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Twixy_ a écrit
Vous microdosez à quelle fréquence ? quelle dose ?
De manière très très disparate pour la fréquence, mais vu que je trouve qu'il n'y a absolument pas besoin d'en prendre régulièrement pour en tirer tous les bénéfices c'est pas un mauvais point.
Voir même vu l'accoutumance de fou que la ké/les dissos occasionnent vaut mieux éviter que ça soit fréquent si on veut vraiment garder l'efficacité et surtout l'efficacité à petits dosages, car si on en prend tous les jours depuis quelques mois voir juste semaines, on peut très vite se retrouver à prendre 3x, 4x, voir 5x ou 6x le même genre de dosages que pour ses 1ères fois, mais en ayant pourtant à la fois moins d'effets recherchés, et + d'effets secondaires...
Donc contrairement aux psychés, où le fait d'en prendre régulièrement peut aider à mieux "cerner" les effets et profiter de leur plein potentiel, bah la ké vaut mieux en prendre que les moments où tu sens que ça te fera le + de bien sur les points que tu cherches à développer grâce à la prise de ké, et ce qu'importe le dosage d'ailleurs.
Et pour les doses je suis pas du tout un exemple pertinent qui pourra t'aider à choisir tes doses car j'ai l'habitude de taper des holes aux dissos dont la ké depuis quasiment 10 ans de manière globalement hebdomadaire, donc accoutumance++, et contrairement au snif de ké, où 25 à 50% de la ké finit dans le sang, en injection c'est 100%, donc pas du tout le même chiffre, et puis c'est moins aléatoire, donc mes doses t'aideront pas.
Juste histoire de dire un chiffre c'est quelques dizaines de mg en spray nasal quoi, mais ça dépendra complètement d'à quel point les holes des semaines précédentes étaient forts ou pas, des fois quand je baisse un peu ma fréquence/les doses je suis surpris par l'efficacité de certains petits dosages.
Vous avez remarqué des bénéfices clairs ? Sur l’humeur, la créativité, le mental, le focus ?
Ah oui ça c'est clair que j'ai remarqué ce genre d'effets, la ké c'est globalement le meilleur anxiolytique/régulateur d'humeur que je connaisse.
Après selon les situations précises ça sera + adapté un benzo ou un opioïde pour l'humeur, mais la ké est carrément semblable à un antidépresseur ultra efficace qui monterait immédiatement au lieu de prendre 4-5 semaines d'effets secondaires sans effet AD avant de peeeeuuut être, si le profil de la personne a la possibilité d'être soigné par les effets précis de cet AD précis que le médecin lui aura prescrit, avoir une amélioration sur la dépression qui arrivera très progressivement au fil des semaines en étant en rien, mais alors en rien, aussi agréable qu'avec la ké, et sera accompagné, même si la ké en a évidemment aussi, d'une tonne d'effets secondaires horribles* :
Effets du type fatigue++, augmentation des idées suicidaires, réflexion difficile, appétit démultiplié au point de prendre, souvent, au moins quelques kilos le premier/les 2 premiers mois, et ça c'est un peu si "on a de la chance", car beaucoup prennent carrément 8 voir 10 voir 15 kilos les 2 premiers mois, car en + de l'appétit incontrôlable, on a tendance à stocker toutes ses calories au lieu d'avoir de l'énergie avec, donc résultat on mange++, mais on a pas trop d'énergie, et le fait de digérer en masse + stocker des réserves de graisse ça prend aussi de l'énergie...
(Après si vous avez eu un traitement AD et que vous avez non seulement eu une efficacité très bien mais en + que vous n'avez pas trop eu tous ces effets secondaires à un niveau trop élevé c'est évidemment tant mieux pour vous on ne peut que souhaiter que ça se passe pas trop mal.)
