L'alcool et moi : une histoire d'amour contrariée.

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Amaranthe femme
Ancienne consommatrice
Inscrit le 16 Jun 2014
712 messages
Bonjour à  tous !
Ce sujet n'a pas pour but de recueillir des conseils en particulier, non en fait je serais intéressée par votre expérience vis à  vis de l'alcool et des autres substances psychoactives que vous avez consommé.

J'ai en effet longtemps été une assez grosse consommatrice d'alcool ( de mes 14 à  19 ans environ) , que ce soit en cadre festif ou de manière moins reluisante seule dans ma chambre pour "oublier".
J'étais très friande de cet état si particulier que vous connaissez très certainement, cette humeur joyeuse et ce côté " T-t-t t'façon j'm'en fous d'tout, chuis bourrééé -hic- c'est trop b-bien ! "
Jamais vraiment amatrice de la grosse cuite se finissant en repeignant la cuvette des toilettes sans se souvenir de rien, cela fait une éternité que je n'ai pas vomi sous alcool car je maîtrise parfaitement la substance désormais et connait mes "paliers" d'ivresse comme ma poche : je sais au verre près quand je dois arrêter sous peine de m'endormir ou de vomir. Je buvais de manière extrême uniquement lorsque trop déprimée je souhaitais oublier quelques instants mes tourments ( la méthode n'était pas intelligente, je vous l'accorde ).

Je constate cependant que depuis que j'ai expérimenté récemment d'autres substances ( MDMA, champignons et LSD principalement, mais aussi moins souvent speed et crack ) mon rapport avec l'alcool s'est complètement modifié. Le cannabis que je connais depuis trois ans et que je fumais alors plus anecdotiquement qu'aujourd'hui ne m'est pas apparu comme "meilleur" que l'alcool mais juste différent au début, ce qui n'est plus le cas à  présent.  Les autres prods en revanche ont rendu l'alcool fade à  mes yeux très rapidement.

Pas mal de gens avec qui j'ai conversé dans la vraie vie m'ont confié préférer également les autres drogues à  l'alcool mais sans pour autant en être "dégoutés". Or moi cela me dégoute désormais, la perceptive de boire ne me réjouit plus, lorsque je le fais c'est par dépit en me disant " J'ai tellement envie d'un joint ou d'un bon para", je bois faute de mieux.  Je ne prends plus aucun plaisir à  être dans cet état où je me sens moins lucide qu'avec d'autres produits, où je dis et fais des choses bien plus ridicules, avec cette fatigue qui arrive trop vite à  mon goût, ces maux de tête le lendemain, cette pâteuse infecte, cette haleine à  0 sur l'échelle du sexy, ce tournis insupportable qui pourtant avant m'amusait... Les verres sans me faire vomir pour autant me donnent des nausées.
Je trouve les sensations des autres substances que j'ai testées plus intéressantes, plus épanouissantes, plus constructives parfois ( pour les psychédéliques surtout ) , j'ai la sensation qu'elles m'ont réellement apporté quelque chose et ne me donnent pas l'impression d'être malade après la prise contrairement à  l'alcool, d'où cette préférence très marquée que j'ai désormais.

Ce changement de rapport à  la boisson s'est opéré en l'espace d'un mois à  peine, sitôt que j'ai testé ma première drogue "dure"  (la MDMA) , aussi je me demandais juste si certains d'entre vous avaient vécu ce même dégout que moi, si les drogues illégales avaient changé votre rapport à  celle-ci et de manière aussi radicale.
Je vis très bien malgré cela mais bon, l'alcool est légal donc l'accès pose moins de soucis, les composants de la substance bue sont plus sûrs, retrouver les plaisirs "simples" d'antan parfois m'arrangerait x).

Merci de vos témoignages, bonne soirée wink !

Dernière modification par Amaranthe (11 juillet 2014 à  18:10)


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lollipop femme
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8 messages
Salut Amaranthe !

