Salut,
J'ai un pote qui fait ça aussi. Je sais pas trop pourquoi (et je pense que lui non plus, enfin faudrait que je lui demande explicitement), mais en tout cas tu n'es pas le seul .
Par contre j'ai pas trop d'astuces ou autre à te proposer pour moins fumer... :(
Si tu vapotais un peu, ça ferait quoi?
T'inquiète, c'est pas à chier comme question ! :)
Bye
la manip est mieux expliquée ici : https://www.psychoactif.org/documents/Mode_emploi_flyer_toupie.pdf
Salut,
Il me semble que c'est possible d'essayer de la déboucher en "repoussant" le produit tout en appuyant délicatement ta toupie sur le fond de la cup (pour faire comme une petite surpression à l'intérieur), puis en la soulevant délicatement.
Et de refiltrer à travers un coton pour éviter effectivement que de trop grosses particules viennent la boucher
Salut,
Concernant l'ingestion de cannabis, je ne suis pas suffisamment calé sur la question pour t'aiguiller de façon pertinente. En revanche, si ce qui te pose problème c'est le fait de le fumer, de rouler un joint, et surtout de consommer du tabac avec (très pertinent de ta part de souhaiter d'éviter de dériver vers une consommation de tabac, franchement, si tu peux te l'éviter, je ne peux que te le conseiller...), et bien il y a un autre moyen que l'ingestion qui permet d'éviter ces désagréments : la vaporisation.
Tu trouveras tout plein d'infos sur le forum sur la vaporisation si cela t'intéresse.
Selon moi, les avantages que cela peut représenter par rapport à l'ingestion : une préparation plus rapide et simple (pas de cuisine à faire), et une meilleure gestion des effets que tu recherches : en effet, ils arriveront très rapidement, en quelques minutes voire plus vite. Alors qu'en ingérant, les effets arrivent bien plus tard, c'est donc plus difficile selon moi de bien doser …
[quote=Zénon]Entre autres, je me suis procuré Écrits Stupéfiants de Cécile Guilbert dans la bonne vieille collection Bouquin. Bien fait, une anthologie de textes littéraires sur la drogue allant de l’antiquité à nos jours.[/quote]
J'ai récupéré ce bouquin tout récemment, je le trouve hyper intéressant ! A travers tout un tas d'extraits, de textes plus ou moins anciens (de l'antiquité à nos jours), c'est un sacré témoignage de la place qu'ont pu avoir les produits dans différentes sociétés !
Salut,
Plutôt que ce soit à toi de faire la démarche vers une CJC, c'est peut-être plutôt à vous deux de faire une démarche pour faire bouger qqch dans votre relation de couple...
Le cannabis ne semble pas un problème en soi, c'est plutôt elle qui semble avoir un problème avec le cannabis; Et essayer de comprendre ensemble ce qu'il y a derrière ça, le fait que ce soit insupportable pour elle, ça pourrait ptetr aider à débloquer un peu les choses....
M'enfin dans tous les cas jte souhaite également bon courage...
peace
Bonjour,
Peux-tu contextualiser un peu ta demande? De quoi s'agit-il exactement?
Quelle commission médicale? Avis favorable pour.......?
a+!
Bonjour,
Est-ce que vous avez des éléments un peu plus précis sur la provenance de ces beuh : majoritairement achetées en ligne, ou est-ce qu'elles proviennent de voies plus "classiques"?
En tous cas merci beaucoup pour le partage d'info
[quote=prescripteur]Bonjour, je pense que tu peux un peu tâter le terrain au début de l'entretien mais s'il joue la confiance je crois que tu as interet à la jouer aussi.
Amicalement[/quote]
+1
N'hésite pas à nous dire comment ça s'est passé !
bon courage à toi également!
même s'il semble que tu as encore quelques petits points à checker, tu as l'air dans une bonne dynamique, c'est cool
garde la pêche!
a+
salut
en tant que patient(e), il est primordial de pouvoir être à l'aise avec son médecin (pas que addictologue!). La relation addictologue/patient ne doit pas être à sens unique, on te dit quoi faire et tu dois faire. Tu as tout à fait le droit de chercher à rencontrer un autre médecin, les choses doivent se passer dans la mesure du possible à ton rythme, en fonction de tes ressentis, douleurs, envies, capacités, etc.
En aucun cas tu ne dois te sentir comme un gamin qui fait une bêtise ou autre. C'est plutôt révélateur que l'accompagnement et que cette prescription quelque part ne sont pas adaptés.
Selon moi, il ne faut pas relativiser en se comparant à des situations bien pires et plus horribles... Bien sûr, il y a toujours "pire" ailleurs... Mais peu importe, tout le monde a droit à une prise en charge de qualité, respectueuse et bienveillante. C'est fondamental
Pour ma part, je pense qu'il ne serait pas inintéressant que tu puisses rencontrer un autre médecin et avoir son avis/p …
non je vois pas.... :lol:
c'était du second degré
c'est une ineptie de parler de drogue dure ou douce
parler des conséquences somatiques liées à un produit aussi. Un même produit peut avoir un impact sur le corps radicalement différent selon le mode de consommation.
