne la fessée, hormis défouler la personne qui frappe, je ne vois pas l'intérêt de cette brimade physique.

La violence n'est pas une solution viable et cette phrase s'applique à toutes les situations.

Surtout que les fesses sont quand même une partie du corps assez intime.

Il est très compliqué d'expliquer à un enfant que son corps lui appartient et que personne n'a le droit de lui toucher à des endroits qu'il ne désire pas tout en lui assénant des claques sur les fesses.

Claques qui sont assimilés à des agressions sexuelles une fois arrivé à l'âge adulte.

Oser comparer l'éducation nationale qui est censé " apprendre à faire ses lacets aux enfants " pour justifier que les fessées ne sont pas de la maltraitance et qu'elle servent à éduquer... Faudra m'expliquer la relation entre les deux.

Personnellement, j'ai appris à mes enfants à nettoyer les toilettes quand ils ne visent pas bien ( garçons comme filles ) et je ne les ai pas tapé pour autant.

Je ne sais pas si l'éducation que je donne est la bonne ( Dolto avait ecrit qu'être parents, c'est accepter de ne faire que des conneries ) mais en tout cas, je ne me suis jamais défoulé mes nerfs en portant la main dessus.


Reck.
Reputation de ce post
 
Clair que la fessé ne règle rien, j’en ai eu et regarde ce que ça a donné suf
 
D'accord avec toi sauf pour là psychophatie/petit conton
 
D'accord avec toi surtout pour la psychopathie latente :)/ Agartha

L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.

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#15 
MIMA femme
Nouveau membre France
28 décembre 2017 à  17:04
Merci et encore merci à vous tous pour avoir entendu mon désespoirs.
Hier en rentrant après le boulot, je suis allé voir mon fils dans sa chambre, il était encore dans le noir la porte fermée, je suis rentré et je lui ai dis que j'avais une question à lui posée et si c'était possible pour lui de me répondre il m'a dit pose ta question ? Je lui ait demandé simplement s'il me fessait confiance il s'est mis à pleuré il m'a dit que oui.
Il m'a expliqué qu'il se sent très mal, il ne comprend pas ce qu'il lui arrive, je l'ai trouvé très angoissé du coup je lui ai proposé que j'aille à la pharmacie pour lui prendre quelque chose qui puisse le détendre dans un premier temps il à refusé mais j'ai insisté et il accepter c'est à base d'huile essentielle.
Aujourd'hui il dit se sentir mieux mais je ne lache pas l'affaire car j'ai un fils extraordinaire et il le sait.
Je lui dis toujours tu es mon champion. Et en plus c'est vrais il a était champion de France dans sa catégorie.
Merci à VOUS TOUS ET TOUTES

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De bonnes nouvelles pour commencer c deja bien. Comme beaucoup ont déja dit ici, le dialogue et l'échange sont une base pour aborder le "problème".
Je vous souhaites d'aller bien.
Amicalement
Gas'.

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Bonjour Mima, il a beaucoup de chance, j'aurais aimé avoir une maman comme toi, je vous souhaite plein de bonnes choses pas seulement à toi mais aussi à ton fils et ton mari.

Sache que je suis souvent perché, et qu'il m'arrive souvent de répondre pour dire au collègue mon point de vu et j'en oublie de me concentrer sur le sujet.

Mais je suis sûr que sa va s'arranger pour vous, avec tant d'amour y a pas de raison.

Une fois je suis allé chercher de l'héroïne,
et sur la route j'ai appelé maman,
elle m'a dit je sais plus quoi,
je me suis mis à pleurer
et j'ai fait demi-tour à Paris
pour rentre, je ne sais plus se qu'elle m'a dit mais je pense que sa devait être je t'aime.

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MIMA a écrit

Merci et encore merci à vous tous pour avoir entendu mon désespoirs.
Hier en rentrant après le boulot, je suis allé voir mon fils dans sa chambre, il était encore dans le noir la porte fermée, je suis rentré et je lui ai dis que j'avais une question à lui posée et si c'était possible pour lui de me répondre il m'a dit pose ta question ? Je lui ait demandé simplement s'il me fessait confiance il s'est mis à pleuré il m'a dit que oui.
Il m'a expliqué qu'il se sent très mal, il ne comprend pas ce qu'il lui arrive, je l'ai trouvé très angoissé du coup je lui ai proposé que j'aille à la pharmacie pour lui prendre quelque chose qui puisse le détendre dans un premier temps il à refusé mais j'ai insisté et il accepter c'est à base d'huile essentielle.
Aujourd'hui il dit se sentir mieux mais je ne lache pas l'affaire car j'ai un fils extraordinaire et il le sait.
Je lui dis toujours tu es mon champion. Et en plus c'est vrais il a était champion de France dans sa catégorie.
Merci à VOUS TOUS ET TOUTES

Salut, je suis aussi passé par une phase comme ça, la fumette était pas vraiment le vrai "problème", mes parents pensaient que si.
Du coup ils m'ont amené à une consultation jeune consommateur, où j'ai été reçu par un psy qui était super.
Le mec limite il s'en fichais de mes conso, il traitait le problème à la base.
Je l'ai vu toutes les 2 semaines pendant environ six mois, ça a permis de discuter avec mes parents (en début de séance ils étaient là, et après j'étais seul avec lui), et de ma relation avec eux, ainsi que de ma vie en général (c'était un ensemble de choses).

