[ Mode de consommation ]
Manière de sniffer, effets, trip différents ?
Publié par Zigou32,
1056 vues, 7 réponses
#différente #différents #effets #fort #nez #vite
#1
- Zigou32
Nouveau Psycho
- 07 février 2024 à 01:20
Salut à tous,
Je voulais vous faire part de quelque chose que je viens de remarquer pendant ma conso de c en sniff.
Ça fait plusieurs années que j'en prends, parfois à hautes doses sur une session (3g en 24h, bref) et ducoup mon nez commence à montrer des signes de faiblesse.
Quand je sniff, je peux sentir la c atterrir presque directement dans la gorge. (Au passage si vous avez des tips pour savoir où en est notre cloison, je prends.)
Ducoup je fais plus attention maintenant donc j'ai pris l'habitude d'aspirer tout doucement avec la paille pour éviter ça. (Et d'ailleurs si quelqu'un peut me dire de quel côté il vaut mieux orienter la paille dans l'une ou l'autre narine pour limiter les dégâts,
je veux bien aussi...)
Donc ce soir je commence ma session solo comme ça sur 3 traces (espacées d'une heure chacune), mais je reste très calme, pas très actif et bizarrement un peu parano alors que le contexte est le même, qu'on est en début de session et que ça me fait jamais ça sauf après deux jours à prendre sans dormir. (J'avais déjà testé cette c il y a un mois environ en soirée et elle avait fait le taf mais les traces étaient plus petites donc ça y allait niveau reniflement de poudre).
Et pour le quatrième trait je décide de me foutre de mon nez et j'aspire plutôt vite et assez fort avec la paille. Par chance, elle reste dans le nez et ne descend pas dans la gorge mais ce qui est bizarre c'est qu'après cette trace je me sens beaucoup plus motivé, très actif et presque; enfin c'est devenu largement gérable; plus du tout parano.
Je me demandais :
Est-ce que le fait d'aspirer plus ou moins vite et fort avec la paille peut modifier le trip et l'état d'esprit qui en découle ?
Je n'ai rien pris de plus ou de moins d'autre durant ces quatre traces c'est pour ça que j'en viens à cette hypothèse. Et aussi après la quatrième je sens beaucoup plus la c dans le nez quand je respire...
Voilà, j'attend vos avis personnels et/ou éclairés même si vous avez remarqué ça avec un autre mode de conso (fume ou IV) ça m'intéresse.
Merci à tous pour vos réponses
Je voulais vous faire part de quelque chose que je viens de remarquer pendant ma conso de c en sniff.
Ça fait plusieurs années que j'en prends, parfois à hautes doses sur une session (3g en 24h, bref) et ducoup mon nez commence à montrer des signes de faiblesse.
Quand je sniff, je peux sentir la c atterrir presque directement dans la gorge. (Au passage si vous avez des tips pour savoir où en est notre cloison, je prends.)
Ducoup je fais plus attention maintenant donc j'ai pris l'habitude d'aspirer tout doucement avec la paille pour éviter ça. (Et d'ailleurs si quelqu'un peut me dire de quel côté il vaut mieux orienter la paille dans l'une ou l'autre narine pour limiter les dégâts,
je veux bien aussi...)
Donc ce soir je commence ma session solo comme ça sur 3 traces (espacées d'une heure chacune), mais je reste très calme, pas très actif et bizarrement un peu parano alors que le contexte est le même, qu'on est en début de session et que ça me fait jamais ça sauf après deux jours à prendre sans dormir. (J'avais déjà testé cette c il y a un mois environ en soirée et elle avait fait le taf mais les traces étaient plus petites donc ça y allait niveau reniflement de poudre).
Et pour le quatrième trait je décide de me foutre de mon nez et j'aspire plutôt vite et assez fort avec la paille. Par chance, elle reste dans le nez et ne descend pas dans la gorge mais ce qui est bizarre c'est qu'après cette trace je me sens beaucoup plus motivé, très actif et presque; enfin c'est devenu largement gérable; plus du tout parano.
Je me demandais :
Est-ce que le fait d'aspirer plus ou moins vite et fort avec la paille peut modifier le trip et l'état d'esprit qui en découle ?
Je n'ai rien pris de plus ou de moins d'autre durant ces quatre traces c'est pour ça que j'en viens à cette hypothèse. Et aussi après la quatrième je sens beaucoup plus la c dans le nez quand je respire...
Voilà, j'attend vos avis personnels et/ou éclairés même si vous avez remarqué ça avec un autre mode de conso (fume ou IV) ça m'intéresse.
Merci à tous pour vos réponses
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#2
- Anonyme3894
Invité - 08 février 2024 à 09:09
Zigou32 a écrit
Est-ce que le fait d'aspirer plus ou moins vite et fort avec la paille peut modifier le trip et l'état d'esprit qui en découle ?
salut, le fait d'aspiré pas trop fort ça part moins dans les poumons, car une partie part dans les sac à vents.
tu devrais penssé au kit mad.