Et puis, de toute façon, tout ça reste une vision toujours médico-centrée, toujours notre bonne vieille culture de la "dangerosité", vue à travers le prisme de la loi notamment, ou du "potentiel addictogène",...
Et les gens dans tout ça...?
[quote=buakaw34]bonjour les amis je voulais savoir comment se passe les journées pour ceux qui consomme des drogues dures?[b[/b][/quote]
salut
c'est quoi une "drogue dure"?..........
[quote=Agartha][quote=speedy76]le confinement se fait dans notre contexte de vie quotidien[/quote]
Justement je suis pas trop d'accord là-dessus^^ A mon avis, le confinement, c'est pas un contexte de vie quotidienne du tout, tout est chamboulé pour beaucoup de personnes, mais plus une "parenthèse" comme tu le dis bien[/quote]
Je voulais dire que dans la majeure partie des cas, on est dans notre logement classique, notre cuisine, notre chambre ,etc
bien sûr que le reste est chamboulé, mais tu n'es pas à l'autre bout de la planète...! =)
Salut,
Perso je trouve le parallèle un peu tiré par les cheveux...
:thinking:
En ce qui concerne les GI, le moment de la guerre a plus été une "vraie" parenthèse : un contexte complètement différent, et un retour chez eux "comme avant"
En ce qui nous concerne, le confinement se fait dans notre contexte de vie quotidien, notre lieu de vie de tous les jours, et je ne suis pas sûr que l'après confinement soit "comme avant" (d'un point de vue économique, etc)
D'ac,
je ne connais pas le cadre de prescription de la substitution pour les mineurs, je laisse le soin à d'autres personnes de te faire une réponse précise
Non, mais comme je te dis, attends de voir, tous les CSAPA ne fonctionnent pas pareil. S'il faut, ça pourra aller assez vite.
Tu peux aussi les appeler pour leur demander comment ça se passe, ils doivent pouvoir informer les usagers sur leurs modalités de fonctionnement.
Salut,
Ben ça dépend un peu des CSAPA, et surtout vu la période, ils doivent avoir un peu changé leur fonctionnement...
Mais déjà ça dépend de ce que toi tu vises en faisant cette démarche : être substitué(e), ou peut-être que tu as pris ce rdv pour autre chose?
Mais de manière générale, pour une primo prescription de TSO, il y a quelques rdvs, avec psy ou travailleur social, infirmière parfois et enfin médecin. Qui évalue et décide (plus ou moins avec toi...) quel traitement et quel dosage il peut te proposer. Il y a en général une sorte de protocole comme ça à suivre, qui est plus ou moins facilitant selon les structures.
Déjà, si tu as un rdv physique, c'est qu'ils continuent à accueillir du public, car je crois que beaucoup ont fermé leurs portes et fonctionnent à distance, et tous ne proposent pas d'initialisation TSO...
Yeah, garde la pêche !
bye
Salut,
c'est clair que le contexte actuel n'aide pas...
Si je peux me permettre, il ne faut pas que tu culpabilises trop. On se retrouve tous , sans avoir rien demandé, dans une situation hyper particulière. C'est normal qu'il y ait des répercussions sur comment on se sent, nos consos, nos humeurs, nos envies, etc. Et ça, pour moi, on n'en est pas directement responsable. A nous à nous adapter au mieux au quotidien dans cette situation qui nous tombe dessus.
Donc faut pas oublier de recontextualiser le truc. Et quand tu parles de rechute, perso je suis pas fan du terme, c'est quand même connoté assez péjoratif, échec, etc. Dis-toi peut-être plutôt que c'est un écart du trajet que tu avais prévu initialement, mais que y a rien d'irréversible, et que tu vas pouvoir progressivement revenir sur la trajectoire que tu visais (ce que tu as déjà commencé à faire!!). Garde la motiv' sur tes projets, tes objectifs, bientôt tu pourras t'y remettre !
bon courage à toi, bye …
:corde:
Espérons qu'il revienne sur sa décision, et que l'envie ne prenne pas d'autres départements....:/
Salut,
Je pense que ça dépend bcp de la relation que chacun peut avoir avec son toubib, et de la "sensibilité" des médecins à ces questions.
A mon avis, si c'est un médecin qui te connaît bien, en qui tu as confiance, etc, il sera plus à même d'entendre tes besoins
Et par ailleurs, je pense que de passer de produits achetés illégalement comme tu le dis, à un traitement "légal", plus dans la continuité, régularité, etc, peut effectivement contribuer à une meilleure stabilité, et une situation plus confortable pour toi. Mais ça, c'est toi qui peux le savoir le mieux ! :)
Bon courage à plus
Et donc en toute logique, ceux qui n'y arrivent pas, c'est qu'en fait ils n'en ont pas vraiment envie, au fond...:drinks:
CQFD? :thinking:
Salut!
