3 MMC - De gros problèmes / Besoin d'explications et d'aide...

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Lullaby homme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 18 Oct 2018
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Bonjour à tous,

Depuis quelques temps, je rencontre de grosses difficultés.

Je me sens « en danger » (je cherche à comprendre, actuellement si je ne parviens pas à résister, je risque une nouvelle crise et hospitalisation) j’espère que certains d’entre vous pourront m’apporter des réponses.

•• Mes débuts dans la prise de 3MMC / 3MEC :

Après avoir réussi à résister de nombreuses années, j’ai accepté « un snif » de 3 MEC / 3 MMC. Bien malheureusement, j’y ai pris goût, et progressivement il devenait impossible d’avoir un rapport sexuel sans ces « snifes ».

•• Évolution vers le « slam » :

> De la même façon, j’ai longuement résisté à faire des injections (slam). Lorsque je suis arrivé en province, j’ai rencontré un couple qui pratiquait.
Étant donné qu’ils avaient une vie sociale normale (un travail en autre) et qu’ils n’avaient pas de soucis en particulier (de santé entre autres), j’ai cédé à la tentation.

La sensation (montée entre autres) fut tellement agréable que je ne souhaitais plus pratiquer le « snif ».

> Malheureusement, ce couple a décidé de ne plus avoir de rapports avec moi.
Devenu « addict » à cette pratique, je me suis initié à me les faire moi-même.

> Par manque de connaissance, je me suis fortement abîmé les 2 avant-bras :
En effet, mes injections étaient mal faites, le produit passait principalement « à côté ».

> Du coup mon obsession était de « retirer le produit » en tentant de l’aspirer le par la bouche et cette pratique a engendré des blessures importantes.

•• Des bras nécrosés / Intervention du CARRUD :

> Inquiet par ses blessures, j’ai contacté le CARRUD, ils m’ont immédiatement proposé de me rencontrer. Je tiens à souligner la grande écoute de cette équipe, leur soutien, l’absence totale de jugement et la volonté à m’aider et me soutenir.

J’ai vu de la grande inquiétude dans les regards d’Alexandra et de André qui m’ont dit qu’ils n’avaient encore jamais vu ça : toutes les plaies étaient nécrosées.

> Le lendemain, Alexandre m’a raccompagnée à la clinique, des infirmières m’ont fait les premiers soins. Par peur de ne pas ébruiter cette affaire, j’ai refusé les soins par les infirmières, je les faisais moi-même.

> Mais le professeur de la clinique m’a indiqué que pour me soigner, l’intervention d’infirmières était impératif, j’ai accepté. Les premiers jours, elles passaient plus de 1h15 sur mes bras, c’est soins on duré plus de 45 jours…

> Il a fallu ensuite affronter le regard des autres, informer mes proches, mes parents, ma famille, ce fut un enfer…

•• Le « snif » devenu inefficace :

> Face à ces problèmes, j’ai tenté les autres modes d’administration : « snif / avaler / anale » mais aussi incroyable que cela puisse paraître, plus aucun effet.

> Dans mon entourage, personne n’avait eut ce style de réaction : quand ils revenaient au « snif » mon entourage avait systématiquement l’effet recherché.
À noter que je suis l’un des plus « petits » consommateurs, ce n’était donc pas la « quantité » qui était en cause.

>>> QUI CONNAIT A EUT CE PROBLÈMETexte devant être colorisé ?
>>> QUI ONNAIT LES RAISONSTexte devant être colorisé ?

•• Reprise des injections :

Durant les soins, ce sont mes proches qui me faisaient mes injections de temps en temps, puis j’ai appris à le faire sans me mettre en danger.

Au départ j’y passais beaucoup de temps, parfois plus de 2h30 entre deux prises. C’était un problème puisse que le nombre de prises était devenu trop important (puisque je « redescendais » systématiquement, je reprenais...)

> J’ai fini par intégrer la façon de me faire mes injections rapidement et sans m’abîmer.

> Au départ, c’était tellement agréable « s’injecter seul, facilement et sans danger » que j’ai un peu déconné dans le nombre de prises, parfois jusqu’à 8.

•• Volonté de modération dans le rythme et le nombre de prise :

> J’ai énormément échangé avec l’équipe du CARRUD. Est née une volonté de réduire le nombre de prises, et d’augmenter le nombre de jours entre 2 prises.

•• Alors que j’avais réussi à réduire ma consommation et à ne plus m’endommager, les prises de 3 MMC / 3 MEC m’ont conduit aux urgences hospitalières:

> J’avais finalement réussi à faire moins de 4 prises et seulement 1 fois par semaine. Je me sentais plutôt bien et j’étais assez fier de moi.

