Bonjour,
Depuis le mois d'avril ayant une fâcheuse tendance à verser dans la solution des toxiques lorsqu'un évènement destabilisant se produit dans ma vie, j'ai commencé à m'injecter en
IV de la
cocaïne (voie choisie pour la rapidité d'action). Auparavant je prenais "simplement" du proto/gaz hilarant (jusqu'à 200-300/j dans les pires périodes) mais il était en rupture à cause du confinement j'ai donc glissé sur la c
IV et n'arrive pas à m'en défaire (hospitalisé, 0 conso pendant 1 mois : rechute à la sortie, suivi de convalescence à la campagne en famille, 0 conso pendant 1 mois : rechute à la rentrée, et pourtant globalement un contexte familial favorable quoique la confiance a été altéré, de type petits jeux d'espionnages pas très discrets et agaçant et côté professionnel favorable également, quand je suis au travail je n'ai plus d'envies).
Je peux injecter jusqu'à 6-8 g / semaine de stimulant.
Réduire est un premier pas difficile à franchir et il m'arrive de prendre de la
3mmc (cathinone) qui est réputée moins addictogène...(et moins chère).
Pensez vous que si je ne prenais que de la
3mmc, la réduction serait plus facile ainsi que l'arrêt ?
Sinon, d'expérience, la prise orale ou nasale entraîne-t-elle une réduction des envies de prises
IV ou cela ne fait-il que rajouter des prises supplémentaires ?
Si vous avez toUt autre conseil à me communiquer, je suis preneur;
Cela commence à devenir critique (je suis déjà suivi en
CSAPA + une psychologue libérale en ville mais les envies sont tenaces, le crawing insurmontable);