[quote=Sista Morphine]C'est quoi autoshop ? Tu m'intéresses... :)[/quote]
Tu n'es pas la seule ! Je ne sais plus du tout où je dois me fournir...

Ça fait un moment que je n'ai plus consommé. :(

Salut, les amis !

Voilà quelque temps que je n'étais plus revenue en ces lieux.

J'ai une petite question. Depuis plusieurs mois, je m'attelle à la rédaction d'un roman. Hélas, pour l'heure, c'est la page blanche, je ne sais plus comment avancer.

L'un de mes amis m'a dit que si je sniffais un peu de cocaïne, l'inspiration reviendrait très vite. A-t-il tort ou a-t-il raison ?

Parce que j'en connais des gens qui prennent de la cocaïne et ça n'en fait pas des génies pour autant !

Mais mon ami me certifie que comme j'ai un don d'écriture à la base, ça ne pourrait que m'aider à réamorcer le processus.

Qu'en pensez-vous ?

Et combien dois-je en prendre ?

Merci de m'avoir lue et merci d'avance pour vos réponses.

Ah oui, c'est embêtant... Que te dire sinon que tu as idéalisé l'acte sexuel sous stupéfiants. Tu as aimé ça et du coup, tu ne peux plus t'en passer. La question que je me pose, c'est comment se passaient tes rapports sexuels avant la prise de drogues ?
Prendre de la drogue est une pratique répandue appelée "chemsex", dans laquelle sont privilégiés l’alcool, le cannabis, mais aussi la MDMA et la cocaïne. C'est une pratique courante donc tu n'es pas seul.

Peut-être devrais-tu espacer tes prises ?

Contraction des termes anglais "chemical" et "sex", le chemsex consiste à consommer des drogues lors d’un rapport sexuel pour améliorer l’expérience et augmenter le plaisir (j'en connais un qui pratique beaucoup, n'est-ce pas Boots ? ;)).

Le risque c'est que trop défoncé tu ne te protèges pas et que tu zappes les préservatifs si tu cumules les partenaires.

De plus, le chemsex présente aussi les mêmes risques que toute consommation de drogues, dont l’overdose, les crises d’angoisse, convul …

Quand on sait que la durée maximale de prescription du Zolpidem est de 4 semaines, j'ai du mal à comprendre ce comportement frénétique de certains médecins qui rédigent des ordonnances de ce médicament au-delà d'un mois. S'il est aujourd'hui considéré comme stupéfiant ce n'est pas pour rien. Le Zolpidem reste inscrit sur la liste I des substances vénéneuses.

Au début, on en prend un, puis, le temps passant, voyant qu'un seul cachet ne fait plus d'effet, on multiplie par deux la dose et ainsi de suite. De plus, on sait que cette molécule ne fonctionne pas pareil sur tout le monde. Il y a certains que ça endort, d'autres que ça rend euphorique. Et encore, tout dépend de la dose prise. Je connais plein de gens qui sont tombés dans la dépendance du Zolpidem. Beaucoup le mélange à l'alcool pour potentialiser les effets.

J'ai personnellement été addict au Zolpidem il y a quelques années. Parce qu'il me détendait d'abord, parce qu'il me faisait voir la vie en rose ensuite. Je ne saurais d …

L'idée est géniale ! On n'a plus les terribles flashes, une fois réveillée. C'est un bon moyen de se protéger.

Personnellement, j'ai abandonné l'idée d'aller en soirée depuis belle lurette. Je préfère les atmosphères chaleureuses entre amis. Un cercle de gens que je connais en fin de compte...

Bonjour tout le monde. :)

Il y a quelque temps, j'ai commandé sur le deepweb deux grammes de "Gelato kush strain USA" (je cite directement la référence) Je ne sais pas exactement à quoi ça correspond mais je n'ignore pas que la variété est plus indica que sativa.

Il se trouve que j'ai une préférence pour les drogues sédatives.

Avant, pour dormir, je prenais de la "Zkittlez (Indica AAAAAA+++)". Inutile de dire qu'avec ça, je tombais quasi tout de suite dans les bras de Morphée avec, quand même, une légère angoisse avant de me glisser sous les draps. Je ne sais pas pourquoi mais avant de dormir très profondément, je m'endors avec une petite parano mais ça ne m'empêche pas de me reposer tout de suite après et de faire de beaux rêves. Cette petite crise de paranoïa s'exprime par le fait que j'ai le sentiment qu'on me prépare un mauvais coup, que des gens hauts placés vont me nuire en me traînant dans la boue, qu'il y a des monstres sous le lit. Mais cette impression désagréable reste …

Saut, Serrah !

Merci pour ta participation, tu es adorable.

Je crois que tu m'as plutôt bien cernée. Je ne suis pas du tout dans la RDR.