> Cependant, et pour des raisons inconnues, à la 2ème ou 3ème injection, j’ai ressenti un effet indésirable induisant la nécessité de faire venir les pompiers pour me conduire à l’hôpital

•• Les effets de la 1ère crise :

> Afin d’éviter que mes membres (bras, mains, jam-les, pieds) ne se « tétanisent / raidissent » je suis contraint de boire énormément d’eau quasiment ..

> Puis ayant « trop bu d’eau » je suis contraint de me faire vomir… Et cela pendant plus de 6 heures, un véritable enfer…

> C’est un peu comme ci « j’étais perché à mort », avec une espèce « d’emprisonnement psychologique infernale et intense » duquel il n’était pas possible de ressortir… Je lutte pour en ressortir sans y parvenir, le temps ne passe pas…

D’une façon générale, j’ai beaucoup de mal à m’exprimer, notamment aux aides soignants, je ressens qu’ils « ne veulent rien faire pour moi » dans le style « ce qui t’arrive est normal, tu as pris du produit » certainement par manque de connaissance sur ce style de crises…

En fait, parce que j’avais la contrainte de boire de l’eau pour éviter ces durcissements des membres, j’avais peur de me laisser aller à dormir par peur de « décéder de soif », ça devenait une véritable obsession…

Puis, environ 6/8 heures après (selon les cas), cet effet insoutenable commence à diminuer petit à petit, l’envie de boire s’atténue, ce qui permet de s’endormir enfin…

> Il faudra faire face aux regards de l’équipe hospitalière qui ne « semble pas comprendre » puis endurer l’échange long avec l’adictologue, enfin l’entourage familiale « détruit moralement »…

•• Une volonté de comprendre l’origine du soucis :

> Hospitalisation du 26 oct 18 :
1ère CRISE : j'ai pensé que c'était le produit qui n’allait plus
ET que je « touchait un nerf » lors des injections.

> Hospitalisation du 30 oct 18 :
J’utilisais de la 3 MMC, je suis passé à N-Ethyl-Pentedrome
ET j’ai changé de bras.
2ème CRISE : j'ai pensé que c’était le mode d’administration qui n’allait plus.

> Gestion « seul » le 2 oct 18 :
Je suis passé de l’injection au « snif ».
3ème CRISE : j'ai pensé que c’était également le « snif » qui ne convenait pas non plus.

> Gestion « seul » le 10 oct 18 :
J’ai tenté une toute petite prise (environ 0,18g) dilué dans de l’eau que j’ai avalé.
4ème CRISE : que j’ai pu géré plus facilement, l’effet indésirable est passé au bout de 2 heures.

•• Des éléments qui ont peut-être un rapport :
Ces effets sont apparus depuis la prise de ces 2 médicaments.

> Depuis plus de 2 mois, je suis suivi par un adictologue.
Dans la grande majorité des cas, je décidais de faire une soirée « injections » quand j’avais une journée difficile, engendrant des difficultés à dormir, c’était « la solution pour décrocher »…

Afin d’avoir un « choix » entre « prendre du produit ou dormir », le médecin m’a prescrit du ZOPICLONE (7,5 mg), ce qui m’a permis de réduire (car c’est souvent ).

À noter que j’en prends 1/4 chaque soir.

> Parallèlement un kiné m’avait également prescris du VOLTARÈNE (50 mg) suite à un problème musculaire au dos.

À noter que je n’en prends plus depuis 3 semaines.

> Ayant expliqué ces difficultés à l’adictologue, il m’a prescrit du TERCIAN 25 mg.
Je n’ai pas encore utilisé ce médicament.

•• La problématique :

> Maintenant que j'ai réussi à mieux gérer, à limiter le nombre de prises par soirées, à augmenter le nombre de jours entre 2 prises, et que j’arrive à faire ces injections sans me mettre en danger, sans m’abimer, mon cerveau et mon corps n'en peuvent plus…

> J’envisageais fortement d’arrêter ces injections, mais pas de façon aussi brutale et par contraste de rejet. Plutôt par volonté et une fois mes soucis professionnels passés (période difficile), donc plutôt à la fin du printemps 2019.

>>> J’ai donc « besoin d’aide » car actuellement, si je n’arrive pas à résister, que j’utilise ces produits, j’en subirai ce que j’ai décrit avec le risque de l’hospitalisation…

>>> QUI CONNAIT CE SOUCI ET PEUT M’EXPLIQUER, M’AIDER ?

