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Cure ou post-cure? Comment ça se passe ? 



Salut à tous les psykos,

Moi mon pb est simple mais la résolution du pb est peut être compliquée..
Je m'appelle "MIMI" j'ai 33 ans et lourd passé de toxicomane .

Je prends des TSO depuis mes 18 ans et aujourd'hui j'aimerais réellement arrêter la méthadone.( Mais pas un sevrage à la dure juste sur 14 jrs ce qui me paraît trop brutal et c'est l'avis de mon médecin aussi)

  Moi je pensais qu une post-cure c'était un lieu où tu es encadrée et tu peux arrêter très progressivement la métha jusqu'à l'arrêt total..

Enfin voilà j'aurais besoin de réponses parce que mon médecin addicto m'a fait comprendre qu'il envoyait uniquement en cure des alcooliques et qu il infligerait pas autant de souffrance à un dépendant méthadone ..Et les messages que j'ai vu sur les forums datent de trop lgtps pr que je puisse poser mes questions .. Du style : faut il déjà avoir fait un sevrage pr accéder à une post cure ?

Merci de m'avoir lue

Bisous salut

Catégorie : Sevrage - 10 mars 2018 à  20:10



Commentaires
#1 Posté par : Zazou2A 10 mars 2018 à  20:21
De ce que j’en sais, en effet pendant la  cure qui dure généralement une à 3 semaine on effectue un sevrage, soit en cold turkey soit en baisse progressive très rapide.
Ce qui dans le cas des tso n est pas statistiquement le meilleur moyen d arrêter, mais chacun est différent.

La post cure c est un endroit, souvent isolé, ou tu peux passer parfois plusieurs mois, sans produit, pour récupérer de la cure, avant de reprendre le cours de la vie !

Ça peut être très efficace pour la coke par exemple qui n as pas de substitut et dont la dépendance est psychologique principalement, pour les opiacés en effet ça se fait plus rarement, et généralement une baisse progressive sur le long terme est la solution préférée par la plupart des addicto


drogue-peace

Zaz

 
#2 Posté par : Mimi 10 mars 2018 à  20:37
Merci pour ton msg Zaz

Alors moi ce qui m'embête c'est que je suis contre un sevrage à la dure en 14 jrs qui me paraît être une torture et d'après mon addicto aussi..

Moi ce que j'aimerais trouver (mais je sais pas si ça existe) c'est un lieu qui m'accompagnerait sur plusieurs mois afin de me faire diminuer la metha en étant encadrée (sport, suivi social, psychologique) jusqu'à l'arrêt du traitement.. Ça me paraîtrait moins violent et plus judicieux surtout que j'imagine qu'ils organiseraient avec moi la sortie (niveau social et professionnel)

Honnêtement je rêverai d'un suivi comme celui-ci et Enfin de sortir de là libre sans cette méthadone..

Amitiés Mimi

 
#3 Posté par : Zazou2A 10 mars 2018 à  21:17
Je N sais absolument pas si ça existe mais quand j’ai voulu arrêter l IV d d oxy, je chechzis quelque chose dans ce genre, perso je n’ai jamais trouver ...

En effet le torture dû sevrages est tout sauf une bonne chose, surtout qu avec la méthadone les symptômes physiques peuvent durer un moment !

Pk tu n’te sens pas de le faire chez toi, en allant régulièrement au csapa parler avec les éducateurs/psy ou infirmier ?

drogue-peace

Zaz

 
#4 Posté par : Mimi 10 mars 2018 à  22:21
Re Zaz ,

Oui malheureusement je sais pas si ce type d'endroit existe , ça me paraîtrait pourtant être une super bonne solution...

Le souci pour le faire chez moi est que la diminution du ttt me met ds une inertie et me fait déprimer et du cp j'ai bcp moins la force de me bouger.. Mon Doc m'a parlé d'un hôpital de jour spécialisé toxicomanie pk pas essayer mais c'est lié à la psychiatrie et vu que j'ai travaillé ds le domaine j'ai un peu peur de me griller pr la suite..

