[ Addiction ]
Comment arrêter l'berbe

Bonjours à tout  ceux qui prendront le temps de lire ma petite histoire, pardonnez moi le style brouillon de ce post, mais j'ai de la peine à savoir par où commencer et à trouver un fil conducteur dans mes idées afin de rendre la lecture agréable.

Je vais dans un premier temps vous présentez ma situation globale sans parler tout de suite du cannabis

Préambule

je suis un jeune homme de 19 ans célibataire , je vais terminer mon lycée l'année prochaine et ainsi obtenir ma maturité gymnasiale ensuite mes projets seraient d'entrer dans une université en science politique et économique, je suis issus d'une famille relativement aisée ( l'argent n'est pas encore une réelle préocupation pour moi ) je n'ai, malheureusement, comme beaucoup de personne qui souffre d'addiction, peu d'intérêt pour grand chose dans la vie à part le produit. Je suis quelqun qui a un esprit critique et qui essait de se remettre en question  ( je suis totalememt conscient de la plus part de mes problèmes). Jai eu une enfance remplie de bonne expérience que se soit avec mes amis ma famille, j'ai fait beaucoup de sports ( tenis natation   golf water polo escalade wrestling )

Hameçon

Tout ça pour vous dire que il ne me semblait pas que mon enfance ne me prédisposerait à tomber dans cette addiction, puis vers l'age de 15 ans je suis parti une année à l'étranger ( usa ) pour apprendre l'anglais de retour en Suisse j'ai integré le lycée et c'est à partir de là que tout à commencer à deraper ( du moins je le pense ) des amis m'ont convaincu que je devais essayer ça, que c'était incroyable etc etc finalememt je me décide à tirer sur leur joint ( ça ne peut pas faire grand chose.. ) et là je ne ressens rien et trouve que c'est de la bonne connerie tout ça. Bizzarememt je retente l'expérience et ce n'était à nouveau pas convaincant ( j'avais donc 16 ans ). Et c'est à partir de là que j'ai commencer à penser que les gens faisaient semblant d'être defoncé ou bourré ( ce qui était certainememt vrai en voyant l'état de certaines personne après avoir tiré 2 taffes sur un joint avec 10 personnes ). De là je ne cessais de me demamder ce que faisait vrm les effets du cannabis, n'ayant jamais été sous les effets d'une substance psychoactive j'ai commemcé à être attiré par ça. Quelques mois après je suis parti avec un de mes meilleurs amis qui comme moi voulait " savoir "ce que  ça fait d'être defoncé ( le fameux what is like ) à Amsterdam. Arrivé là bas on commemce à faire les coffeeshop et on demande au type de nous donner ce qu'il a de plus fort on roule un joint qui nous parait fumable on fume et là je me prends une claque dans la gueule ( mais pas une mauvaise ) pendant 3 à 4h mon pote et moi on est euphorique comme tout on arrête pas de parler de rire j'ai des hallucination bref la totale c'était la première fois de ma vie que j'étais defoncé. On retente de fumer le reste du sejour à Amsterdam je fais mon premier " bad trip " rien de très grave je suis juste devenu tout blanc et ai vomi.

L'accrochage

De retour en Suisse j'avais l'impression de savoir ce que faisais vrm les effets du cannabis et j'ai commemcer à avoir un autre regard sur  le cannabis. Dans ma classe un type que je ne  frequentais pas trop était fumeur puis j'ai commencé à trainer avec lui après les cours pour fumer un joint, puis je l'ai revu la semaine d'après pour un autre joint puis il m'a présenté ses potes etc etc j'ai alors commencé à fumer quelques fois par semaines tout en racontant à mon entourage ( mais j'arrête quand je veux, j'ai pas de problèmes avec ça etc, les phrases classique du gars qui a un début d'addiction)

Le mur

Et ce n'est qu'en quelques mois que j'ai réussi à changer de manière assez radicale mon cercle social ( sans m'en remdre compte  ) pour qu'il ne soit plus qu'exclusivement composé de fumeur, jai également délaissé le sport notamemt la musculation, les relations avec ma famille sont devenus compliqué bien qu'aujourd'hui ça aille mieux. Ma vie est devenu  très linéaire la semaine se résumant à école / fumer et le week end en soirée/ fumer ( je tiens à préciser que je ne bois pas ou très très rarement. Pendant cette période j'ai toujours dit qu'un jour j'arreterais seulememt maintenant 2 ans et demi après je fume toujours,  vivant la même journée pendant 365 jours Je sens que ma vie devient vide de sens, il n' y a plus que la fumette rien d'autre.

Suis-je depressif car je fume ? Ou est ce que je fume car je suis depressif ?

