Dans mon cas, avec une conso d’1-2 fois par mois, j’ai remarqué que la C me permettait de descendre des quantités importantes d’alcool sans pour autant vomir (jamais) ou finir dans le mal extreme. Très fourbe.
Apres il faut bien voir que je n’aurais pas le même discours si je mélangeais chaque weekend c et
alcool. Et je n’associe pas la C et l’alcool souvent au final, tous les 3 mois car je fais gaffe a cette interaction justement.
A la
base quand je consomme seul ou en petit groupe je ne ressens pas le besoin de boire, la C n’appelle pas l’alcool, et l’alcool n’appelle pas la C non plus. Je ne suis pas un gros buveur…
Et de temps en temps comme avant hier «ça part en vrille » avec des potes au bar, deux pintes, 5 verres de rouge bien servis, une tite trace, deux rhums, j’me sens fatigué, l’envie de rentrer me poser en fumer un et dormir, c’est 22h. A ce moment la je n’ai plus envie de reboire un verre mais…
Ils recommandent un g et… moi qui était full tranquille, je rebois l'équivalent d’une teille de rouge et je m’enfile 30cl de genepi en enchainant traces et shots (jusqu’a 6h du matin).
Nuit blanche au final, retour chez moi et il a fallu un moment avant de redescendre.
Donc pour moi ça repousse les limites, mais je fais assez gaffe a ça, non seulement car j’finis par dépenser un fric fou en boisson, j’pousse le corps trop loin et l'interaction des deux molécules n’est pas vraiment bonne…
Et quand la c redescend l’alcool fait très mal mine de rien. Mais par ailleurs je perçois les effets des deux, la C ne masque pas les effets pour autant.
Mais si je me fais une session solo a aucun moment je n’ai l’envie de descendre autant d’alcool, eventuellement une biere ou deux en fin de session avec un
joint.
Dernière modification par elonnx (09 février 2024 à 02:06)