"Face à une situation devenue intenable, l’équipe a fait appel à un anthropologue, et mené une réflexion sur la gestion des risques. Il y a trois ans, «on a commencé à accepter qu’ils boivent. Arrêter complètement l’alcool était encore plus dramatique pour leur santé», justifie le directeur. Certaines soignantes ont eu du mal à s’adapter à cette démarche de
réduction des risques, et il a fallu convaincre les médecins traitants de son bien-fondé. Finalement, les bénéfices sont rapidement apparus. «On veut surtout les protéger, les mettre hors de danger», explique Anne-Sophie Simonetti, une aide-soignante."
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