[ Expériences ]
Le tramadol un opiacé extrêmement addictif

#opiacée #tramadol
#1 
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LeNovicePsyco homme
TOUT EXISTE ET TOUT PEUT DISPARAÎTRE France
31 mai 2024 à  14:11
Bonjour à tous, j’espère que vous allez bien !

Aujourd’hui j’aimerai parler du tramadol car j’en est été addict pendant plusieurs mois dans le passé.

Au moment des faits j’étais consommateur extrême de cannabis shit et beuh en grosse dose tout les jours.

Un peu comme beaucoup de gens, un jour j’ai fouiller dans mes boîtes à pharmacie à la recherche d’un potentiel récréatif, c’est à se moment là que j’ai découvert le dxm, codéine, tramadol et bien d’autre choses mais je parlerai du tramadol.

J’avais déjà eu l’occasion d’en consommer il y a très longtemps car j’avais un plâtre au bras et que j’avais eu le tendon sectionné ainsi que plus de 10 point de soudure au poignet.

A se moment là je connaissais pas le monde de la drogue et en prenais avec les doses prescrite sans trop savoir se que sa m’apporter. (Dose assez faible)

Puis un moment je suis tomber sur une boîte pleine bien longtemps après cette épisode.

Je me suis renseigner encore et encore, j’ai décider d’essayer cette molécule.

Au début je ne savais pas le potentiel addictif, j’avais tester 200mg et avais trouver ça sympa, puis j’ai commencer a tout les jours en prendre 200mg puis 250 puis 300 puis je montais encore et encore.

Le maximum que j’ai pris était 700mg mais je ne me rendais pas compte de ma tolérance et de l’impact que ça avais.

J’étais devenu un zombie, je voulais seulement rester allongé ou assis, j’avais plus trop d’appétit, mon envie de fumer du cannabis avait grandement diminuer et lorsque je fumais j’étais pris de nausée intense.

A se moment la de ma vie je ne me rendais pas compte que j’étais addict en me disant c’est pas grave il en reste je reprend et quand y’aura plus et ba y’aura plus.

Mensonge, j’ai finie 2 boîte qu’il y avais et quand il ne restais seulement un seul cachet j’ai eu des palpitations au coeur, une bouffe de chaleur et une sorte de colère, je comprenais pas pourquoi encore, j’ai pris le dernier cachet doser a 100mg mais avec ma tolérance monstre que j’avais crée j’avais trouver ça inutile et j’étais encore plus en colère.

Comme c’est sous ordonnance et que j’avais aucun motif pour en avoir j’ai été déçu de la vie, je n’arrivais plus à dormir, à bien manger, je voulais rien faire, j’ai recommencer à fumer mais en très grosse doses pour palier au manque, des doses qui pourrait me rappeler le tramadol mais c’est impossible, c’est tellement différent.

Un ami c’est fait prescrire du tramadol et m’a donner une plaquette, c’était des 50mg et j’étais très déçu, avec ma tolérance j’ai finie la plaquette en moins de 2 jour.

Puis d’un coup j’ai eu un éclair de lucidité, moi qui été addict à l’alcool, au cannabis et au taz avant ça pourquoi j’irai me rajouter une addiction en plus, j’ai stopper et me suis arrêter de force, les nuits qui ont suivi ont été très dur.

Cauchemar à répétition, rêve vif et étrange.
Démangeaisons, je m’étais 1 h à m’endormir même sous 3g de shit et de beuh.

Le temp est passer et je suis sorti de cette impasse, j’ai expérimenté beaucoup d’opiacés et à grosse doses, pourtant c’est le seul qui m’a rendu addict à une période.

J’ai été personnellement heureux de m’en être sorti car j’avais des sauts d’humeur, passer de l’euphorie à la colère en 2 seconde, j’adorerais êtres dans se cocon chaud et cotonneux et j’aimai que personne me dérange.

J’ai été agressive avec des membres de ma famille alors qu’il ne me disais rien de mâle et me demander juste par exemple « ta pas vue le chargeur de … » et là je démarrer direct alors que il y avais aucune raison.