Tout comme toi de mes 17 à  19 ans je buvais, mais à  la différence de toi c'était comme un puit sans fond.
C'était une cuite tous les deux jours avec mes amis du lycée, des soirées à  n'en plus finir qui se terminaient la plupart du temps la tête dans la cuvette !
Puis vint un jour sainte MDMA, et ce jour là , tout comme toi l'alcool me répugna au plus haut point, les gens qui buvaient étaient pour moi des abrutis sans noms qui passaient leur temps à  brailler, à  se taper dessus en fin de soirée alors que moi avec ma MD je " maîtrisais " la situation ... Puis un autre jour j'ai gouté à  l'héro et la MD et moi on s'est éloigné, même si je n'ai pas eu le même dégoût pour elle que j'avais eu pour l'alcool qu'en goûtant à  la MD.
J'ai l'impression qu'en franchissant les étapes, les prods qui précédent nous paraissent fades, c'est logique remarque, l'essence de l'âme c'est la nouveauté ...

Dernière modification par lollipop (11 juillet 2014 à  18:59)

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Amaranthe femme
Ancienne consommatrice
Inscrit le 16 Jun 2014
712 messages
Moi je buvais juste pour être complètement bourrée, juste avant de vomir ^^. Je me mettais dans de ces états, et souvent moi aussi...

Ce que tu écris par rapport à  la MDMA c'est exactement ça : les gens bourrés me paraissent pénibles, inintéressants, gueulards, ils reversent leurs bières sur toi en te perturbant pendant ton échange transcendantal avec le son... Pour moi ça me le fait encore plus avec le LSD, là  les gens sous stimulants aussi me gonflent, j'ai l'impression qu'ils ne font que se trémousser sans comprendre l'essence de la musique ( alors que sous speed ou md je suis comme eux et j'adore ça ha ha tongue ) mais pas de dégout du produit là  par contre, vu que je consomme les psyché et les stimulants en alternance pour l'instant.

Pour l'héro je n'ai pas d'avis et n'en aurais jamais ; c'est une drogue que j'ai décidé de ne jamais testé. Je me sais faible, je prends déjà  des risques avec le reste, si je touche à  l'héro je sais déjà  que c'est foutu pour moi...  Le seul opiacé que j'essayerais peut être un jour ça serait juste une fois l'opium et en mode "classe" avec une belle pipe pour ça, en "poète maudit", en hommage à  des Baudelaire et des Musset, style "fumerie d'opium clandestine durant la Prohibition" XD ! Juste pour le délire ^^.

Je pense que la nouveauté joue oui. Une fois un produit suffisamment exploré et un autre découvert, on a un peu la sensation d'être passé à  une étape nouvelle, et ceux qui restent au produit d'avant sont quelques parts au stade "moins avancé". Je n'ai pas de tendance au narcissisme ni au sentiment de supériorité, j'ai même une estime de moi plutôt lamentable, mais on ressent un peu ça sans le vouloir. Et puis bon, il ne faut pas oublier que les drogues influencent l'état d'esprit hein...
Souvent mes pensées un peu désobligeantes vis à  vis des gens sont passagères, en soi j'aime tout le monde smile( FREE HUGS !!!! ) !

Dernière modification par Amaranthe (11 juillet 2014 à  19:32)


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lollipop femme
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8 messages
Oui le fait d'être passé à  une nouvelle étape influence sur notre vision des choses, le truc avec les drogues c'est que la nouveauté te fait pas avancer, au contraire, tu recules, ou plûtot tu t'enfonces ... enfin c'est ma vision des choses ...
Bien joué pour l'héro restes en où tu es, tu t'amuseras bien plus avec les prods qu'avec ça, surtout en teuf ,tu vois avant j'étais tout le temps devant les caissons, où sur le parking à  faire le con avec les gens, et quand je suis passé à  la cam c'était plus en mode glauque à  stagner dans la bagnole et à  taper de la rabla jusqu'au ptit matin avec une équipe de "sheitan" qui s'engueulaient sur des sujets du type " t'en as plus que moi alors que j'ai payé plus !! " l'héro tue le partage, l'échange, c'est une vraie merde ! Content pour toi que tu ne veuilles pas passer à  cette étape !