Merci à tous de m’avoir « lu » et pour vos remarques, conseils, avis.
Texte devant être colorisé
Lullaby

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Metisdrug homme
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France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 17 Sep 2018
47 messages
Je suis un consommateur de 3MMC je me retrouve un peu dans ton discours j'ai commencé par le sniff toujours couplé au sexe puis un soir lors d'un plan alors que je mettais toujours dit non je me suis mis au slam (la montée rapide, la chaleur ressentie était des effets tellement agréables), revenir au sniff était impossible.

J'ai rapidement appris à me shooter seul, puis après avec des potes on fessait des marathons sexe, entre baise et défonce.

Je n'ai jamais eu de réaction allergique ou d'effets indésirables comme tu décris mais des effets sur mon moral oui j'ai sombré dans une bipolarité puis une dépression.
La volonté de diminuer les prises et d'espacer les sessions est devenue nécessaire.

J'ai commencé à voir un psychiatre et un psychologue, avec le temps j'ai diminué et espacé les prises.
Cependant le cerveau garde une mémoire j'ai recommencé dernièrement (5g sur deux jours).

Je comprends ta souffrance, je sais que l'hospitalisation fait peur, que la stigmatisation de la part des soignant on en veut pas (moi même étant aide soignant quand on ne connaît pas une pathologie ou un cas il est facile de stigmatiser de rejeter la faute sur le patient).

Je ne saurais comment t'aider si ce n'est en te disant que c'est bien ta démarche de vouloir t'en sortir est tout à fait honorable.
Je reste à ton écoute si tu veux tu peux m'envoyer un MP

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Lullaby homme
Nouveau membre
France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 18 Oct 2018
8 messages
Bonjour,

> Merci (à nouveau) pour ta réponse, je t'avais répondu, je ne comprends pas pour quelle raison je ne vois pas mon texte.

J'ai à nouveau lu ce que tu indiques, merci d'avoir pris le temps de réagir, et navré pour les difficultés que tu vis... On pourrait se contacter par téléphone si tu le souhaites.

> Il est tard, je dois bosser tôt demain, je vais juste prendre le temps de publier ce que j'ai envoyé ce soir au CAARUD et à l'Adictologue (ci dessous).

Concrètement, parfois le snif fonctionne à nouveau, mais c'est rare. Et je ne comprends pas pour quelle raison aussi peu de témoignages à ce sujet, c'est déconcertant, parfois j'ai l'impression d'être le seul à vivre tout cela...

> En espérant que quelqu'un pourra m'expliquer, me conseiller, m'aider..

> Merci à ceux qui me lirons...

Amicalement


>>> MESSAGE ENVOYÉ :

Etant donné que je souhaite m’en sortir (et je l’ai prouvé à plusieurs reprises), que je rencontre de nouvelles difficultés, je me permets de vous adresser ce qui suit, voilà où j’en suis.


•• Je rappelle déjà le témoignage « détaillé » que j’avais publié sur :

https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 17#p392317

—Et je n’avais obtenu qu'une seule réponse…
L’avais-je publié au bon endroit, je ne sais pas.


•• Concrètement, j’ai quasiment réussi de ne plus me faire d’injections :

—Certainement par « peur » les dernières m’ont conduit 2 fois à l’hôpital, et j’ai du gérer 3 « crises » (qui durent prêt de 8 / 10h où je « supplie » que ça s’arrête…) chez moi … C’est assez difficile à tenir, mais je tiens depuis maintenant 2 mois environ (à l’exception de 2 seules injections durant cette période)…

—Malheureusement je n’arrive pas encore à stopper l’utilisation de ce produit, finalement je ne peux pas tout faire d’un seul coup.

—J’ai également réussi à m’imposer environ 8 jours entre chaque utilisation, et j’ai déjà réussi 1 fois « à tenir » 10 jours.

—Par contre je rencontre une grande difficulté, c’est assez incroyable, mais « en snif » ça fonctionne chez moi en moyenne 1 fois sur 10… Personne de mon entourage n’a vécu cela, personne ne comprend pourquoi…


•• Il y a des incidences « graves » à cela, puisque quand ça ne fonctionne pas (la majorité des cas donc) je renouvelle toutes les une heure à peu près « dans l’espoir » que le suivant fonctionnera…

Et plutôt que d’y passer « 2/3 heures » il m’arrive d’y passer plus de 15 heures, et en conséquence, de « perdre ma journée » et de faire du mal à mon corps, puisqu’il « absorbe »  1,5 / 2 g à la place de 0,5 / 1g.


•• Bien que « l’effet recherché ne vient donc que rarement », le produit va bien dans mon corps et les incidences désagréables sont bien là :

—Systématiquement, il y a rapidement la nécessité de boire sinon les muscles « se tétanisent », systématiquement « à la fin de l’utilisation » j’ai des petits tremblements des mains et des jambes qui semblent s’accentuer avec le temps, puisque « avant » j’arrivais à trouver le sommeil après utilisation, maintenant c’est plus difficile.