#3
- Zigou32
Nouveau Psycho - 08 février 2024 à 16:33
Anonyme3894 a écrit
Zigou32 a écrit
Est-ce que le fait d'aspirer plus ou moins vite et fort avec la paille peut modifier le trip et l'état d'esprit qui en découle ?
salut, le fait d'aspiré pas trop fort ça part moins dans les poumons, car une partie part dans les sac à vents.
tu devrais penssé au kit mad.
Tu parles de fume non ?
Sac à vents ?
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#5
- Zigou32
Nouveau Psycho - 08 février 2024 à 20:12
Anonyme3894 a écrit
non je parle de sniff
sac à vents = poumons!
La poudre descend jusqu'au poumons ?
C'est possible ?
J'ai du mal à y croire ou je n'ai pas compris
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#6
- Anonyme3894
Invité - 09 février 2024 à 09:17
ta bien compris une partie part dans les poumons!
quelqu'un pour osé comfirmé psychocrack???
quelqu'un pour osé comfirmé psychocrack???
#7
- elonnx
Nouveau Psycho - 09 février 2024 à 09:42
Je pense comme psychocrack sauf que je n’ai pas de connaissances medicales assez poussées pour expliquer le pourquoi du comment mais
Cet article en anglais parle bien d’affection pulmonaire après avoir sniffé de la cocaine
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4061432/
« Plusieurs mécanismes pourraient expliquer le pneumomédiastin (Un pneumomédiastin est une condition médicale caractérisée par la présence d'air dans la cavité médiastinale, qui est l'espace entre les poumons. Cela peut résulter de diverses causes, telles que des traumatismes thoraciques, des interventions médicales, des infections ou des maladies pulmonaires) et le pneumorachis après l'inhalation de cocaïne. Une apnée passive et/ou une toux survenant après l'inhalation peuvent entraîner une hyperpression intra-alvéolaire, responsable de la rupture alvéolaire et de la diffusion de l'air. Un autre mécanisme est la fragilité de la paroi alvéolaire et la rupture induite par l'inhalation répétée de cocaïne, entraînant à son tour la diffusion de l'air vers le médiastin, les tissus sous-cutanés et l'espace épidural. Le diagnostic est généralement posé par tomodensitométrie thoracique. La prise en charge consiste en une surveillance étroite en unité de soins intensifs pour détecter une aggravation du pneumomédiastin et du pneumorachis, qui nécessiterait une prise en charge »
C’était juste pour montrer un exemple de lien entre prise de cocaïne et problème pulmonaire. Il faut aussi voir qu’ils parlent d’un seul cas spécifique dans cet article et non d’une generalité.
En gros sans être alarmiste sur les conséquences négatives pour les poumons je suis presque certain, instinctivement, que cela les impacte.
Ce qui serait top c’est d’avoir un réel avis de quelqu’un qui s’y connait.
Cet article en anglais parle bien d’affection pulmonaire après avoir sniffé de la cocaine
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4061432/
« Plusieurs mécanismes pourraient expliquer le pneumomédiastin (Un pneumomédiastin est une condition médicale caractérisée par la présence d'air dans la cavité médiastinale, qui est l'espace entre les poumons. Cela peut résulter de diverses causes, telles que des traumatismes thoraciques, des interventions médicales, des infections ou des maladies pulmonaires) et le pneumorachis après l'inhalation de cocaïne. Une apnée passive et/ou une toux survenant après l'inhalation peuvent entraîner une hyperpression intra-alvéolaire, responsable de la rupture alvéolaire et de la diffusion de l'air. Un autre mécanisme est la fragilité de la paroi alvéolaire et la rupture induite par l'inhalation répétée de cocaïne, entraînant à son tour la diffusion de l'air vers le médiastin, les tissus sous-cutanés et l'espace épidural. Le diagnostic est généralement posé par tomodensitométrie thoracique. La prise en charge consiste en une surveillance étroite en unité de soins intensifs pour détecter une aggravation du pneumomédiastin et du pneumorachis, qui nécessiterait une prise en charge »
C’était juste pour montrer un exemple de lien entre prise de cocaïne et problème pulmonaire. Il faut aussi voir qu’ils parlent d’un seul cas spécifique dans cet article et non d’une generalité.
En gros sans être alarmiste sur les conséquences négatives pour les poumons je suis presque certain, instinctivement, que cela les impacte.
Ce qui serait top c’est d’avoir un réel avis de quelqu’un qui s’y connait.
« Je ne vois pas pourquoi je devrais renoncer à ma bêtise et adopter la leur, je ne veux pas couper ma vie en deux, je veux que ma vie à moi soit une, d’un bout à l’autre » Kundera
Hors ligne
#8
- Anonyme3894
Invité - 09 février 2024 à 21:18
elonnx a écrit
Ce qui serait top c’est d’avoir un réel avis de quelqu’un qui s’y connait.
oui tout à fait!
en atendand ya le kit mad!
https://www.psychoactif.org/forum/2023/ … 409_1.html
à noté que deux ans apres comme même ya des croutes dessus ^^
non je plaisante mais de ce que je sais le kit mad donne moins de prods dans les poumons qu'une ligne.
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