Ma relation avec l alcool

jason13thh a écrit

L'anxiété et la nervosité c'est lorsque tu sniffes?

Si les effets durent plus longtemps par voie orale moi à ta place je continuerais comme ça.

C'est bien que tu te sois renseigné.

Petit à petit tu vas y arriver. Encore une fois, courage ;-)

Le problème pars voie oral je sent cas y rien comparé au sniff

Mon beau frère veut déjà foutre la merde pour que j’ai plus de ritaline parceque il à vu un documentaire en disant que ça peut tuer...

Anonyme1756 a écrit

Xtc420 a écrit

Je pars en couilles je me suis mis à snifer mes médocs pour que les effets viennent plus vite...

C'est clair que c'est l'effet que ça fait.

Clairement c'était n'importe quoi d'aller chercher une ordonnance de Ritaline avant d'avoir repris contrôle de l'alcool.

Enfin, tu sais bien que tu es prompt au dérapage, quel que soit le produit apparemment et qui plus est dès qu'il te tombe entre les mains, et là tu fonces dans la gueule du loup, te mettant un nouveau problème sur le dos...

J’avoue déjà je la sniff à la place de prendre en oral si je dis ça à mon psychiatre il m’en prescrit plus avant hier j’ai pris de la c avec la ritaline et je sais que c’est très mauvais... et j’ai bu quelques bière aussi

Mais je mytho à mon psychiatre sur ma consommation d alcool je voulais trop la ritaline on vas dire que je prend ça comme une drogue à la place de le prendre comme un médicament...

Quoiqu'il en soit si tu as sérieusement réduit l'alcool tu devrais en tirer des bénéfices importants.

Oui...mais...
Parfois c'est un bénéfice immédiat, parfois on se demande "mais putain pourquoi j'ai arrêté!?"
C'est déjà un sujet à part entière.
Ceci pour dire, à ceux qui seraient surpris par cette difficulté, cette déception, c'est quasi normal et commun

Parce qu'à l'époque tu souhaitais officiellement arrêter l'alcool

Il y a débat entre mes amis/ennemis qui se promènent dans ma caboche...et il y en a du peuple à l'intérieur...!
-Arrêter Officiellement? Même si ce n'est qu'une formule qui peut s'entendre, ne vaut-il pas mieux arrêter en fonction de sa propre situation (situation actuelle au demeurant, mais pas seulement, penser également à l'avenir. Oui c'est bateau...) et ne pas mettre la barre trop haute "Officiellement"?
Une marche à la fois?
Je pense là au débat, abstinence à vie ou bien réduction du risque de conso?
Un dilemme que chacun seul peut résoudre, le temps étant selon moi une variable indissociable de beaucoup d'entre nous (usagers de tous prods, même tabac).

De ce que j'ai compris, Xtc420, je t'imagine jeune... , du moins dans ta réflexion (Je reprécise que je n'ai pas tout relu d'une traite)

Aujourd'hui tu cherches à sécuriser ton approvisionnement de ritaline

Soyons direct, mauvaise idée.
Pas tant pour le produit en lui-même, simplement tu compenses et c'est "normal". Ok sur le principe, mais avec cette médication? Mouais...
Sans jugement aucun je t'assure.
Etre blindé de benzos et autres n'est certes pas mieux. Disons qu'une béquille médicamenteuse peut aider, c'est selon les cas aussi. Attention, qqs valium ou autres pour éviter delirium tremens et grosse dépression peuvent servir

mais est-ce que tu es toujours dans l'idée d'arrêter l'alcool et d'élargir tes perspectives

Entre vouloir de bonne foi, et faire...D'ailleurs non pas faire mais tenir sur un temps, qu'il soit court, moyen ou long. Ou Définitif pourquoi pas

...élargir tes perspectives (est-ce que tu l'as jamais été d'ailleurs)?

Ca peut paraître dur Xtc420, chacun son appréciation.
Celle qui compte c'est la tienne Xtc420, et elle est primordiale.
Mais, et là je pinaille...ce questionnement ne devrait pas être entre parenthèses (sorry ILE). C'est un questionnement essentiel


Ben moi qui voulais faire court.........:)

Dernière modification par ricomel (25 septembre 2018 à  00:02)

j’ai un rdv à 10h30 avec la psychologue du cpas ( rsa version belge )

Plusieurs pistes:
1/ Tu dors sous peu, et tu fais en sorte d'être à l'heure. Et un minimum opérationnel. Selon la relation que tu as avec cette personne, une professionnelle psycho qui plus est.
Par ailleurs, elle doit connaître qq situations d'autres personnes en difficulté.
Après, est-ce que tu risques la perte de tes 145 eur? je ne me mouille pas, mais dirait tout de même que non. C'est aussi ta situation et détresse qu'ils/elles prennent en compte.
Mais ne prend pas ca pour acquis, ce n'est que mon avis. Belgique qui plus est, donc j'hypothèse encore plus dans le vide
2/ Si tu zappes le rdv, surtout appelle avant pour prévenir. Tu expliques avec, selon moi un minimum d'honnêteté au moins.
Peut être prendre un rdv une prochaine fois.
3/ Ben je sais plus....désolé

mes 145€ j’ai déjà que ça

C'est indiscret et peut-être pas l'essentiel. Mais comment tu gères toutes tes consos diverses et variées...Pas obligé de répondre, simplement ça m'étonne.