Perso moi ça ne m'est jamais arrivé sur ce format, c'est à dire avec des répercussions aussi longtemps après.
J'ai fait quelques bad trip en fumant des joints. A chaque fois j'arrêtais de consommer quelques temps (sans trop de mal d'ailleurs, alors que je fumais quotidiennement), jusqu'à un moment où il y avait un déclic, j'en avais envie et je reprenais ma conso avec plaisir, mais tout en douceur
Je sais que, pour ma part, le contexte dans lequel je consomme et mon état d'esprit du moment joue beaucoup.
Mais donc comme je te disais, j'ai jamais continué à stresser ou paniquer longtemps après. Mais je me dis que si un bad est vraiment hyper fort et flippant, ça doit parfois laisser quelques traces, c'est pas si anodin. Peut-être qu'effectivement en discuter avec un(e) psy ça peut aider à décortiquer le truc et le soulager un peu.
Peut-être que d'autres personnes pourront témoigner et t'aiguiller?
Bon courage! …
AA ou CSAPA...
Pourquoi l'un ou l'autre, les deux ne peuvent pas être complémentaires? A voir selon ce que toi tu recherches comme forme de soutien.
A ma connaissance, les AA sont plutôt sur un versant hygieniste, c'est à dire que la solution c'est zéro alcool
En CSAPA, moins (selon la structure sur laquelle tu tombes.........)
déjà, envisager de ne pas rester seul avec cette question est un premier grand pas
bon courage à toi
Salut, et merci beaucoup pour vos réponses!
[quote=psychodi]mais sur la question du cannabis, c'est encore autre chose parce qu'il y a l'aspect légal qui entre en jeu : aucune structure institutionnelle nationale ne peut dire "prenez du CBD en cas de manque" car ça serait inciter à la conso (de cannabis) et c'est interdit...[/quote]
Psychodi, dans un sens je te comprends, effectivement ça semble compliqué pour une institution comme celle ci "d'inciter à la consommation", la marge de manoeuvre est délicate.
Mais d'un autre côté, je me dis que s'il y a bien une occasion de mettre en avant les paradoxes de la législation, c'est bien la situation actuelle. Et, sans plaider en la faveur de la consommation de cannabis, je pense qu'il aurait été possible de ne pas traiter la question qu'à travers le prisme de l'abstinence, mais plutôt réfléchir à la qualité de vie, aux choix de vie des personnes (petite parenthèse, sur les risques, la liste évoquée est longue, notamment risques respiratoir …
Je rebondis dans cette discussion avec ça : https://www.federationaddiction.fr/app/uploads/2020/03/note-appui-cannabis_CoVID-19.pdf
En galère de weed vu la situation, je passe pas mal de temps sur le web, à voir un peu tout ce qui se dit sur la question
Je voulais avoir votre avis sur cette note, car franchement, moi j'ai halluciné de leur position "professionnelle"
Ma route a croisé parfois des professionnels de CSAPA et de CAARUD, mais j'ai jamais ressenti une position comme ça, là je trouve qu'on est sur un truc assez dingue, que "finalement, les personnes qui n'ont plus accès au cannabis, ça n'est pas si grave. On en meurt pas, ça va passer. Et puis surtout, il faut profiter du fait de ne plus avoir de produit pour voir qu'en fait, la vie n'est pas si mal sans cannabis, non? C'est peut-être l'occasion d'arrêter? Ca ne ferait pas de mal, il y a de réels bénéfices à l'arrêt...!".
Un truc où on te dit ce qui est bon pour toi, pour moi ça va complètement à l'encontre d'une approche …
moi pour les clopes je me suis fait prescrire des patchs, c'est pas le top mais au moins ça me permet de pas trop faire flamber ma conso de tabac, moi ça m'aide à me limiter un peu
et pour la weed j'ai commandé du cbd, c'est clair que ça n'a rien à voir mais pareil, avec ça je limite la casse, j'alterne un peu de beuh un peu de cbd pour faire durer les stocks...je fais au mieux, mais c'est pas l'idéal..
[quote=plotchiplocth][quote=Phytopower]Oui le kratom est toujours légal[/quote]
pas en France!
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000039726774&categorieLien=id
lien vers le texte de loi d'interdiction au 01/01/2020 en France[/quote]
Ah ouais il me semblait bien en avoir entendu parler...
Ca change tous nos repères et habitudes, donc forcément ça déstabilise je trouve, on se retoruve malgré nous dans un contexte qu'on a pas choisi et qui nous convient pas, alors forcément je réadapte ma vie de tous les jours et donc les consos qui vont avec...sans parler de rechute, je dirais plutôt "réadaptation"