Après mon addiction a l’alcool et au cannabis ça a été la plus grosse addiction.

En terme d’effet je vais faire cours, au dose que je prenais je me sentais flotter, parfois écraser mais c’était toujours agréable, une sensation de chaleur intense qui picote partout mais de manière agréable comme des mini orgasme prolonger mais à répétition, j’avais un flot de pensée a 0 c’est à dire que je pouvais regarder une série, film etc sans bouger rien faire et ne même pas réfléchir à se que je regarde juste j’étais là sans être là, au niveau du sommeil je m’endormais directement sans même le remarquer, mais avait de multiples réveil dans la nuit se qui ne me déranger pas pour autant.
Un effet énormément sédatif et avec parfois l’impression de plus sentir un ou plusieurs membre, êtres engourdi.

J’ai déjà pue avoir des hallucinations avec le tramadol a grosse dose, comme des voix ou une personne de ma famille ou un ami que je connais rentrer dans ma chambre me poser une question et disparaître en fumer, ça arrivait généralement quand j’allais m’endormir.

Avec le tramadol et en prenant du recul, en testant énormément de drogue, psychédélique, dissociative, delirogene et j’en passe, je me suis demander comment j’ai pue être addicti au tramadol alors que j’ai eu des centaines d’occasion de prendre des substances plus intense et plus récréatif.

Aujourd’hui je ne veux même plus en entendre parler ou lire de chose à ce sujet pas par peur de replonger juste par dégoût envers cette substance.

Si vous avez un traitement au tramadol liée à une blessure ou quel que chose qui requière du tramadol, respecter les doses qu’on vous a donner, et faite en sorte d’oublier vite cette substance après votre épisode douloureux.

Si vous avez en tête de tester le tramadol car vous l’avez trouver au piiff dans votre boîte à pharmacie méfier vous, la tolérance deviens monstrueuse et votre addiction arrive sans prévenir.

Essayer de ne jamais toucher à ça même avec une blessure, j’ai eu le nez casser et sans trop comprendre ont m’a prescrit du tramadol que j’ai absolument refuser.

Faites attention à vous, je ne saurais dire tout les dangers d’une tel consommation ou la toxicité mais je suis certain que avec les doses que je prenais j’ai été atteint de l’intérieur forcément.

Un pote qui prenais un peu de tout et n’importe quoi à chaque fois à pris pour ça première fois 400 mg de tramadol et a finie a l’hôpital en crachant du sang, ça ne met jamais arriver mais ça pourrais arriver à n’importe qui.

Je vous remercie d’avoir lu et vous souhaite d’être heureux même sang substance !
Trip safe.

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Sauf que parfois la douleur est tellement insupportable, qu'on est bien content de trouver un remède pour mettre fin à la souffrance et pouvoir enfin vivre "comme tout le monde".

C'est comme tout, la dangerosité d'un produit dépend de l'usage dont on en fait. La règle pour éviter de telles conséquences reste la "la juste mesure". Mais hélas, parfois, il est trop tard.
Prévenir des conséquences ne suffit pas toujours. Mais ça ne coûte rien d'essayer. Après tout, si on est informé,  le sevrage est plus facile puisqu'on essaye de s'arrêter  à temps car avertit des risques (c'est déjà pas trop mal).

Mais bon parfois, il faut toucher le fond pour se rendre compte par soi-même qu'on a un problème. La plupart du temps, on est dans le déni puisque le plaisir prend le dessus. C'est quand le plaisir se dissipe au profit des douleurs liés au manque physique qu'arrive la volonté de s'en sortir. Sans cet électrochoc, pas facile d'entreprendre quoique ce soit. Après tout, on est bien, pourquoi changer ? Prévenir oui, mais paraît parfois insuffisant pour se mettre en marche.
Pour ma part, un plaisir qui s'estompe ( malgré la hausse du dosage)  cumulé à quelques expériences douloureuses du manque m'ont suffit à faire déclic.