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Amaranthe femme
Ancienne consommatrice
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Absolument tous les consommateurs d'héro avec qui j'ai échangé via ce forum ou en vrai m'ont dit exactement la même chose.
Je ne sais pas trop expliquer cela, mais je trouve que chaque drogue a plus ou moins son "esprit" , et effectivement l'héroïne m'apparait comme quelque chose qui n'incite pas à  l'échange, au contact avec les autres. Je vois ça peut être de manière cliché, mais pour moi c'est un plaisir certes probablement grand, mais très individualiste et peu propice à  l'amusement réel ( Mais ma vision a peut être été influencée à  tord par "Requiem for a Dream", "Trainspotting" et "Drugstore Cowboys" XD ).  Bon, dans toutes les drogues il y a un côté égoïste, c'est pour toi que tu en prends, mais il y a je trouve d'autres choses qui s'ajoutent quand même (le plaisir de partager son état euphorique avec d'autres, celui de mieux ressentir le son et son environnement, celui de découvrir des choses sur soi même etc ). " L''esprit de l'héroïne" donc ne m'attire pas, chacun son truc et je pense que c'est une bonne chose pour moi ^^.

Je ne me permet pas de juger les consommateurs d'héro, je comprends qu'on ai pu vouloir essayer quelque chose etc ( je suis curieuse aussi, sinon je n'aurais jamais atterri sur ce forum, moi issue d'une famille hyper catho XD ) mais quand je vois tous les posts consacrés aux difficultés du sevrage, à  la culpabilité, à  l'autodestruction et tout le tintouin, je trouve que les risques ont trop de poids sur la balance par rapport à  la petite curiosité que j'ai tout de même. A la rigueur pourquoi pas sur mon lit de mort, en dernière volonté, quand je risquerais plus rien tongue ?

Dernière modification par Amaranthe (11 juillet 2014 à  20:25)


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Tomboy
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 13 Apr 2013
1006 messages
Ben déjà  je suis bien d'accord avec vous, tenez le coup et n'essayez même pas 1 fois! Les personnes qui gèrent ce produit son très rares. La majorité tombe dans une sacrée dépendance, avec un manque terrible qui t'oblige à  re consommer et c'est parti pour l'engrenage! J'ai commençais par la sniffer puis ça me suffisait plus et je suis passé à  l'injection, quelle grosse erreur...Me voilà  aujourd'hui tjrs accro à  la seringue même si j'ai arrêté la came, donc je me shoote pas tous les jours mais quand je consomme, ça finit souvent en massacre!Je déconseille vraiment ce mode de conso. Puis c'est vrai que la came n'est pas une drogue récréative, ça se fait plutôt en solitaire et ça se termine par piquer du nez. C'est pas fait pour partager ou discuter, c'est un plaisir solitaire et une expérience quasi intime. Bref je suis bien content d'avoir arrêté car j'étais devenu une loque sans vie toujours à  la recherche de ma dose...Les pires moments de ma vie de consommateur...

Bref, fin du HS, revenons au post initial...

salut amaranthe et bienvenue sur psychoactif! Tu soulèves un sujet intéressant qui d'après mes expériences n'est pas si rare. C'est arrivé à  plusieurs personnes de mon entourage et à  moi même!Du jour au lendemain mon addiction a disparu, pourtant j'étais accro depuis mes 12 ans.., dégoûté rien que de la sensation d'ivresse et ça m'a fait la même chose avec le cannabis...ça j'apprécie moins, je préférerais fumer de temps en temps et éviter de prendre tous mes cachetons..Mais ça me rend malade, rien que l'odeur me dégoûte.

