- Anonyme6693
- Invité
J'ai tellement de prod sur le dos, mais je choisis de poster dans cette sous partie parce que c'est la problématique. J'ai 7/8ans de conso d'alcool regulière, depuis un ans je mix ça avec les benzo depuis j'ai une tolerance au deux prod' (même si yen a plus en vrai) ce sont les deux qui sont devenus limit indissociable. Ce soir j'ai bu a peu près 5 ou 6 8.6 avec 150 voir 200mgmg de xanax. Et depuis mes rechutes me font culpabiiser de ouf même si je frèquente un csapa. Je sais pas trop pourquoi j'ai ecris ça, mais je devais le lacher,, le sortir. J'attends des entretiens en préadmission en addicto, j'ai echappé de peu la psy en urgence... Depuis j'essaye de me sevrer tout seul et c'est pas simple
Merci à ceux qui auront pris le temps de me lire
Merci à ceux qui auront pris le temps de me lire
- filousky
- Modérateur
- Inscrit le 14 Dec 2008
- 12273 messages
Anonyme6693 a écrit
Ce soir j'ai bu a peu près 5 ou 6 8.6 avec 150 voir 200mgmg de xanax.
Merci à ceux qui auront pris le temps de me lire
J'ai pris soin de te lire et constate que t'es dans un passage plutôt "chaud".
Tu as écrit 150 voir 200 mg de xanax ce qui représente en conditionnement pharmaceutique français 400 comprimés de 0,5 mg.
Une boite de 2x15 comprimés représente 30x0,5 = 15 mg, donc 150 mg = 10 boites = 300 comprimés
Peux-tu confirmer ton dosage quotidien en mg ou en nombre de comprimés avec le dosage du comprimé (le xanax existe en 0,25 mg ou 0,50 mg).
Amicalement
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Hors ligne
- Anonyme6693
- Invité
En général en ce moment je tourne à 75mg ou 100mg de xanax (boite d'alprazolam de 25mg), ça dépends des angoisses mais dès que je retouche à l'alccol, je pop ça comme des smarties, en oubliant Evidemment le nombre de cachet ingérés. ca va faire un an que mes pbms d'alcools sont de plus en plus présents, et accompagné d'une consommation excessive de bzd.
suite à un gros soucis familial. En octobre dernier je tournais à quelques litres de bières par soir tout les jours les ainsi que de grosses doses de tranxenes toute la journée ainsi que qu'en soirée (mélangé donc à l'alcool) Et on va dire que j'etais telement démolis que c'etait ça qui me faisait tenir. J'ai essayé de me faire suivre par un csapa, suivit qui n'a pas fonctionné. J'ai rencontré un psy en urgence y'a 1mois de cela, qui m'a prescrit de l'Aotal, Xanax et theralène, traitement qui fonctionne relativement bien, j'arrive à passer une semaine sans boire mais dès que la limite est atteinte, je bois comme un trou et quand je suis bourré, je sens qu'il me manque un truc, le bzd.
Depuis ce traitement, je fais très attention à mes prises de xanax (sauf quand je bois), j'essaye de mettre la culpabilité de coté quand je me reveille d'une soirée session comme hier soir (J'me souvenais vaguement d'avoir poster un truc ici x) ). Si je devais relativiser les choses, je dirai que j'adore tout ce qui peut être downers, il m'est arrivé de melanger alcool, plusieurs types de benzo le tout arrosé de codo' (Dieu merci j'ai plus ce pbm sur le dos depuis l'interdiction
). Je suis arrivé à un point ou je sens que le sevrage va réussir, si je suis entouré mais les rechutes sont tellement violentes que j'avais besoin de lacher un peu tout ce que j'ai dans la tete histoire de souffler.
Je suis à un point charnière de mon existence, ou ma petite bulle a été percée et je me retrouve face à tout ça, c'est pas très simple mais je suis sur le bon chemin, j'ai fais quasiment tout mes précédents sevrages sans aides (ni médicale, ni médicamenteuses), et depuis queques temps j'ai réellement compris que si je continue comme ça c'est pas l'hosto qui m'attends mais une jolie petite tombe fleurie. Entre envie et réalité il y a un faussé
Merci d'avoir pris le temps de me répondre, et de me lire !
suite à un gros soucis familial. En octobre dernier je tournais à quelques litres de bières par soir tout les jours les ainsi que de grosses doses de tranxenes toute la journée ainsi que qu'en soirée (mélangé donc à l'alcool) Et on va dire que j'etais telement démolis que c'etait ça qui me faisait tenir. J'ai essayé de me faire suivre par un csapa, suivit qui n'a pas fonctionné. J'ai rencontré un psy en urgence y'a 1mois de cela, qui m'a prescrit de l'Aotal, Xanax et theralène, traitement qui fonctionne relativement bien, j'arrive à passer une semaine sans boire mais dès que la limite est atteinte, je bois comme un trou et quand je suis bourré, je sens qu'il me manque un truc, le bzd.
Depuis ce traitement, je fais très attention à mes prises de xanax (sauf quand je bois), j'essaye de mettre la culpabilité de coté quand je me reveille d'une soirée session comme hier soir (J'me souvenais vaguement d'avoir poster un truc ici x) ). Si je devais relativiser les choses, je dirai que j'adore tout ce qui peut être downers, il m'est arrivé de melanger alcool, plusieurs types de benzo le tout arrosé de codo' (Dieu merci j'ai plus ce pbm sur le dos depuis l'interdiction
). Je suis arrivé à un point ou je sens que le sevrage va réussir, si je suis entouré mais les rechutes sont tellement violentes que j'avais besoin de lacher un peu tout ce que j'ai dans la tete histoire de souffler. Je suis à un point charnière de mon existence, ou ma petite bulle a été percée et je me retrouve face à tout ça, c'est pas très simple mais je suis sur le bon chemin, j'ai fais quasiment tout mes précédents sevrages sans aides (ni médicale, ni médicamenteuses), et depuis queques temps j'ai réellement compris que si je continue comme ça c'est pas l'hosto qui m'attends mais une jolie petite tombe fleurie. Entre envie et réalité il y a un faussé
Merci d'avoir pris le temps de me répondre, et de me lire !