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- psycodone
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- Inscrit le 24 Dec 2022
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ouais salut, j’ai pas d’idée sur le sujet vu que ça a pop dans ma tête et j’me suis dis pq pas le poster ici mais est-ce que vous pensez que l’usage de drogue n’importe laquelle peut potentiellement aider ou réduire les symptômes de certaines troubles de la personnalité ? ou soumettre allez, mdrr des manipulateurs tarrés et rendre vulnérable des personnes froides ?
j’parle par exemple d’un borderline, antisocial ou des narcissiques ou d’un sadique apathique
après je doute si ça tient la route sachant que le médicament change les symptômes (comportement) pas la nature de la chose ? surtout que la personnalité dépend de l’environnement et est complémentaire à l’humeur (que la drogue peut stabiliser) bon ça c’est autre chose mais bon
fin certes les antipsychotiques et tout ça c’est des drogues, mais est-ce que des opio ou des psychés ou même des plantes avec des principes actifs fous ça peut marcher ? merci d’votre réponse ?
j’parle par exemple d’un borderline, antisocial ou des narcissiques ou d’un sadique apathique
après je doute si ça tient la route sachant que le médicament change les symptômes (comportement) pas la nature de la chose ? surtout que la personnalité dépend de l’environnement et est complémentaire à l’humeur (que la drogue peut stabiliser) bon ça c’est autre chose mais bon
fin certes les antipsychotiques et tout ça c’est des drogues, mais est-ce que des opio ou des psychés ou même des plantes avec des principes actifs fous ça peut marcher ? merci d’votre réponse ?
Dernière modification par meumeuh (02 juillet 2023 à 12:25)
Very rare
Hors ligne
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Bonjour, une personne (UD ou pas) est un être complexe et un être complexe ne répond pas de façon "linéaire" ou prédictible aux différents événements, c'est ce qui le définit comme complexe.
Ainsi les différents produits, dont les médicaments, peuvent avoir des effets différents, parfois inattendus, selon les personnes. Ces effets peuvent être positifs, negatifs, neutres, surprenants etc...
Tout ce qu'on peut en dire ne peut être que "statistique", c'est à dire, "en général les personnes réagissent comme ça".
Par exemple pour "les drogues" environ 15% des usagers developpent ce qui est défini comme un trouble de l'usage (un peu plus pour l'heroine 25% environ et surtout le tabac). Et c'est vrai de l'alcool, des médicaments, des écrans et même probablement de "rien". 15% environ des personnes (en fait plus d'après des études) développent des troubles dits mentaux , sans raison évidente.
Mais ces statistiques sont souvent biaisées. On sait que les caractéristiques observées d'un phénomène complexe, dépendent du "projet", de ce qu'on cherche à faire.
Ainsi des abolitionnistes observant "les drogués" n'y verront ils que des effets négatifs (addiction, overdose) alors que des PUD et des personnes objectives y verront des aspects positifs, mais je doute que leurs observations soient reprises dans des articles "officiels". Surtout que la stigmatisation et l'autostigmatisation tendent à privilégier les aspects négatifs, même chez les PUD et les personnes bienveillantes.
https://www.cairn.info/revue-multitudes … age-58.htm
Tant que des études objectives ne sont ni faites ni publiées , malheureusement je crois qu'il est difficile de répondre à tes questions.
Amicalement
Ainsi les différents produits, dont les médicaments, peuvent avoir des effets différents, parfois inattendus, selon les personnes. Ces effets peuvent être positifs, negatifs, neutres, surprenants etc...
Tout ce qu'on peut en dire ne peut être que "statistique", c'est à dire, "en général les personnes réagissent comme ça".
Par exemple pour "les drogues" environ 15% des usagers developpent ce qui est défini comme un trouble de l'usage (un peu plus pour l'heroine 25% environ et surtout le tabac). Et c'est vrai de l'alcool, des médicaments, des écrans et même probablement de "rien". 15% environ des personnes (en fait plus d'après des études) développent des troubles dits mentaux , sans raison évidente.
Mais ces statistiques sont souvent biaisées. On sait que les caractéristiques observées d'un phénomène complexe, dépendent du "projet", de ce qu'on cherche à faire.
Ainsi des abolitionnistes observant "les drogués" n'y verront ils que des effets négatifs (addiction, overdose) alors que des PUD et des personnes objectives y verront des aspects positifs, mais je doute que leurs observations soient reprises dans des articles "officiels". Surtout que la stigmatisation et l'autostigmatisation tendent à privilégier les aspects négatifs, même chez les PUD et les personnes bienveillantes.
https://www.cairn.info/revue-multitudes … age-58.htm
Tant que des études objectives ne sont ni faites ni publiées , malheureusement je crois qu'il est difficile de répondre à tes questions.
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (02 juillet 2023 à 18:46)
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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