C’est surtout mon entourage qui veut que j arrête l’alcool mais ça serait bien que je stop on dirait que j’ai la Parkinson tellement que je tremble à cause du manque d alcool

Mais je vais allé chez la psychologue pour mentir encore lui dire que j’ai pas rechuté parceque si je lui dis que j’ai rechuté elle m oblige à voir un alcoologue toutes les semaines et je veux pas....

J’espère que je vais me sortir de cette galère je suis alcoolique droguer au médocs et à la coke et la weed

Il y a une contradiction dans tout ça.
Tu sais visiblement, et même écrit, que tu as besoin d'aide.
Tente le truc sur un certain laps de temps au moins.
Aaahh...! L'ambivalence vis à vis des prods...quelle galère

Depuis que je prend la ritaline je mange très peu ça agis comme coupe faim

Pas anormal, sauf si qqun me contredit?

J’ai peur de dire toute la vérité à mon psychiatre je veux pas qu’il me met en hôpital psychiatre

Dépend de votre relation. Perso je pencherais pour la franchise.
Et mm si tu fais un coup d'HP, ce qui n'est pas dit, certes c'est pas un plaisir (selon où tu es) mais tu auras un break.
A toi de voir...

Aller je m'étends pas plus,
Courage

Anonyme1756 a écrit

Xtc420 a écrit

Je sais pas je pars grave en couilles encore hier j’ai du boire 6 litre de bière j’ai des mauvaise fréquentation aussi qui prend de la coke alcoolique ect et je me laisse entraîner là il est 04h et j’arrive pas à dormir et j’ai un rdv à 10h30 avec la psychologue du cpas ( rsa version belge )

Je sais pas si je vais y allé mais si j’y vais pas je risque de pas toucher mes 145€ j’ai déjà que ça...

C’est surtout mon entourage qui veut que j arrête l’alcool mais ça serait bien que je stop on dirait que j’ai la Parkinson tellement que je tremble à cause du manque d alcool

Mais je vais allé chez la psychologue pour mentir encore lui dire que j’ai pas rechuté parceque si je lui dis que j’ai rechuté elle m oblige à voir un alcoologue toutes les semaines et je veux pas....

Depuis que je prend la ritaline je mange très peu ça agis comme coupe faim sur moi en 4j j’ai mangé une assiette de pâte...

J’espère que je vais me sortir de cette galère je suis alcoolique droguer au médocs et à la coke et la weed

Heureusement que j’ai encore ma mère sinon je sais pas où je serais faut vraiment que je me reprenne en main

J’ai peur de dire toute la vérité à mon psychiatre je veux pas qu’il me met en hôpital psychiatre

Hello,

Dans le fond tu es lucide mais restes ambivalent entre l'envie de te reprendre en main et celui de rester concentré sur le désir d'accéder à puis de consommer sans entrave des produits psychoactif.

C'est évidemment ce qui arrive souvent quand on est coincé dans une ou plusieurs addictions.

Sans entrer dans la logique des AA, à un moment donné cela peut aider de reconnaître, à la suite de plusieurs échecs, que même si on cherche avant tout à reprendre le contrôle tout seul et par soi-même, on n'y arrive pas et s'entêter dans cette voie-là, se dire qu'on va attendre d'y arriver un jour, et entre temps manipuler les bonnes volontés qui se proposent de nous apporter une aide, a de bonnes chances de ne mener nulle part si l'élément déclencheur du changement tant espéré ne se manifeste pas.

En plus d'être inconfortable d'abdiquer sa toute-puissance, c'est peut-être un peu difficile à admettre, l'estime de soi peut en prendre un coup - quoique c'est pour mieux rebondir derrière-, mais si tu gâches l'opportunité que t'offrent ton entourage et les soignants, psychiatre et psychologue, qui te tendent la main, ils ne resteront peut-être pas éternellement dans d'aussi bonnes dispositions, car ils ne seront pas dupes bien longtemps. En attendant le contrôle que tu conserves sur ta propre vie tu l'exerces à l'encontre de toi-même. Ok, c'est toi qui continues de tenir les rênes et de mener la danse, mais pour quels résultats objectivement? Est-ce que ça vaut vraiment le coup de "partir en couilles"?