En fait je sens que j'aurais besoin d'un encadrement et ça me fait chier de me dire qu'une telle cure n'existe pas ou uniquement pr les alcooliques..

Je compte bien sûr aller la semaine prochaine faire un petit tour au CSAPA de ma ville et leur faire part de mon projet et creuser avec eux les solutions envisageables.
Merci pour ta réponse.

Je suis un peu déçue, je pensais sincèrement que ce type de cure existait ça fait chier de se dire que soit c'est un sevrage où tu douilles comme un chien enfermé en cage pdt 14 jrs à te chier dessus et souffrir de fou ou soit tu te démerde sans structure où tu peux être un peu plus encadré et soutenu qu une structure en extérieur genre ambulatoire , hôpital de jour etc ..

La bise à toi Zaz salut winkwinkwink

 
#5 Posté par : Zazou2A 10 mars 2018 à  22:46
Si jamais tu trouves n hésites pas à nous le faire partagé ! drogue-peace

Zaz

 
#6 Posté par : Mimi 10 mars 2018 à  22:55
No problémo wink

J'espère avoir des bonnes nouvelles via le CSAPA . On verra bien vers où ou quoi ils m'orientent .


 
#7 Posté par : Niko44EMOM 11 mars 2018 à  09:47
Je me permets d'intervenir .

Je ne connais pas de post-cures ou le produit visé est toléré même en decrescendo .

Par contre , je sais que ton addicto peut t'accompagner sur un an ou deux et t'aider à diminuer par tranches de 5mg puis 2....Sans que tu ressentes la moindre baisse de régime .

Je suis de cette façon passé de 240mg prescrits (la sécu hurlait) à 120mg , ce qui est toujours mon dosage à l'heure actuelle .

Il est vrai que je suis descendu plus bas de la même façon mais il est également exact que j'ai dû remonter à 120mg par la suite . J'avais été trop ambitieux .

Bonne chance à toi...

Niko44

 
#8 Posté par : Mimi 11 mars 2018 à  10:54
Salut Nikko,

J'entends bien ce que tu me dis j'avais d'ailleurs bcp moins de mal ds ma diminution à des dosages plus élevés (je suis passée de 120 mg à 40 mg avec du temps mais sans trop de difficulté bizarrement que ce soit physiquement ou psychologiquement)

En fait le très difficile pour moi c'est ces dosages de 40 mg à moins ( la j'essaie de tenir à 15 mg ms super tendu)

Après c sûr si y a pas d'autres solutions je vais diminuer plus progressivement ms bon j'ai l'impression que ça en finira jamais.

Je sais que je pense mal ms le fait que je sois encore sous métha ça peut m'encourager de temps en temps à taper en me disant que de ttes façons je suis pas sortie d'affaires donc finalement pk pas prendre de la came.

Enfin bref j'ai l'impression que le chemin a pas de bout et que voir un addicto 1 à 2 fois par mois c'est pas suffisant ds mon cas et mes envies actuelles.

Merci et bravo pour ta grosse diminution.
C'est vrai que 240 c'est énorme lol.


 
#9 Posté par : psychodi 11 mars 2018 à  12:05
salut mimi

je bosse en CSAPA et je vois plusieurs "options" à discuter avec les gens qui t'accompagnent (si j'peux m'permettre)

déjà : la métha est un TRAITEMENT donc essaye de le voir comme tel et non comme un prod...je me permets cette remarque juste parce que si tu mets sur le même plan ta came de prédilection et le TSO, ça engendre des pensées qui relient un peu les deux et ça alimente ton idée que tu n'en sors pas alors que, justement, tu CHANGES de truc...il faut tenter de "découpler" les deux, si je peux dire...plus facile à dire qu'à faire tu me diras mais tu saisis l'idée ? c'est une remarque purement de "soignant" ce que je lâches là, donc excuse moi si je suis un peu direct ou quoi...

