Dernière modification par @Dantes@ (07 octobre 2025 à 16:34)
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@Dantes@ a écrit
En étant uniquement sous codéine.
La codéïne est un opiacé qui, si est moins puissant que la morphine, se transforme à raison de 10% en morphine dans ton organisme qui engendre une dépendance physique et psychique qui peut être facile à diminuer mais qui peut présenter les mêmes difficultés à être estompées (sevrage) que les autres opiacés/opioïdes.
Celle molécule m'a été utile en tant que TSO sur 5 ans après l'arrêt de l'héroïne, m'évitant le PAWS, m'éloignant le plus possible de l'arrêt de cet effet opiacé particulier mais bien réchauffant le corps et le cœur.
Si tu tombes sur un addictologue avisé, tu n'auras pas de souci à obtenir le TSO désiré. Perso, le premier CSST (devenus CSAPAS), n'a pas voulu m'entendre et m'a mis sous B8 (Subutex) qui ne me convenait pas du tout (anxiété forte avec une tendance nette à chercher de produits puissants.
Résultat : j'ai prévenu que je partais en vrille et je suis parti en vrille. Le passage à la méthadone n'a pas tardé avec un démarrage à 60 mg.
Ce n'était pas prémédité, le déroulé de la mise sous méthadone s'est passé ainsi. 23 ans après, j'en suis satisfait et n'ai aucune intention de diminuer ou d'arrêter ce traitement qui m'a ouvert les portes du contrôle de mes pulsions, ce qui n'est pas rien !
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