Oui un médecin généraliste peut prescrire un tso à base de buprenorphine. Il n'y a pas de raison qu'on l'hospitalise si tu vas en CSAPA, surtout si tu n'es pas d'accord et que tu es correctement inséré dans la société avec un travail ect... le csapa est à même de prescrire un tso et d'en assurer le suivi ensuite sans passer par la case hôpital. Par contre selon les endroits parfois il faut au moins 1 rdv avant de commencer a prescrire un tso, mais apres ca depend des centres, il y en a qui prescrive direct, ça dépend,

Je te conseil fortement de te renseigner auprès de l'ambassade du pays.

Sur le site de l'organe international de contrôle des stupéfiants (https://www.incb.org/incb/en/travellers/country-regulations.html) qui reprend pays par pays les règles, il est écrit pour les medicament stupéfiant que c'est autorisé pour 28 jours, seulement en bas de page c'est écrit :


"Dans tous les cas, les prescriptions doivent être conformes à la législation tunisienne en vigueur. L'autorisation est donnée à condition que le voyageur ne soit pas un toxicomane ni un traitement de substitution"

Alors si le propofol ça peut brûler, selon les personnes, la veine utilisée et son calibre, la préparation du medicament (il y en a qui mélange propofol + lidocaine) ça brûlera plus ou moins voir pas du tout.

Moi perso dans mon histoire anesthesique une fois le propofol m'a brûlé tout le long du trajet de la veine. Toutes les autres fois je n'ai rien senti, avec du propofol. Il n'y a pas de généralité pour certain ça fait mal à cause du passage extravasculaire du produit et pour d'autre ça fait rien.

La prochaine fois à la rigueur précise au médecin ou à l'IADE, il ajoutera peut être un peu de lidocaine au mélange.

Le propofol transparent ça existe, même si en France on en trouve plus avec les formes sur le marché si je ne me trompe pas, tout comme l'etomidate transparent qui n'est pas sous forme d'emulsion, ça existe aussi ! Je crois d'ailleurs que la forme lipurio est censée diminuer la douleur à l'injection...

Et je voulais aussi ajouter que la methadone lors d'une AG ne pose …

Alors là c'est une très bonne question, et je pense que la réponse la plus adaptée est : ça sera compliqué (l'analgesie) ! Il faudra adopter des techniques d'analgesie multimodale, donc associer des anti inflammatoires à d'autres molécules non opioïdes puisqu'elle ne pourront pas se fixer sur les recepteurs à cause de la buprénorphine.

Après en cas de douleur très aigue avec prise en charge hospitalière il y a la ketamine qui peut être utiliser pour la douleur également

C'est toi qui a introduit l'orientation sexuelle dans le débat qui a la base n'a pas à voir avec la sexualité des gens.

Et je pense un minimum que pour bien comprendre ce que peuvent vivre certaines catégories de personnes, il faut tout simplement commencer par vivre cette situation.

Alors stp tu me fais vraiment rire en disant "mais je connais des hetero qui on eu des relation homo car on leurs a conseiller d'essayer pour pas mourrir "con"  donc la victimisations sa marche plus  pour moi dsl je suis parisien."
Parce que tu connais des hétéros qui ont eu des expériences l'homophobie n'existe plus, la discrimination non plus ! Bah nan regarde il y a des mecs hétéro qui ont fait du sexe avec des mecs ! Lol !! Ils avaient juste une envie en eux c'est tout, tu vas pas faire une généralité de ton exemple c'est une grosse blague !

Je vie en région parisienne ouais et pourtant je suis victime d'homophobie dans la rue, et c'est pas écrit sur mon front que je suis gay, je ne le hurle pas …

Le problème de l'eau ppi seule en grande quantité avant la natremie ça sera surtout l'hemolyse qui posera problème ! Pour les solutés de remplissage volontairement hypotonique pour certaine pathologie c'est différent, l'osmolarité étant contrôlé et à un niveau qui n'entrainera pas de problème d'hemolyse contrairement à l'eau ppi qui est à 0 normalement, contrairement au plasma qui est autour de 280-300 mOsmol/L (308 pour le NaCl 0,9)

Par contre le sérum physiologique injectable n'est plus en vente libre en pharmacie ! Depuis 2018 il est soumis à prescription obligatoire, il faut donc une ordonnance. C'est une modification au niveau européen, qui considère que l'administration d'un medicament par voie parenterale doit être soumise à prescription médicale obligatoire.

Une fois la durée d'action fini au lieu de prendre un nouveau comprimé de tramadol c'est possible de prendre à la place de la codeine oui. Il n'y a pas d'interaction entre les 2 molécules, mais comme elles agissent au même endroit le risque de prendre les 2 en même temps c'est la surdose.

Je ne dis pas va y fait le (sous forme de conseil médical) mais les 2 molecules sont plutôt équivalente (1/6 de la morphine pour la codeine et 1/5 pour le tramadol) donc l'une peut remplacer l'autre (je ne donne pas de conseil medical en sommes)

C'est des idées reçues, la dépendance au tramadol n'est pas forcément "moins pire" que celle à la methadone. Par contre la méthadone permet de se stabiliser, de reprendre un rythme de vie normal, sain, et ensuite d'entamer une diminution très progressive qui se passe en général très bien et sans douleur si c'est fait dans les règles de l'art.

L'ixprim à la rigueur c'est bien quand le sevrage est avancé et que les doses prises sont inférieur à 50mg par prise. Mais avant ça c'est juste se bourrer de paracetamol inutilement.