"Dans un voyage, ce n'est pas la destination qui compte mais toujours le chemin parcouru et les détours surtout" Pollet-Villard

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#3 
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LeNovicePsyco homme
TOUT EXISTE ET TOUT PEUT DISPARAÎTRE France
01 juin 2024 à  13:38

Mlle*Ordinaire a écrit

Sauf que parfois la douleur est tellement insupportable, qu'on est bien content de trouver un remède pour mettre fin à la souffrance et pouvoir enfin vivre "comme tout le monde".

C'est comme tout, la dangerosité d'un produit dépend de l'usage dont on en fait. La règle pour éviter de telles conséquences reste la "la juste mesure". Mais hélas, parfois, il est trop tard.
Prévenir des conséquences ne suffit pas toujours. Mais ça ne coûte rien d'essayer. Après tout, si on est informé,  le sevrage est plus facile puisqu'on essaye de s'arrêter  à temps car avertit des risques (c'est déjà pas trop mal).

Mais bon parfois, il faut toucher le fond pour se rendre compte par soi-même qu'on a un problème. La plupart du temps, on est dans le déni puisque le plaisir prend le dessus. C'est quand le plaisir se dissipe au profit des douleurs liés au manque physique qu'arrive la volonté de s'en sortir. Sans cet électrochoc, pas facile d'entreprendre quoique ce soit. Après tout, on est bien, pourquoi changer ? Prévenir oui, mais paraît parfois insuffisant pour se mettre en marche.
Pour ma part, un plaisir qui s'estompe ( malgré la hausse du dosage)  cumulé à quelques expériences douloureuses du manque m'ont suffit à faire déclic.

Déjà je te remercie d’avoir lu mon post, et je te trouve très intelligent et constructif, effectivement j’ai parler de Mona addiction mais chez quel quun d’autre ça peu être différent et le déclic aussi.

Il est vrai que tout est une question de juste milieu, effectivement si ont en fais ps qu’à notre tête ont devrais pouvoir gérer là choses, c’est l’abus des drogues qui tuent peut importe la quel, je sais que y’a des drogue hyper safe même en overdose mais se que je veux dire c’est que c’est l’abus qui peut détruire un peu tout..

Je te remercie à toi d’avoir ajouter ce message très important pour moi et pour tout plein de gens qui pourrais lire, c’est très intellect et intéressant ! Merci beaucoup !

Dernière modification par LeNovicePsyco (01 juin 2024 à  13:38)

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#4 
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cependant
Modo bougeotte
01 juin 2024 à  15:44
Salut,

En lisant ton expérience, je le dis que chacun réagis différemment !
Moi perso j'ai toujours utilisé les opiacés pour avoir la forme, pour être bien avec les autres, performante au travail et sociable !
Certes le manque quand est arrivé (après dix ans de conso occasionnelle pour moi et deux mois d'intensives quotidienne) m'a demandé de la gérer, mais sinon je n'ai pas rencontré les problèmes que t'as vécu.

En effet, je vois pas mal les drogues comme des catalyseurs des situations et s'il y a des choses à résoudre, même si les drogues permettent parfois de les supporter, ça ne le résoud pas...

J'espère que tu trouveras des solutions pour vivre mieux

fugu kuwanu hito niwa iwaji

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#5 
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LeNovicePsyco homme
TOUT EXISTE ET TOUT PEUT DISPARAÎTRE France
01 juin 2024 à  15:48

cependant a écrit

Salut,

En lisant ton expérience, je le dis que chacun réagis différemment !
Moi perso j'ai toujours utilisé les opiacés pour avoir la forme, pour être bien avec les autres, performante au travail et sociable !
Certes le manque quand est arrivé (après dix ans de conso occasionnelle pour moi et deux mois d'intensives quotidienne) m'a demandé de la gérer, mais sinon je n'ai pas rencontré les problèmes que t'as vécu.

En effet, je vois pas mal les drogues comme des catalyseurs des situations et s'il y a des choses à résoudre, même si les drogues permettent parfois de les supporter, ça ne le résoud pas...

