Oui "keep calm"
Si tous les
NPS sont classifiés prochainement, il restera toujours les psilos en France, (et aussi ailleurs) je suis certain qu'arpenter les champs de bon matin au grand air ferait du bien à beaucoup de personnes ici sur PA.
Ahahah...
Restons zen, no panic !
L'usage des enthéogènes végétaux et chimiques se répand à vitesse grand " V" depuis les années 70, ce n'est pas une directive concoctée à la "va vite", par des bureaucrates ignorants ( et fort bien rémunérés au demeurant ), et voulant nier notre droit légitime d'accéder à notre propre conscience, qui changera la donne.
Auparavant , la plaie était les pouvoirs religieux qui régnaient sur les consciences par la peur et la violence d'état ( le pouvoir spirituel et temporel étaient complémentaire)
De nos jours, ceux qui détiennent le pouvoir politique continuent eux aussi à vouloir domestiquer les populations et à tenter de les contrôler de différentes manières, mais désormais ces populations deviennent de plus en plus lucides et instruites et donc de ce fait plus difficiles à manipuler.
Cela étant, je suis d'accord avec le fait que certaines de ces molécules
NPS possèdent un potentiel d'abus important et ne devraient pas être accessibles à des personnes non majeures.
Le fait de vouloir classifier toutes ces molécules dans une même catégorie serait une erreur.
Les personnes doivent être mieux informées sur les bienfaits éventuels et les dangers de ces molécules.
Les diaboliser et vouloir les interdire toutes serait une grande stupidité et n'empêcherait évidemment pas les personnes de les utiliser.
De plus, les assimiler à des "stupéfiants" empêche de fait à ce que ces molécules soient étudiées officiellement par des chercheurs , alors que certaines d'entre elles peuvent avoir une utilité thérapeutique indéniable si utilisées sous certaines conditions.
De plus, ne perdons pas de vue que si ces molécules sont de plus en plus utilisées actuellemnt, c'est avant tout dû aux difficiles conditions économiques, sociales et sociétales de la vie de ceux et celles qui les consomment.
Si les pouvoirs politiques actuellement en place souhaitent une réduction de cet usage, le mieux pour eux serait alors d'améliorer la vie économique et sociale de leurs populations respectives.
Et d'être avant tout au service des personnes qui les ont élus et non à la poursuite exclusive de leur propre carrière et ambitions politiques comme cela est souvent le cas.