Je préfère aussi largement les stimulants qui me donnent la pêche, je kiffe aussi le LSD! l'envie de parler, de bouger, avec certains y a des hallus et ça devient une expérience différente à  chaque fois. Tu parles de MDMA Armanthe que j'adore aussi, ça m'ouvre d'autres perceptions, tout devient limpide dans mon esprit, je vois les gens différemment avec leur vraie personnalité (en tout cas c'est l'impression que j'ai), j'ai envie de refaire le monde...J'ai eu des supers discussions sous MD, bref que du plaisir.

Désolé si je vais un peu abréger mon mess, je t'en avais écrit un plus détaillé mais il s'est effacé, mon inspiration est un peu cassée du coup...

Je pense que le corps est intelligent et se tourne vers ce qui lui apporte le plus de plaisir. Car en fait si on y réfléchit les effets de l'alcool sont plutôt soft, on finit surtout malade et pas bien. Et quand on est dépendant c'est un besoin, plus aucun plaisir. Donc ça ma paraît logique de me tourner vers d'autres prods, j'ai presque tout essayé et j'ai beaucoup appris de ces expériences, ça m'a aussi aidé à  mieux me sentir dans ma peau. Qu'est ce qu'on se sent bien sous prod!! Perso j'ai pas arrêté l'injection, donc je shoote ces autres produits et le plaisir est encore plus intense, je suis accro à  cette montée et au flash. Attention je n'incite personne à  essayer, ça reste quand même une sacrée galère à  gérer....
Puis les stimulants en général libèrent de la dopamine, d'où le plaisir et le sentiment de bien être. L'alcool ne fait pas ça, les effets de l'ivresse paraissent bien fades à  côté des autres prods.

Mais si quelqu'un connaît les raisons possibles à  cet arrêt aussi net, ça m'intéresse! je suis preneur d'infos et si parmi vous d'autres ont ressenti la même chose, hésitez pas à  venir discuter.

je sais pas si je t'ai apporté quelque chose avec mon post, mais tu sauras maintenant que ça n'arrive pas qu'à  toi et que tu n'es plus seule.
à  bientôt sur le forum

amicalement,

niglo

"Mieux vaut être une exactitude dans la marge qu'une erreur dans le texte..."

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Amaranthe femme
Ancienne consommatrice
Inscrit le 16 Jun 2014
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Merci de ta réponse Niglo smile!

Je pense qu'effectivement il y a un côté tout simplement chimique, la MD libère la sérotonine et la dopamine bien plus massivement que l'alcool ! Une autre part est sûrement plus psychologique, suivant ce que le consommateur attends.

Je suis naturellement contemplative, j'ai soif de sensations fortes, d'extase et ce n'est pas l'alcool qui comble ça, à  part me mettre "bien" vite fait en étant pompette, bof... Le cannabis ne me procure pas grand chose de divin malgré l'effet relaxant et "posant" bien agréable, mais je trouve la descente carrément cool à  côté de la picole : les effets se dissipent juste peu à  peu, aucun effet secondaires pour moi, les yeux rouges ne me posent pas de problème...

La MDMA pour moi représente le contact avec les autres, le plaisir de parler,  de faire des câlins à  ceux qui sont assez perchés pour bien vouloir m'en faire. Et puis cette énergie, ce bonheur intérieur, cet amour universel, que c'est bon T.T !!! ( Pour moi , là  encore ! ) Les gens me semblent passionnants, j'ai un plaisir fou à  échanger avec eux soi en refaisant le monde avec des clopes, soi en se défoulant devant le son ensembles. De plus, peut être est-ce idiot mais je me sens physiquement "mieux" sous MD du fait de mes pupilles : les mydriases donnent un regard magnifique je trouve (il est d'ailleurs prouvé scientifiquement que c'est souvent jugé inconsciemment plus attirant, et ça se sent dans le monde du dessin par ex avec les mangas ) . La MD m'assure en fait un moment magique et "facile" à  gérer, je me laisse aller,  je m'extasie en regardant les lumières et en mettant mon corps en transe, je me sens juste super bien et c'est nickel. Avec les petites hallus aussi qui à  chaque fois m'ont fait délirer , génial tongue !