Le tramadol n'est pas un AINS, c'est un antalgique de palier 2 au meme titre que la codéine, l'association de poudre d'opium et de paracetamol ou de dihydrocodeine. Les AINS c'est des anti inflamatoire non steroidien comme le ketoprofene ou ibuprofene et autre.

Les endorphines c'est bien mais chez une personne dépendante, qui essaye de se sevrer c'est bien peu... C'est pas suffisant face à un syndrome de manque.. Penser a autre chose, faire autre chose c'est bie …

Est ce que la mise en place d'un traitement de substitution pendant un moment, le temps que tu puisses te remettre en forme, de profiter des effets bénéfiques sur le corps et l'esprit avant de commencer un sevrage dégressif en étant encadrée ensuite ?

Quoi qu'il en soit tu as besoin d'un professionnel, rapproche toi d'un CSAPA, d'un addictologue de ville, ou dun service d'addictologie dans les CHU pour pouvoir être aidée dans ta démarche.

[quote=LeDoc86]MONNNN DIEUUUU 7.2 grammes de paracétamol dans le foie tout les jours ! tu est une miraculée !!
Je te conseilles tres tres fortement de vite trouvée un tso ou passer au Dicodin car la tes et tu te met en danger chaque jours , tu est a la dose léthal fois 3 !! STOP VITE
empathique que je suis jai peur !!! SILTOPLE va vite en parler a un doc faire des prisent de sangs pour voir ton fois .
ces pas la CODEINES la le problèmes les dose léthal de paracétamol que tu mange !! WOUUAAAA !!!! pitier je suis alarmer va vite faire une prise …

Moi c'est le propofol, j'avais 10 ans mais je ne savais absolument pas ce que c'était, ensuite vers 14 ans quand les chirurgies se sont enchaînées, que j'ai reçu de façon assez récurrente le combo d'indication sufenta + propofol ça m'a encore plus marqué, qu'est ce que c'était agréable ce moment où on sent le medicament qui remonte du bas du corps en passant par les poumons avant de sombrer dans ce sommeil artificiel...

Encore une fois je ne serai pas surpris des résultats de cette études si c'était bien confirmé après étude plus poussée

[quote=iglou]oui c'est vrai, ducoup il ne faudrait pas s'en servir à chaque fois mais occasionnellemnt seulemnt.

Je suis totalement d'accord avec toi, je ne prend pas du tramadol pour durer au lit mais quand j'en prend et que je couche c'est toujours chiant je trouve.

Ma partenaire pensait que c'etait de sa faute si je n'éjaculais pas...

Bref ça peut être une solution mais que temporaire et pas systématiquement.

Bisous :smak:[/quote]
Exactement si la personne avec qui tu as une relation ne sait pas que ce médicament allonge énormément la durée avant éjaculation elle peut penser que c'est de sa faute, qu'elle n'est pas désirables, que c'est nul ou autre !

J'avais ce problème avec le fentanyl transmuqueux, si j'avais une relation sexuelle dans la période où l'effet était encore important je pouvais être super excité c'était difficile de parvenir à l'ejaculation voir c'était pas possible. Au point de finir parfois avec des "bobo-irritations" sur la verge... Je trouve ça vraiment n …

Pour ma part quand mon traitement à vraiment dégénéré, ne pouvant plus gérer tellement j'avais besoin d'en prendre ect, ça m'a conduit à devoir arrêter mes études de médecine car c'était plus gérable, ma vie était une dictature des opiacés.

Depuis que je prends de la methadone j'ai vraiment retrouvé une vie normale oui ! Je reprends mes études, j'ai retrouvé la force physique, psychologique pour conduire ma vie normalement, enfin ! Donc je réponds pour moi oui ça permet de retrouver une vie normale, après chaque personne réagit à sa façon avec les traitements mais globalement de ne pas devoir prendre toute la journée du produit pour être bien et pouvoir "fonctionner" ça permet déjà d'avoir une bien meilleure qualité de vie.

Il ne faut pas oublier non plus que si le tramadol (et d'autres opiacés) retardent l'ejaculation, une fois que la dépendance s'installe, à l'arrêt ça sera vraiment tout l'inverse qui va se produire.

Et je trouve que de tenir "à l'infini" ou presque, ça fini par devenir fatiguant, voir frustrant (en plus du risque de se "blesser"...)

Il ne faut pas se laisser abattre et sombrer dans la déprime, c'est quelque chose de difficile à vivre mais il faut se dire que ça va aller mieux petit à petit avec le temps.

Comme dit plus haut, les opiacés entraînent aussi l'ejaculation précoce lors du sevrage (et le contraire quand on les prends, les pires pour moi niveau prolongation (voir impossibilité d'ejaculer) sont le tramadol et le fentanyl, avec les autres opiacés j'ai pas de problème), donc j'ai eu l'occasion d'être confronté à cette situation et c'est vrai que c'est super frustrant, autant pour soi que pour son partenaire.

Mais tu n'as pas qu'un neurone dans ton cerveau donc il faut laisser le temps qu'il retrouve un fonctionnement normal, une sécrétion de neurotransmetteurs normale, et aussi que des nouvelles connexions s'établissent. Ça prend du temps surtout que les antidépresseurs restent longtemps dans l'organisme en général surtout après une longue prise.

Donc je pense qu'il faut pas que tu te tracasses trop ave …

Peut être au niveau de la lubrification de l'aiguille par contre