En fait, j'envie celles et ceux qui ont de l'autodiscipline (je 'en ai pas beaucoup personnellement).

Dernièrement, j'ai chopé une méga infection urinaire, je ne sais as si c'est lié. C'est fort possible.

Bootspoppers, il est rassurant de savoir qu'on n'est pas un cas isolé !

Rick, tu as raison. Je vais dorénavant grandement espacer les prises. De toute façon, pour l'heure, c'est sevrage forcé.

J'ai commencé la kétamine il y a quelques mois.

J'ai adoré me perdre dans cette vague douce, cet univers parallèle où je me "dédoublais".

C'est une drogue bon marché. Et, le temps passant, j'ai aimé poster sur ce forum mes expériences en sa compagnie.

Le problème est qu'aujourd'hui, j'ai développé une vraie dépendance. Je ne peux plus payer ma consommation parce que j'attends mon salaire qui ne me sera versé qu'après-demain et je pense aussi au nombre de jours - 10 en l'occurrence - que je dois attendre pour que je reçoive la marchandise entre les quelque 24 heures qu'il faut à mon dealer pour préparer mon colis, me l'envoyer, le tout en comptant les délais postaux.

Il se trouve que tous ces éléments me découragent d'emblée. Je suis en manque parce que j'y pense tout le temps. Je crois que j'aime trop être défoncée. C'est malheureux à dire mais ça me permet de combler les heures vides, celles où je ne suis pas occupée et celles aussi où je suis trop angoissée.

Avec le recul, je …

Merci beaucoup, DramaDol. Je suis sensible à ton témoignage de soutien et par le fait que tu aies apprécié mon texte. Vraiment.

:merci:

[quote=Meumeuh]Merci , pour ce TR j'ai bien aimer comment tu l'a retranscrit !
Sinon en effet une balance de précision 0.001g serait bienvenue ;)[/quote]
Absolument !

Quelle idée, me diriez-vous de poster alors qu'on est sous l'empire d'une drogue...

Concentration maximale. J'ai [i]Stressed Out[/i] des Twenty One Pilots à fond dans les oreilles.

Et voilà que j'enchaîne maintenant avec [i]November[/i] de Max Richter.

Ça me berce. Je pleure.

C'est une expérience extraordinaire que je suis en train de vivre. C'est formidable.

Tout me paraît si calme (heureusement qu'il existe le correcteur d'orthographe d'autant que je tape à deux à l'heure). Mes soucis se sont envolés. Je me concentre sur ce que je ressens ici et maintenant.

Je me sens bien, apaisée.

Ça alors, les bruits sont amplifiés... Mais comment expliquer ce qui m'arrive ? J'ai le sentiment d'être plus forte. De tout entendre, de tout comprendre. Je vais appeler une amie dépressive dont je n'ai plus de nouvelles depuis quinze jours. Je vais lui dire ce qu'il faut pour guérir. Définitivement.
Je vais trouver les bons mots, ils agiront tels des globules blancs en guerre contre les vilain …

J'ai adoré tous les sons que vous avez postés ici. C'est vrai, je pensais davantage à la regrettée Cesaria Evora mais grâce à vous, je construis toujours un peu plus ma culture musicale.

Dans un tout autre genre, il y a aussi la [i]Saudade[/i] d'Étienne Daho.

Lena, ton intervention m'a beaucoup touchée.

À Mister No : je n'ai pas encore testé la morphine. j'attends ma commande. Dès réception, je te dirai comment ça s'est passé. Mais, grâce à tes enseignements sur une autre partie du forum, je serai très prudente.

:)

Merci, Cusco. :)

On est super bien reçu ici ! J'ai très envie de consulter en long et en large tout le fonctionnement du site parce que je pense m'installer ici pendant un moment.

Bonjour à toutes et à tous !

Je suis Bettina. Accro principalement aux anxiolytiques. Depuis très longtemps, j'ai des problèmes d'endormissement et je cumule les nuits blanches.

En fait, c'est depuis que toute petite, mon beau-père venait la nuit dans ma chambre.

Aujourd'hui, je suis une grande fille mais ça laisse des séquelles.

J'aime planer, sortir d'une réalité qui parfois me semble bien sombre.

J'ai testé l'héroïne, le cannabis et la MDMA.

Mais ça ne s'est pas bien passé pour la bonne et simple raison que j'avais pris de la MDMA alors que j'étais sous antidépresseur. J'ai vomi, je ne dormais plus, c'était l'enfer. Pour retrouver un semblant de sommeil, j'ai tenté une décoction d'indica mais, par peur que ça sente trop dans la maison vu que je ne vis pas seule, j'ai fait n'importe quoi : j'ai fini par avaler des morceaux. Bref, j'ai été complètement à côté de la plaque et désespérée. Je me suis littéralement étouffée. J'ai réveillé mon conjoint pour qu'il m'amène aux urgences …