J'espère que tu trouveras des solutions pour vivre mieux

Merci énormément d’avoir lu et de donner un peu ton expérience, malgré les centaines d’opiacés que j’ai pue essayer j’avoue que c’est le seul qui m’a rendu autant accros à une période de ma vie !

Mais comme tu la dis ont est tous différent, j’ai eu beaucoup d’addiction et même au taz pour dire alors que c’est pas censeur être addictif si je ne me trompe pas.

Ça m’a très bien dans ma vie je ne consomme même pas une goute d’alcool, j’ai un traitement de benzo seulement et suis seulement addict à la nicotine en vape désormais, j’ai eu du mâle à retirer tout mes addiction mais j’y suis arriver.

Merci pour ta réponse et en espérant que tu te porte bien !

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#6 
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Mynight femme
Nouveau Psycho France
03 juin 2024 à  08:56
J'attends justement mon rdv avec l’addictologue, le dernier qui va clôturer l'induction de la Méthadone, option que j'ai choisie après 16 ans de consommation quotidienne de Tramadol, dépassant parfois 1gr...

Donc le Tramadol et ses effet...
Ceci dit ils peuvent varier pour chacun (quoi je vais vous dire, la Methadone bien dosée, c'est beaucoup mieux:lol:)


J'ai pour l'instant les mains qui tremblent, le rdv d'aujourd'hui est très symbolique pour moi, le CSAPAA où j'ai fait mon induction à la Métha m'a littéralement fait sortir de prison. Je compte de toute façon écrire un témoignage sue mon histoire avec le Tramadol, dont je pensais sincèrement ne JAMAIS sortir.
Je pense que c'est très important d'en parler car effectivement, c'est un produit certes sur ordonnance, mais non classé comme stupéfiant...
À mon sens, après ce que j'ai vécu, j'estime qu'il me devrait.

Je reviens en parler quand je n'aurai plus les mains qui tremblent:)
À très vite.

°•✨️If you can't handle me at my worst, then U sure as hell don't deserve me at my best.✨️•°

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#7 
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LeNovicePsyco homme
TOUT EXISTE ET TOUT PEUT DISPARAÎTRE France
03 juin 2024 à  15:40

Mynight a écrit

J'attends justement mon rdv avec l’addictologue, le dernier qui va clôturer l'induction de la Méthadone, option que j'ai choisie après 16 ans de consommation quotidienne de Tramadol, dépassant parfois 1gr...

Donc le Tramadol et ses effet...
Ceci dit ils peuvent varier pour chacun (quoi je vais vous dire, la Methadone bien dosée, c'est beaucoup mieux:lol:)


J'ai pour l'instant les mains qui tremblent, le rdv d'aujourd'hui est très symbolique pour moi, le CSAPAA où j'ai fait mon induction à la Métha m'a littéralement fait sortir de prison. Je compte de toute façon écrire un témoignage sue mon histoire avec le Tramadol, dont je pensais sincèrement ne JAMAIS sortir.
Je pense que c'est très important d'en parler car effectivement, c'est un produit certes sur ordonnance, mais non classé comme stupéfiant...
À mon sens, après ce que j'ai vécu, j'estime qu'il me devrait.

Je reviens en parler quand je n'aurai plus les mains qui tremblent:)
À très vite.

Merci énormément pour ton témoignage et ton courage !

J’espère que ça va aller pour toi et que tu t’en portera mieux !

J’avoue avoir tester vaguement la méthadone, mais se que tu dis sur le tramadol est très intéressant, c’est un opiacés très puissant mais on ne sens rend pas compte.

J’aimerai tant t’aider mais je ne suis pas médecin ou qualité pour ça, j’ai souffert de tant d’addiction que je comprend la douleur ou arrive à percevoir la douleur des gens plutôt…


Je te souhaite de bon jours et j’espère que ça va s’arranger, ne lâche rien ! Rien n’est impossible dans la vie, je sais que c’est facile à dire et que nous somme chacun différent, mais même si je te connais pas je crois en toi à travers cette lueur d’espoir !

Prend soins de toi et hésite pas à revenir me raconter de bonne nouvelles !

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