Faut pas croire les psy c'est pas pour les fous (enfin pas que) mais quand tu vas mal, ça peut vraiment aider. Par contre faut qu'il soit bon et qu'une relation de confiance s'installe avec lui, en général pour un jeune j'aurais envie de te dire que le fait qu'il soit aussi plutôt jeune ça aide.

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#19 
MIMA femme
Nouveau membre France
29 décembre 2017 à  10:29
Bonjour à vous tous
Effectivement, je pense aussi que de parler à un psy sa peu faire du bien et que la fumette n'est qu'un moyen qui cache un mal être.
Hier il en a parlé à son toubib de son angoisse, il lui à dit de voir plutôt un pedopsy, je lui ai demandé se qu'il en pensé il m 'a dit qu'il va d'abord en parler avec sa spy pour savoir se qu'elle en pense. Voilà tout
Vous ne pouvez pas vous imaginer comment cela me fait du bien de vous parlez de mon fils et de plus cela se répercute sur mon fils, je suis moins a cran quand je discute avec lui, je ne le juge pas j'ai seulement besoin qu'il se sent bien dans sa peau et surtout dans sa tête.

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#20 
avatar
Recklinghausen homme
Adhérent PsychoACTIF France
29 décembre 2017 à  12:47
Salut,

Euh... Il ne consomme pas forcément du cannabis parce qu'il ne va pas bien.

Heureusement que ce n'est pas une vérité car cela signifierait que la jeunesse francaise irait vraiment mal au vu de la consommation qui explose les plafonds.

Par contre, ne faire que consommer du cannabis ( ou autre produit ), montre quelquefois une difficulté à affronter le quotidien.

Il n'a que 18 ans, c'est normal qu'il se cherche encore.

En tout cas, si les avis qui te sont donnés permettent d'améliorer la situation à l'intérieur de la famille, je trouve que c'est très bien :)

Souvent, la peur fait oublié le principal... C'est un sentiment négatif par excellence ( comme la culpabilité ).

Tu as pensé à lui demander si participer à une ou deux séances avec son psy ( pedo ou pas ) lui serait profitable ?

J'ai l'impression que le papa n'est pas ( ou peu ) présent... Mon intuition est exacte ?

@ +


Reck.

L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.

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MIMA a écrit

Bonjour à vous tous
Effectivement, je pense aussi que de parler à un psy sa peu faire du bien et que la fumette n'est qu'un moyen qui cache un mal être.
Hier il en a parlé à son toubib de son angoisse, il lui à dit de voir plutôt un pedopsy, je lui ai demandé se qu'il en pensé il m 'a dit qu'il va d'abord en parler avec sa spy pour savoir se qu'elle en pense. Voilà tout
Vous ne pouvez pas vous imaginer comment cela me fait du bien de vous parlez de mon fils et de plus cela se répercute sur mon fils, je suis moins a cran quand je discute avec lui, je ne le juge pas j'ai seulement besoin qu'il se sent bien dans sa peau et surtout dans sa tête.

En tout cas je trouve que tu es très ouverte d'esprit et que tu t'y prends de la bonne manière, chapeau wink

Recklinghausen a écrit

Salut,

Euh... Il ne consomme pas forcément du cannabis parce qu'il ne va pas bien.

Heureusement que ce n'est pas une vérité car cela signifierait que la jeunesse francaise irait vraiment mal au vu de la consommation qui explose les plafonds.

Par contre, ne faire que consommer du cannabis ( ou autre produit ), montre quelquefois une difficulté à affronter le quotidien.

Il n'a que 18 ans, c'est normal qu'il se cherche encore.

En tout cas, si les avis qui te sont donnés permettent d'améliorer la situation à l'intérieur de la famille, je trouve que c'est très bien :)

Souvent, la peur fait oublié le principal... C'est un sentiment négatif par excellence ( comme la culpabilité ).

Tu as pensé à lui demander si participer à une ou deux séances avec son psy ( pedo ou pas ) lui serait profitable ?

J'ai l'impression que le papa n'est pas ( ou peu ) présent... Mon intuition est exacte ?

@ +


Reck.

Ouais mais le fait qu'il soit agressif et à cran cache quelquechose, c'est pas le cannabis qui le rend comme ça, et tu te comporte pas mal vis à vis d'autrui sans raison wink

Dernière modification par splinK (29 décembre 2017 à  16:40)

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Recklinghausen a écrit

Dolto avait ecrit qu'être parents, c'est accepter de ne faire que des conneries 

Ah bon? Ça me dit vraiment rien. Ou est ce qu'elle a dit ça?

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