Mais en attendant une bonne partie des témoignages sur les effets des AD "classiques", donc ISRS/ISRNA et tricycliques, sont souvent assez chargés en terme de présence d'effets secondaires et d'inneficacité globale sur la dépression, même si on notera que ça marche quand même plus souvent mieux sur les grosses grosses dépressions, mais que sur les dépressions "faibles" et "moyennes" ça tend à provoquer pas mal d'eff sec pour pas trop d'efficacité, surtout si on a pas un vrai changement de son mode de vie à coté, avec par exemple des choses mises en place pour améliorer son sommeil, son alimentation, se mettre au sport si on était sédentaire avant, se trouver une activité au lieu de glander toute la journée sur internet, se trouver un travail où on se sente bien, arrêter certaines consos qui nous aident pas à se sentir bien si on pèse les pour et les contre, etc...
Alors que la ké, même si tu fais rien de spécial de + que de prendre un macrodosage, bah ça a tendance (C'est pas systématique, c'est pas une baguette magique non plus hein) à provoquer très vite un effet anxiolytique + de "mettre en suspens" la dépression et beaucoup de ses symptômes pour remplacer ça par le fait de se sentir comme sur un petit nuage de bien être pendant une durée allant de quelques dizaines de minutes à plusieurs jours, généralement plusieurs heures, ça dépend de la tolérance quoi (et de si ça marche sur nous, ça marche pas tout le temps sur tout le monde, certains vont détester les macrodoages de ké et vont avoir peur, badtripper, regretter l'expérience, vouloir que ça s'arrête le + vite possible, etc...)
*(Sauf que du coup avec la ké on a les eff sec d'une seule prise de ké, avec les AD on doit le prendre tous les jours et se taper des heures par jour d'eff sec en masse, pour moi le choix est vite fait niveau ratio positif/négatif, après chacun aura son avis perso là dessus, qui peut amplement différer du miens.)
Après les effets très concrets sur la dépression en mode "tout s'envole d'un coup pendant quelques heures/jours puis revient progressivement" c'est surtout avec des macrodossages, du genre en s'approchant du K-hole quoi, et où l'injection intraveineuse, même si pour la dépression resistante quand on parle d'injections c'est en perfu et pas en injectant toute la seringue d'un coup, n'est souvent pas de trop pour atteindre le plein potentiel de la molécule.
Mais à moyens, petits, ou micro dosages ça reste un excellent anxiolytique et régulateur d'humeur à mes yeux et aux yeux de beaucoup d'usagers de ké.
Au niveau de l'énergie et du focus je confirme aussi que ça donne la motivation de faire certains trucs qu'on aurait laissé tomber avant la prise et qui semblent pourtant si simples une fois la dose montée au cerveau, plein de fois en prenant des micro/petits dosages de ké ça m'a aidé à faire du boulot alors qu'avant j'étais vraiment pas dans mon assiette et encore moins énergique.
Même si j'ai l'impression qu'il faut sois maîtriser les dosages TRES précisément pour atteindre les effets désirés niveau focus et énergie/motivation, sois en prendre depuis un certain temps et avoir de l'expérience avec, alors qu'en comparaison si tu doses trop fort ou si t'as pas assez d'expérience/de vécu avec la ké ça risque de mettre dans un état où t'es "incapacité" à cause de la confusion mentale, de la dissociation, de l'effet sur la mémoire courte, et donc au final être une mauvaise idée si l'objectif de base est d'être focus et motivé, à dosages innadéquats ou sans trop de vécu avec on est sédaté, confus, fatigué, bref pas le top quoi...
Et pour la créativité...
Je dirais que c'est clairement possible que la ké booste la créativité,
je l'ai expérimenté plein de fois, même si surtout à macrodosages,
mais ça dépendra vraiment de "quel type de créativité" on parle, après je n'ai pas trop de domaines d'activité dans lesquels je me dois d'être créatif donc j'ai jamais vraiment utilisé la ké, peu importe le dosage, "pour être créatif", mais j'imagine que c'est facilement possible, même si j'ai l'impression que c'est surtout à macrodosages, et que + on augmente les doses et - on se rappelle de son trip, donc ça peut potentiellement être pas simple d'exploiter cette créativité en question, mais je le répète je suis pas trop concerné par la recherche de cet effet.