ensuite, sur ton projet de soins (là encore, si je peux me permettre) :
- soit tu te mets au vert avec sevrage puis SSR (post-cure, quoi...)...faut voir si ça existe pas trop loin de chez toi mais il y a peu de structures qui s'engagent dans l'arrêt des TSO, à croire que le monde de l'addictologie pense que ça ne se fait qu'en ambulatoire...voire que ça se propose même pas le plus souvent (dans ce que JE constate, hein, je fais pas de généralités)...après, le "risque", c'est le retour dans ton contexte de vie habituel, que tu ne peux préparer finalement qu'en "théorie" depuis le SSR puisque tu n'es pas sur place...ça peut faire un choc..
-  soit tu prends ton temps, sur plusieurs mois (ça demande de la patience, c'est sûr), en demandant un suivi plus régulier que 2 fois par mois au CSAPA si possible ou en voyant avec eux s'ils ont des partenaires extérieurs pour l'aide au travail, aux loisirs, aux rencontres, etc...qui sont à MON avis les choses à investir massivement en plus du CSAPA...sinon, la vie se résume (à nouveau) à tourner autour du prod ou de la question du prod...et tu en sors moins vite (ou même pas du tout mais y a des gens aussi qui doivent toute leur vie parler de l'absence d'alcool pour pouvoir s'en passer...) parce que ton cerveau ne "pense" pas à autre chose...

voilà , c'était ma petite contribution à ton blog, j’espère que ça va va pas te vexer ou parasiter ce qu'on te dit à ton CSAPA...blog que je suis avec attention parce que j'apprécie les gens courageux qui, sur PA, ont la gentillesse de partager leur expérience de vie

amicalement

psychodi

 
#10 Posté par : Mimi 11 mars 2018 à  12:37
Hello Psychodi,

Tt d'abord merci de prendre le temps de me répondre c'est cool. C est bien d'avoir un avis de quelqu'un qui bosse en CSAPA.

Alors j'ai bien conscience que la méthadone est un traitement que je n'assimile d'ailleurs pas à de la came ( pas d'effet défonce pr moi)c'est juste que effectivement des fois je fais le parallèle entre ma dépendance à la méthadone et le fait que de prendre du prod occasionnellement ne changera pas vraiment la situation de fond qui est la dépendance à qqchose ( je sais pas si je suis bien claire) .

Je pense que malgré mes difficultés je pourrais y arriver mais j'ai besoin d'aide.
Je suis aujourd'hui un peu perdue , j'avais mis bcp de choses en place ( formation réussi avec titre professionnel obtenu, puis travail en HDJ en psychiatrie)

Le problème est que qd je suis "réinsérėe" ce n'est pas le bon moment pour moi de baisser la métha surtt à des dosages type 20 mg car besoin d'énergie pour travailler, pourtant moralement je me sens mieux j'en oublie presque le ttt.
Malheureusement les choses quotidiennes me ramènent à ça , voir le médecin, aller à la pharmacie, avoir un petit copain sans lien avec ça et imaginer être mère etc.

Là je travaille pas et je me dis que baisser seule ds mon coin est très compliqué et en même temps un sevrage sur 14 jrs me paraît tellement brutal ( mon médecin qui est spécialisé et réputé n'envisage même pas 1 seconde ce type de cure et la violence qui va avec)

Alors ma question c'est "qd est-ce que ce sera le bon moment pr arrêter?"
Finalement j'ai l'impression d'être condamnée à en chier sur du long terme plutôt qu'un bon coup .

J'ai connu mon premier traitement à 18 ans et en ayant 33 aujourd'hui je me dis que ça finira jamais et même qd je demande de l'aide pr accélérer le processus je réalise que rien n'existe dans ce sens à part quelque chose dhardcore.

Après si y'a que ce type de cure je vais qd même m'y intéresser ..

Merci bcp pour ton message

super

 
#11 Posté par : psychodi 11 mars 2018 à  15:25
re salut mimi

allez, je fais mon psy...