Ces personnes-là peuvent t'aider mais uniquement si tu coopères : jouer la transparence, abdiquer une part de contrôle, et avec eux discuter de la situation, de toutes les options envisageables, y compris l'absence de changement, de ce qui te fait peur, de tes réticences, pour tout mettre à plat avant de rejeter en bloc, envisager les inconvénients mais aussi les avantages des options qui te sont proposées, et t'engager dans un contrat que tu as l'intention de respecter ou sinon carrément assumer que tu ne le peux pas.

Ce que tu rapportes au sujet de ton alimentation actuelle est inquiétant: force-toi à manger, équilibré. Rien de pire que de consommer des litres d'alcool et de ne rien manger.

ILE

Mais si je dis tous au psychiatre il voudra que je fais un séjour en hôpital psychiatre et ça je veux pas comme je l’ai dis plus haut

Il à le droit de m’y forcer si je veux pas?

Je perd ma copine à cause de la ritaline parceque je veux continuer à la snifé et elle veux pas elle ma dis => Bon tu sais quoi je viens pas C est fini je te laisse avec ta Putin de ritaline de merde

Depuis j’ai plus de nouvelles elle à bloqué mon numéro et Messenger

Y a que en sniff que je ressens les effets en oral j’ai l’impression de rien sentir mais c’est pas sans risque je risque de me niquer le sectume et les muqueuse nasal mais je pense que ça attaque beaucoup moins que la coke on sent rien du tous quand on la sniff aucune douleur aucun goût...

Anonyme1756 a écrit

Xtc420 a écrit

Mais si je dis tous au psychiatre il voudra que je fais un séjour en hôpital psychiatre et ça je veux pas comme je l’ai dis plus haut

Il à le droit de m’y forcer si je veux pas?

Je n'en ai aucune idée, je ne connais pas ces choses-là. Qu'il veuille que tu fasses un séjour en HP est une chose, qu'il puisse t'y envoyer contre ta volonté est une autre chose. Quel est le lien entre le fait que tu révèles tes sorties de route au psychiatre et la possibilité pour lui de t'envoyer en HP d'après toi?

Parce que je met ma vie en danger...

Xtc420 a écrit

Je perd ma copine à cause de la ritaline parceque je veux continuer à la snifé et elle veux pas elle ma dis => Bon tu sais quoi je viens pas C est fini je te laisse avec ta Putin de ritaline de merde

Depuis j’ai plus de nouvelles elle à bloqué mon numéro et Messenger

Elle fait ce qu'elle veut, elle ne t'a pas pris par surprise, elle a posé ses conditions, après c'était à toi de voir.

Je me suis remis avec j'ai accepté de plus snifer...

Xtc420 a écrit

Y a que en sniff que je ressens les effets en oral j’ai l’impression de rien sentir mais c’est pas sans risque je risque de me niquer le sectume et les muqueuse nasal mais je pense que ça attaque beaucoup moins que la coke on sent rien du tous quand on la sniff aucune douleur aucun goût...

Je n'en sais rien, mais je ne doute pas qu'il y ait des ressources sur le sujet sur PA. Le sniff de ritaline a déjà certainement fait l'objet de discussions.

J'ai déjà été voir plusieurs forum mais ils parlent pas si ça attaque plus que la coke....

Bad As Karma a écrit

C'est brutal comme réaction...

Hello,

Qu'est ce qui est brutal dans l'histoire?
La réponse ou la situation présente?

HDT, hospitalisation sur demande d'un tiers
HO, hospitalisation d'office.

Selon moi possible par le psychiatre, mais en bout de parcours. Danger pour soi même ou pour autrui.

Le médecin est là pour soigner avant tout. Certes le soin peut passer par ces biais. Mais bon...vraiment si la situation l'exige.

Mauvaise coke ou ritaline...
Bonne coke ou ritaline...
Les 2 mauvais non?
Le truc c'est les conséquences qui en résultent. A toi de voir, entre autres avec ta copine. Encore plus avec toi même!

Commençons une reflexion...ça part en couille? Alors arrêtons la réflexion.
-> démarche de soins
Le psy a priori c'est pas un keuf ni un tyran

Bad As Karma a écrit

ricomel a écrit

Hello,

Qu'est ce qui est brutal dans l'histoire?
La réponse ou la situation présente?

En tout cas maintenant ça pourrait être ce que t'as répondu

L'HP c'est plus un cadre qu'une route, à mon sens, ou la route qui elle-même t'en sort, dans l'idéal, un ouroboros pas très engageant suivant l'établissement et le staff.

Clair l HP c'est qu'un passage et sûrement pas la panacée. Et effectivement ça depend quel hp tu te retrouves

Bad As Karma a écrit

ricomel a écrit

Clair l HP c'est qu'un passage et sûrement pas la panacée.

Ou une fin de route, comme tu dis ça dépend.

Fin de route ds un sens, car parfois tu rentres mais sais pas quand tu sors.
A côté, ça peut être "utile". Sans pour autant être une partie de plaisir