Et à l’inverse, des effets secondaires ? Fatigue, down, accoutumance, autres ?
Est-ce que ça vous a aidé ou compliqué les choses sur le long terme ?
Je serais un mauvais exemple pour décrire les eff sec à court et long terme du microdoage étant donné que je pratique surtout le macrodosage.
Et que je n'ai jamais vraiment trop été dans des périodes où je ne pratiquais QUE le microdosage, et de toutes façons l'accoutummance dure tellement longtemps avant de redescendre, voir stagne même des années après, donc même si j'ai eu des phases de pause de hole sur quelques semaines ça restait "entaché" par les eff sec de holes trop fréquents sur longtemps, donc ça sera pas pertinent de témoigner pour quelqu'un qui cherche que les effets secondaires du microdosage.
Déjà que même pour les eff sec du macrodosage je saurais pas trop dire quels effets viennent de quelle molécule que je consomme régulièrement (cannabis+tabac, alcool, benzos, methadone, pscyhés, amphet, etc etc etc...) et qu'est-ce qui vient que de la kétamine, car certains eff sec se potentialisent entre eux, ou au contraires le ressenti de certains peut être réduit par d'autres.
(et bien sûr je suis dans une démarche de RDR, je veux juste comprendre avant de faire n’importe quoi et voir si c'est réellement ce que je recherche)
J'apporte beaucoup d'importance a la creativité/focus
Si t'apportes surtout de l'importance au coté créatif/focus, je pense tout de suite beaucoup beaucoup plus au microdosage de psychédeliques, et si le coté focus est vraiment très important je penserais même + précisément au microdosage de phénylethylamines psychédeliques (mescaline et tous ses dérivés : Les 2C-, comme le 2C-B/2C-E/2C-D... Les dérivés prôches de la mesca : methallylescaline/proscaline/jimscaline, le DOC/DOM/DOB, les -NBOH, comme par ex le 25-E-NBOH, aussi appellé "2C-E-NBOH", ou encore des trucs + obscurs comme la TMA, la TMA-2, bref tout ce qu'il y a de présenté dans le livre PIHKAL d'alexander et ann shulgin quoi.)
Car même si les tryptamines (dérivés proches de psilocybine, de DMT) et encore un peu + les lysergamides (donc substances proches du LSD) peuvent eux aussi provoquer une stimulation, de la créativité, et du focus, et bien ça sera souvent + simple à obtenir avec des phenylethylamines qu'avec des tryptas/lysergamides.
Les tryptamines font plutôt tripper "mentalement" : introspection, reflexions profondes, impression de voir des sens cachés partout ou de comprendre mieux certaines choses que sans tryptamines on aurait mis + de temps à comprendre voir qu'on aurait jamais compris, envie de philosopher, rencontres d'entités à gros dosages, voyage mental très intense quoi.
Les phenylethylamines ont plutôt, à dosages petits/micro, des effets proches de la MDMA ou des amphétamines :
Donc stimulation euphorique, envie de parler, contact social + aisé, empathie et amour envers globalement tout et n'importe quoi comme les extas, accélération du flot de pensée, permettant à la fois de faire plein de trucs en étant moins fatigué que sans rien prendre, et à la fois d'avoir un point de vue plus "créatif", plus "conceptuel", sur plein de trucs.
Et même si à microdosages on est loin d'être significativement concerné par le sujet de manière fréquente, c'est aussi clairement avec les phénylethylamines que les hallus visuelles sont les plus accessibles, le tout alors qu'on garde la tête relativement "claire" en comparaison avec les tryptas/lysergamides, où là pour avoir des hallus vraiment marquantes et palpables il faut souvent en être à un stade où on trippe déjà pas mal et où on a un mindset très marqué par la prise de psychés, si on est à un niveau où on a des hallus on est souvent clairement dans un état très spécial et le bad peut vite arriver.