Le vrai problème..

J'ai déjà tenter de me limiter à ne fumer que le week end seulememt le probème en faisant ça est que je passe la semaine à attendre à ne pas sortir ( car sinon je vais voir mes amis fumeurs ) et quand le week end arrive je me defonce jusqu'au dimanche soir. ( pas terrible )
J'ai déjà tenter l'arrêt brutal direct, ça marche un petit moment seulement,  après 2- 3 semaines un vide s'installe, on ne sait pas quoi faire, on ne voit plus personne, on s'ennuit à crever et du coup on retombe dedans.

Ces derniers temps j'ai réussi à  me remettre à la musculation cette activité me permet d'éprouver du plaisir ne provenant pas de la fumette. Ormis cela je peine grandement à sortir de ce cercle vicieux
Comme dit précédament je connais plus au moins le chemin que je dois parcourir pour sortir de cette addiction, je suis conscient de tout les aspcets negatifs du cannabis et de son influence sur ma personne, le probème est que je peine grandement à AGIR, ne faisant que procrastiné sur quasiement tout, je manque de confiance en moi. Comme je l'ai dit précédament je n'arrive pas à sortir de cette zone de confort, je me suis habitué à ce style de vie m'identifiant à cette saloperie, et ce qui me semble être le plus dur est de réussir à sortir de ce cercle social construit par le cannabis

Si des gens sont/ ont été dans la même situation que moi, que vous ayez réussi à sortir de cette addiction ou pas vos témoignages, vos conseils seront de grande aide pour les gens dans cette situation ( moi ), ce post n'a peu être pas de grande utilité mais il me permet de déballer les choses sans craintes d'être juger, je précise égalememt que je ne cherche pas à suivre une quelquonque therapie  je suis conscient de me problèmes avec la substance j'ai juste énormémemt de peine à agir / passer à l'action.


Enfin voilà merci aux courageux qui ont pris le temps de me lire et merci d'avance à ceux qui me repondront bonme journée à vous tous.

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#2 
avatar
masakwaaa?! homme
Banni (double comptes) France
10 juillet 2018 à  17:26
Ok... je risque de paraitre sévère, mais si la réalité de cette expérience t'as bien trop, et de manière tellement injuste, traumatisé :

Mon premier conseil serait de diminuer la consommation progressivement, voir (!) arrêter d'un coup ! yikes Ouais je sais ça peut paraitre trèèès hardcore mais c'est vraiment possible.

Sinon, au pire t'y arrive pas, tu va voir un csappa, si tu veux pas que ça entache ta carrière promise, tu peux être anonyme là-bas.

Désolé j'ai pas tout lu, ne le prend pas mal, et ne le prends pas comme un jugement, j'ai trouvé ton témoignage vraiment, nan vraiment, poignant sur le cataclysme que nous fait endurer cette plante du Démon sur ce qu'Hackin qualifierait de libre-arbitre humain....

Autrement, plus sérieusement, je pense qu'arrêter le cannabis est une manoeuvre clairement envisageable et accessible suivant la volonté, claireeement plus que dépendante des pulsions. Donc au pire si tu sort pas de ce fléau ultime malgré mes conseils, t'oublie le cercle qui "te le fait consommer", tu vois des boutons dégeus sur ton dealeur, un strabisme, un défault physqiue, un mauvais goût vestimentaire, un blocage psychologique... Un truc qui te révulse tu vois !!! L'esprit manque pas de moyens de se.. préserver.

Puis oublie pas d'où les idées prennent forme...

Souviens-toi que chaque message est une œuvre d'art et que chaque monde est une foire aux expositions.

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Comme dit plus haut arrête progressivement ou d'un coup.
Mais tu devrais faire de la course d'endurance pour avoir un peu d'effets grâce à l'endorphine et les endocannabinoides secrèté par le corps

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Salut

Je consomme depuis 20 ans et j'ai arrêté 6 mois. C'est venu comme un déclic, avec la weed c'est la volonté qui prime avant tout. Une question d'habitude à changer, de rituel. Mais malgré la volonté ca reste très dur, c'est un sevrage intense quand on a été un gros consommateur régulier. Après deux semaines d'arrêt, survient l'anxiété propre au " zero THC " dans les neurones. Une fois passé ce cap qui dur un ou trois jours, c'est comme l'alcool ou la cigarette il ne faut plus y penser et surtout s'occuper l'esprit. Le sevrage complet de la weed c'est trois à quatre mois.
C'est le plus long qui soit car il disparait très lentement des corps gras du cerveaux.

C'est pénible mais possible, il faut un tempérament de soldat pour arrêter cette drogue.

Dernière modification par Massa (11 juillet 2018 à  01:42)


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