Mimi a écrit

la situation de fond qui est la dépendance à qqchose ( je sais pas si je suis bien claire)

c'est très claire de mon point de vue : tu touches là à la problématique qui nous concerne tous, nous pauvres humains...on nait toutes et tous dépendants, totalement...et ensuite...à quoi on s'accroche ? puisque de toute façon il nous faut bien composer avec "le manque", inhérent à la nature humaine (c'est p't'être pour ça qu'on a inventé la religion, la philo, la science, la littérature, la peinture et que sais-je encore pour nous occuper l'esprit face à la vaste question : mais qu'est-ce que je fous là ??)



Mimi a écrit

Là je travaille pas et je me dis que baisser seule ds mon coin est très compliqué et en même temps un sevrage sur 14 jrs me paraît tellement brutal ( mon médecin qui est spécialisé et réputé n'envisage même pas 1 seconde ce type de cure et la violence qui va avec)

je partage tout à fait son avis...pourquoi le faire dans du "brutal" ?

Mimi a écrit

Alors ma question c'est "qd est-ce que ce sera le bon moment pr arrêter?"
Finalement j'ai l'impression d'être condamnée à en chier sur du long terme plutôt qu'un bon coup .

ça renvoie à la même question pour toi : pourquoi envisager les choses sous l'angle d'arrêter (en en chiant) de vouloir dépendre de quelque chose...qui pour l'instant te permet de tenir ?

Mimi a écrit

J'ai connu mon premier traitement à 18 ans et en ayant 33 aujourd'hui je me dis que ça finira jamais et même qd je demande de l'aide pr accélérer le processus je réalise que rien n'existe dans ce sens à part quelque chose dhardcore.

même idée : "hardcore" ou ça marche pas...si ça reste ancré dans ta tête, ça te limite dans les projets possibles...avec plus de nuance, de douceur, de calme...je ne sais pas si tu consommais aussi de façon "hardcore" mais dès fois il y a des similitudes entre la façon de consommer et celle de vouloir s'arrêter...

ça renvoie de toute façon à la même question existentielle : pourquoi est-ce que je dois danser les yeux bandés au bord de la falaise pour me dire que j'ai le droit d'exister ?


 
#12 Posté par : Mimi 11 mars 2018 à  18:25
Psychodi re,

Alors effectivement je mets ds mon post des mots comme "hardcore" ou "en chier" parce que j'ai conscience que faire un sevrage sur 14 jrs est vrmt très rude mais le but pr moi est peut être d'essayer qd même afin de sortir de tt ça plus forte en aillant vaincu le traitement..

Je vais voir ce qu'il est possible de mettre en place pr moi ms je n'arrive plus à me contenter de ce TSO et me dire que la seule alternative serait diminuer diminuer diminuer pendant de nombreuses années en sachant que qd tu travailles la diminution est encore plus dure je trouve..

Enfin voilà si il n'existe que ce type de cure j'essaierai car mon voeu c'est me réveiller sans TSO et me sentir libre..

Moi à la base je ne cherche pas de violence ds l'arrêt ms on ne propose pas d'autres types de cure apparemment..

Bisous

 
#13 Posté par : Mimi 11 mars 2018 à  23:18
ça renvoie à la même question pour toi : pourquoi envisager les choses sous l'angle d'arrêter (en en chiant) de vouloir dépendre de quelque chose...qui pour l'instant te permet de tenir ?

Vouloir dépendre de quelque chose qui pour l'instant te fait tenir..
C'est le "pour l'instant" qui me pose question. Pour l'instant pour le moment ça indique quelque chose de temporaire .
Et ça fait temporairement 15 ans que je connais les TSO..

Alors peut être que je me plante ms je me dis qu'il n'y aura pas d'arrêt de TSO sans douleur . J'ai l'impression d'un combat de ts les jours avec une fatigue de fou, bâillements, du mal à se mettre en mouvement et ces symptômes sont juste liés à une diminution donc je parle même pas d'un arrêt total..