Alors que sous phenylethylamines, même si bien sûr les réactions selon les gens varient énormément, comme toute prise de produits et encore + de psychédeliques, bah on est plutôt du genre à se sentir pas siiii défoncé que ça dans sa tête, pas de grosses introspections ou reflexions profondes si marquantes que ça, mais pourtant on peut quand même avoir des déformations visuelles bien palpables, et bien moins "subtiles" que celles sous champis/LSD, là c'est bien + cartoonesque, coloré, couleurs vives++, joyeux, beaucoup moins "sérieux" et plein de sens comme les hallus sous tryptas, là c'est vraiment récréatif et "pour se marrer" sans se prendre la tête sur des concepts intellectuels et philosophiques comme sous tryptas/lysergamides.
Et pour les lysergamides, c'est simple : c'est un mix des 2 !
En fait, chimiquement, les molécules de lysergamides ça possède à la fois un "squelette" de tryptamine, et à la fois un squelette de phenylethylamine, donc voilà, c'est un peu un mix des 2 au niveau des effets quoi.
Donc même si je ne conseille absolument à personne ici de prendre quoi que ce soit comme substances et que je ne fais qu'évoquer les effets de telle ou telle pratique, je pense que si ton objectif est d'avoir surtout du focus et de la créativité en + d'un effet positif sur l'humeur.
Bah ça me semble aaaaamplement + adapté de taper dans les psychés (et encore + les phenylethylamines) que d'aller se lancer dans une potentielle addiction à la kétamine, t'auras à mon avis à la fois bien moins de risques d'effets secondaires indésirables (addiction, effets sur la vessie/urinaires, fatigue mentale typique de la ké prise fréquememment, accoutumance+++ et augmentation des doses à laquelle elle mène, avec aussi le fait qu'on a TRES VITE potentiellement envie de prendre des doses bien au delà du microdosage avec la ké, alors qu'avec les psychés bien moins, et même si on le fait bah ça sera pas forcément + efficace et on le regrettera potentiellement.
Car se taper un vrai trip psyché alors qu'on veut juste un truc pour se focus et avoir de l'énergie ça peut carrément brusquer, mettre dans un état vraiment pas cool, voir donner l'inverse de ce qu'on recherche sur potentiellement tous les points possibles...
Donc on recommencera pas de si tôt une fois qu'on a fait la connerie en prenant un dosage inadapté, alors qu'avec la ké, bah augmenter les doses donnera certes + d'eff sec, mais ça boostera carrémet les effets euphorisants, anxios, créatifs, même si pour le coup le focus ça peut diminuer, mais qu'importe l'objectif de base de la prise : prendre des grosses doses, ou même juste des dosages au dessus de ceux considérés comme plus faible que les plus petits dosages récréatifs possibles ça peut vite mener à l'addiction et donner envie de retrouver cet état...)
Pour ces raisons et bien d'autres je serais plus du genre à me lancer là dedans si j'étais dans ton cas plutôt que dans le "microdosage de ké", je mets des guillemets car je suis même pas vraiment convaincu du fait que ça soit vraiment tant possible que ça de tirer des bénéfices avec des doses qui sont vraiment clairement en dessous des dosages récréatifs classiques, car ces dosages commencent eux même très très bas, donc en vrai pour espérer en tirer une vraie efficacité c'est plus des petits dosages de ké quoi, et puis en consommer trop souvent, même à petits dosages, peut très vite mener à une accoutummance+++++ qui fait qu'on augmente grave les dosages et que c'est + des doses si "mini" et encore moins "micro" que ça, sans parler de l'addiction, es cravings de fouq eu ça peut provoquer une fois qu'on a découvert le potentiel anxiolytique/AD et euphorisant/calmant en général de la kéta, en + le fait que ça dure à peine une heure d'effets principaux et que puisse se prendre même le soir peu avant de se coucher fait qu'on peut en consommer globalement tout le temps en toute situation sans même se faire cramer d'être sous produits tant qu'on attend quelques 10aines de min avant de rejoindre d'autres gens, ou qu'on en prend à dosages pas trop hard
Alors qu'avec les psychés, bah déjà on a pas envie d'en taper à n'importe quelle heure, alors que ça peut bien + souvent être le cas avec la ké, et puis même si on se force à en prendre ou qu'on croit en avoir besoin alors que non bah on regrette vite sa prise et on refait plus l'erreur plus tard.
