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Le blog de Morefreedom » Après la fête, une addition salée » 10 avril 2024 à  07:31

Meditation ca veut tout et rien dire, peut etre il faut que je definisse ce que j'entendais par la. Pour moi c'est des multiples retraites de 10 jours a 10h par jours, et en rentrant dans la vie normale, 1 a 2h quotidien. Et la pratique te supporte alors, mais il faut lui sacrifier du temps, de l'energie et de l'effort avant d'avoir les fruits concrets qui peuvent lutter contre une addiction par exemple. Mais effectivement ce n'est pas la solution a tous les maux et ca a ses limites. Et dans une addiction active, avec des consos toujours presentes, la pratique prend pas vraiment de l'ampleur.

Le blog de Morefreedom » Après la fête, une addition salée » 08 avril 2024 à  08:08

Super bien ecrit. Difficile situation. Merci pour le partage et plein de courage pour la reconstruction. Pas vraiment de conseils a donner, mais la meditation est reconnue comme ayant un impact modulateur positif sur le systeme de recompense. Et c'est gratuit. Un moment ou tu apprends a ne plus rien etre pendant un certain temps: plus d'etiquettes, plus de dettes, plus rien, juste observer ce qui se deplie (emotions, souvenirs, pensees, rien que des mirages qui vont et viennent) au rythme de ton souffle. C'est tres liberateur. Force et honneur.

Le blog de Hash.07 » Est ce que c'est possible de développer une résistance trop forte ? » 30 janvier 2024 à  17:36

Oui, nous parlons de tolérance croisée, car l'alcool et les benzodiazépines (xanax, alprazolam et autres) agissent sur la même cible dans le corps, le récepteur GABAa, même s'ils favorisent son activation par des mécanismes différents. Le cannabis agit sur d'autres cibles, de sorte qu'il n'y a pas de tolérance croisée.

Le blog de DopeIsBeautiful » Article : Similitudes et différences entre la RdR et les dépendances de substitutions » 27 janvier 2024 à  06:48

Très intéressant Pierre, je le lirai avec intérêt. C'est aussi comme ça qu'on fait avec les opiacés, et c'est prouvé que ça marche ! Globalement, l'abus de substances et même les addictions comportementales ont un impact sur le cerveau à différents niveaux, selon l'intensité de la "maladie" (je le mets entre guillemets parce que c'est débattu ici). Les cas les plus graves de ce comportement, pour ainsi dire, ont des répercussions à long terme sur différents systèmes, dont le système cannabinoïde. Il est logique de traiter tous les aspects de la perturbation induite, s'il y en a une. A mon sens, il ne faut pas hésiter à utiliser le cannabis ou d'autres composés (traitements hormonaux ? antidépresseurs ?) si le rapport bénéfice/risque est favorable à l'individu.

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