Hello,
Je connais bien le sujet (10 années de dépendance, uniquement au
Zolpidem et un peu l'
alcool dont je me servais pour potentialiser son effet), cette dépendance est vraiment "spécifique" et suivant nos affinités cérébrales les Z-drugs peuvent ruiner plus que de l'amour. J'en ai perdu deux avec cette dépendance.. Et pas 2000 de retrouvées, hélas.
Enfin, presque 3 années de sobriété et un suivi régulier. Je me porte bien.
La solution que j'ai trouvée est radicale, également très simple, je peux te l'expliquer mais peut-être d'abord de façon privée. Car il y a des risques que j'ai pris volontairement et je n'ai pas encore suffisamment "théorisé" cette démarche pour la dévoiler sans craindre d'avoir à donner des éléments trop personnels.
Courage en tout cas ! Bien joué pour le reste si tu te sens mieux comme ça.