Alors qu'avec la ké au pire on se couche un poil plus tard que prévu, ou on se dit que c'est dommage d'avoir fait monté l'accoutummance, d'avoir eu à se taper trop d'eff sec, mais vu que sur la majeure partie des points ça "nuit" pas trop, de manière immédiate tout du moins et donc on apprend pas tout de suite de nos erreurs, on a largement le temps d'en être à un certain niveau d'addiction avant de vraiment se rendre compte des dégâts de l'abus de ké, et même avec beaucoup de volonté de plus en prendre ça peut être un enfer de lutter contre les envies et les symptômes de manque désagréables qu'on a, car quand on est au courant qu'il suffit de prendre de la ké pour avoir un effet anxio/AD/euphorisant/calmant tout en pouvant à la fois servir de stimulant selon la dose.
Et en bonus, cerise sur le gâteau : Ca a tendance à booster les effets de quasi littéralement tous les autres produits qu'on prend à coté ! :
Opioïdes, benzos, alcool, caféine, amphet/extasy/stimulants en général, cannabis, tabac, lyrica, protoxyde d'azote ou gaz/solvants type ether, toluène, butane... Bref globalement tout sauf les délirants il me semble (datura, mandragore, mercalm, donormyl, artane...) et encore j'en suis même pas sûr, certains effets sont boostés.
Bref avec la ké comparé aux psychés y a des tas d'effets qui font qu'on a des chances d'y accrocher, si c'est pas l'un ça peut être l'autre...
Alors que les psychés, sauf cas vraiment exceptionnels,
bah ça pousse pas à prendre des doses + fortes que le microdosage pour + d'efficacité ou du moins si c'est le cas ça l'est de pas beaucoup.
Déjà car c'est tout simplement clairement pas toujours comme ça que ça marche et que c'est même pas forcément une bonne idée de prendre + en espérant + d'efficacité, et puis on en a même pas envie, sauf au début avant de savoir que c'est pas comme ça que ça marche, mais après on retient.
Et aussi, même une fois qu'on a microdosé pendant des mois à hauteur de plusieurs jours par semaine voir quasi tous les jours c'est non seulement pas ultra dur d'arrêter dans la plupart des cas, mais en plus c'est souvent "auto-régulateur", c'est à dire qu'on a nous même envie de faire des pauses et que de toutes façons peu de gens ont vraiment envie de prendre ça trop souvent et/ou sur trop longtemps.
Surtout quand on fait que prendre des microdoses en espérant un miracle et qu'à coté on change rien à notre vie pour vraiment espérer obtenir des résultats probants :
Dans ces cas là on a des effets secondaires, et peu d'effets recherchés pour nous faire oublier le ressenti de ces effets secondaires, donc peu de motivation à continuer, et dans le cas où ça fait vraiment l'effet escompté, bah déjà c'est génial d'en être arrivé là, et puis vu que ça va mieux, la conso de microdoses peut également s'arrêter facilement, et être reprise en cas de besoin ou d'envie, mais peu importe le cas c'est souvent simple de pas avoir envie d'en prendre tout le temps.
Donc surtout au niveau des dangers réduits les psychés semblent + être proches de ce que tu cherches, mais aussi sur plusieurs points niveau efficacité, après je connais pas ton psychisme et ta personnalité précise, donc je peux royalement me planter, mais c'est mon avis.
Dernière modification par L'Apoticaire (18 mai 2025 à 16:24)
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