Pour le LSD et les champis, c'est le côté "posant" au départ, la sensation d'harmonie avec les autres, puis l'harmonie avec le monde entier, la fascination face aux perceptions différentes, vraiment le voyage. En revanche c'est psychologiquement pour moi moins reposant que la MD, j'ai eu à  affronter par moment des démons intérieurs et des angoisses passagères, mais j'ai eu la sensation d'en apprendre sur moi même, d'avoir vécu des choses proches du divin etc. Et puis j'adore les effets sensoriels ( ouïe, vue, etc ) divers et uniques que j'ai eu pour l'instant..

Crack et speed, j'ai apprécié vite fait, on se sent bien, ça stimule, mais pas quelque chose d'extraordinaire à  mon goût ( bon, faut voir la qualité aussi peut être, je n'ai pas encore comparé plusieurs produits entre eux ^^' ) ..

Avant de consommer tout ça, je me suis renseignée. En effet j'ai réfléchis quelques mois avant sur mon désir d'essayer ses sensations différentes, j'ai choisis ce que je voulais tester en premier lieu. C'était entre guillemets "préparé" quoi, je n'ai pas consommé par hasard à  une soirée en mode "Tiens, c'est cool ce truc , tu veux tester ? - "Ok, je vais bein vor ! "" . J'ai donc logiquement choisi des effets etc qui m'attiraient de base ( en m'informant aussi sur les effets négatifs et les risques évidemment ) , et force est de constater que pour l'instant ça colle avec ce que je recherchais, d'où peut être ce désintérêt de l'alcool...  Mes prochaines découvertes seront probablement la cocaïne, la kétamine et la salvia ( je suis trop curieuse je sais T.T)

Mais je crois que ce qui me plait pas dessus tout dans ce que j'ai essayé jusqu'ici, c'est le fait d'être "défoncé" mais lucide, bien plus lucide que quand j'ai bu, alors que je ne m'y attendais pas du tout ! ( Bon ça doit dépendre des doses aussi après, mais pour l'instant à  part mon baptême de MD où j'ai un peu divagué sur le coup, j'ai été stupéfaite de ma "lucidité" sous prods ). On est lucide sans l'être, et j'adore cet état et toutes les émotions et perceptions uniques qu'on ressent.

Enfin, je suis contente de voir que d'autres sont passés par la même chose que moi avec l'alcool ^^.

Dernière modification par Amaranthe (11 juillet 2014 à  21:09)


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Tomboy
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Inscrit le 13 Apr 2013
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de rien, avec plaisir! ce que tu dis à  propos de la md raisonne grave en moi!Car c'est exactement ce que je ressens quand j'en prends, bon quand je suis seul c'est moins intéressant car ya pas d'échanges et c'est vrai que ça provoque de supers échanges et de belles rencontres...Mais comme toi je reste toujours un peu lucide, j'apprécie car j'ai l'impression de ma^triser ma conso et de bien gérer.

"Mieux vaut être une exactitude dans la marge qu'une erreur dans le texte..."

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Amaranthe femme
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Je suis entièrement de ton avis ^^.
Tu sais ce que tu fais, mais avec en plus des sensations intérieures et des perceptions qui paraissent meilleures : le pied total quoi.  C'est tellement ça x) !
Alors que bourrée, je ressemble juste à  une idiote titubante qui cherche à  philosopher mais de manière sotte ( sous MD je philosophe aussi mais je sais ce que je dis au moins big_smile !  ) . Souvent le lendemain d'une cuite j'ai honte de moi, je me rends compte que j'étais d'un parfait ridicule, alors qu'avec les autres prods je n'ai jamais ressenti ça.

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Tomboy
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entièrement d'accord!

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