[ Phenibut ]
Le phenibut, première expérience

Hier, j'ai reçu mon colis contenant mon phenibut.

Je l'essai donc a 15h, a échelle de 1,5g pour un poids corporel de 55 kilos/ 1m80

17h30: je commence a sentir des petits effets perceptuels, c'est très léger.

19h: je ressens le besoin de parler, je me met a appelé tous mon répertoire. En rentrant chez moi, je parle à ma famille toute la soirée, et tous se passe très bien. Je me sens stimulé et relaxé a la fois, mais l'effet est quand même majoritairement stimulant. Très sympa. De plus, toute tache chiante comme faire les courses devient pas trop chiante, tout paraît simple. Je suis comme sur un nuage, mais je reste lucide, cela me rappelle la cocaïne, toute proportion gardé (pas de jouissance et de plaisir intense comme avec cette dernière, mais la même sociabilité, et le même côté "j'peut tout faire sans que ça me pète les cacahuètes").

23h: un pote a moi arrive, on parle, on rigole, l'effet est toujours bien présent, mais il est moins stimulants que tout a l'heure déjà. Plus chill, mais toujours autant envie de parler. On fume 1 ter, avant qu'il parte vers 2h.

3h du mat: je vais me coucher, impression de flotter sur un p'tit nuage, et léger noding (rêve très rapide alors que pas encore endormi, imagination débordante).

10h: réveil, je m'attendais à être en super forme comme lu sur les forums, et finalement, réveil a la fois plus tôt que prévu (j'avais mis un réveil a midi), et pas très agréable. Je me sens tout engourdi, un peu comme quand on reste dans son lit toute la matinée, sauf que je me suis levé. État letargique bien que totalement détendu. Cela me rappelle les lendemain de fumette excessive ou session bang.

Conclusion : le phenibut de par sa duré et ses effets est selon moi, une drogue très, trop adapté au quotidien. On peut être sous son emprise devant des gens sans avoir l'air défoncé, elle simplifie le quotidien, et dure très longtemps. Cependant,elle a aussi un syndrome de sevrage (avec possibilité de delirium tremens), et c'est pour cette raison que, tous le comme les benzodiazépines ou les opiacés, cela rend potentiellement très addictive. Il est important d'espacer ces prises de 1 semaine pour ne pas développer de tolérance et de possible dépendance.