Je pense que c'est illusoire de penser que je ne souffrirai pas en faisant la démarche d'arrêter mon traitement que ce soit plus brutalement en cure ou moins brutalement en ambulatoire ms plus long .

Enfin voilà je peux peut-être paraître impatiente ms je me dis que d'une manière ou d'une autre ça sera dur..

Merci et n'hésitez pas à partager si vs avez des conseils ou expériences en lien à mes interrogations.

Bisous et merci Psychodi

 
#14 Posté par : Oncle Fétide 02 avril 2018 à  14:45
Salut Psychodi !

j'ai expérimenté la cure, dans un centre à la campagne loin de tout...
pendant 5 semaines.

ça commence par des test complets prise de sang, urine, la totale !
pour savoir exactement ou tu en est, qu'est-ce que tu prends et quels sont tes taux...
ces test sont refaits chaque semaine : si tes taux n'ont pas baissé, c'est plus que louche wink

la 1ère semaine est très dure : tu reste dans ta chambre, à l'isolement, on t'apporte tes repas, la fenêtre est bloquée pour éviter les TS...
bref t'as un peu l'impression d'être en taule sad

je crois que tu as raison : il n'y a pas de méthode pour se sevrer sans en ch... un max !

mais bon, c'est la vie wink il n'y a rien sans effort (ça se saurait) lol

je pense que l’essentiel est d'être préparée et de te sentir prête à faire le pas.

si ça ne viens pas de toi : c'est complètement inutile, tu vas replonger et tu en aura ch... pour rien sad

les pouvoirs publics n'ont pas bien du comprendre ça car il y avais des gens qui étaient là par décision de justice : ça ou la prison !
(c'est carrément voué à l’échec à mon avis)

la 2ème semaine tu as le droit de sortir de ta chambre, de manger avec les autres, mais pas de sortir du centre.
ça va mieux la forte dépendance physique est passée wink

la 3ème semaine tu peux sortir faire des petites courses (2 fois dans la semaine) mais encadrée par des éducs qui t’amènent en mini-bus et te surveillent.

du coup tu te sens carrément stigmatisée quand tu arrive à la caisse et que le gars regarde ce que tu as acheté hmm

les deux dernières semaines, tu as sortie libre l'après midi après les activités
mais un dépistage systématique au retour...
(sans compter les contrôles aléatoires, au cas ou tu ais consommé quoi que ce soit)

il y a pas mal d'activités toutes obligatoires, certaines sont bien : musique, relaxation...
mais c'est surtout de la "prévention" on t'explique tout sur les drogues, la désocialisation, etc... (c'est un peu ch...t mais j'ai quand même appris des trucs wink )

il te reste pas mal de temps libre, ou tu est tranquille et après la 2ème semaine tu commence à pouvoir penser à peu près correctement sans crise de craving de ouf !

la tu apprécie d'être retirée du monde, ça te met dans une espèce de cocon protecteur libérée des soucis du quotidien tu peux penser à toi ! et essayer de te reconstruire super

j'ai trouvé l'équipe médicale très bien : à l'écoute, amicaux et protecteurs.
j'en garde un très bon souvenir.

le plus dur c'est surtout les autres, il y en a qui sont complètement "out of control"
mais bon, tu te fais assez vite un petit groupe par affinité et tu te sens + en sécurité ensemble wink

voila pour mon expérience, j'espère que ça d'aidera ! au moins tu as une idée de ce qui vas se passer big_smile

Amicalement !

 
#15 Posté par : Mimi 23 octobre 2018 à  20:41
Salut Oncle fétide ,

Désolée j'avais pas vu ton message ça fait un bail t'es pt être plus sur le site .

Pour info moi c mimi pas psychodi ;-)
Une question pour cette cure ils acceptent n'importe quel âge ?

C'est pris en charge par l' ALD ?
Ça se trouve où ?

Bref j'ai plein de questions en fait ^_^

Si tu peux me répondre c cool.

Mimi.

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