—Et le lendemain j’ai les mains et les jambes « un peu lourdes », il devient difficile d’avoir le contrôle de mes mains, cet effet passe au bout de 3/4 jours complètement.

—Parfois, quelques « piques aigus » dans les pieds de quelques secondes qui passe assez vite.


•• Il semble que les « incidences » ressenties suite à la consommation de produit « s’aggravent » avec le temps…


•• J’ai vu un ORL à qui j’ai tout expliqué, il m’a indiqué que je n’avais « à priori » aucun soucis, d’ailleurs, mon « odorat » est intacte.


•• Enfin, je vois un neurologue dans qq jours :

—Ce sont mon médecin traitant et le médecin qui a réalisé mon déplaire des bras (Monsieur PARIS) qui pensent qu’il s’agit certainement d’un problème neurologique (ce que je ressens aux bras et aux jambes et l’état de démence qui m’avait imposé d’aller à l’hôpital et de gérer le même style de « crise » chez moi).


•• En résumé, si le mécanisme « fonctionnait normalement » je pourrais commencer par exemple une soirée à 23h et aller me coucher vers 2 / 3 du matin en ayant utilisé que peu de produit. Du coup, je re trouverai une vie « normale » dans le sens de ne plus « perdre des journées ».

Je dois absolument trouver pourquoi le « snif » fonctionne mal chez moi…
Simplement parce que je n’ai pas encore trouvé « la force d’arrêter complètement l’utilisation du produit » et surtout parce qu’actuellement cel implique que je consomme « trop de produit » et pour rien…


•• J’ai passé pas mal de temps à chercher sur internet, je n’ai pas trouvé.
Il semble que l'une des rares personnes à avoir eut ce genre de problème.

Je sollicite votre aide, je me sens « en danger » :

Durant les 2 derniers mois, j’avais décidé de ne plus faire d’injections, mais le « snif » ne fonctionnant pas, j’ai finit par « craquer » pour l’injection, et à nouveau, j’ai du gérer des « crises » qui ont eut moins d’effet, puisque j’ai réussi à mieux les « contrôler ».

J’ai la « crainte » qu’un jour, je n’arrive plus à contrôler, à céder à l’injection et comme je refuse de me retrouver à l’hôpital (la 2ème fois, j’ai ressenti que le personnel hospitalier n’appréciait pas…) : du coup, je fais le chois de « vivre la crise chez moi » et que pourrait-il se passer finalement ?


Je vous prie de bien vouloir ce qui sera possible de faire, de solliciter vos contacts par exemple en espérant que vous pourrez m’apporter une solution.

Amicalement, et merci...

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DJINS homme
Banni
France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 15 Jan 2016
114 messages
Salut Lullaby,

je viens de te lire et je voulais tout d'abord t'apporter mon soutien. Tu vis apparemment une période très difficile avec ton addiction et je sais ce que cela veut dire connaissant ce soucis mais sur d'autres types de pratiques.

Mon avis qui se veut le plus sincère possible serait de te dire qu'il faut absolument que tu stoppes tout immédiatement. Il faut que tu te fasses faire un arrêt maladie et que tu ailles en cure de sevrage à la dure.

Tu es en train de te bousiller complétement là, ton corps te le dis de mille facon différente visiblement.

STP pense à toi et à tes proches et fais le nécessaire pour t'éloigner du produit. Je sais o combien c'est dure mais c'est à mon sens la solution la plus adaptée à ton cas

« L'esprit, c'est comme un parachute. Ca marche mieux quand c'est ouvert. »

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Lullaby homme
Nouveau membre
France
champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
Inscrit le 18 Oct 2018
8 messages
Bonjour DJINS,

Merci d'avoir prit le temps de lire mon article et pour ta réponse détaillée et pleine de bon sens.

Seulement, et comme tu le sais, c'est plus compliqué que cela...

Et... Ce qui me rassure, c'est que contrairement à la grande majorité des utilisateurs que je connais (j'en connais beaucoup maintenant...) je suis le seul à réussir à m'imposer 7/10 jours entre chaque prise.

D'ailleurs l'adictologue et le psychologue que je suis leur seul patient à réussir à tenir ce rythme...!

Ayant avant tout besoin de comprendre, je viens de prendre le temps de publier un nouvel article, sous un angle différent :

https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 12#p408512

Si tu en as le temps, jettes-y un œil.

À nouveau merci :)

Lullaby

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