Quels médicaments pour sevrage en hôpital ?

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Amarnath homme
Ni ceci Ni cela
Inscrit le 26 Jan 2014
1041 messages
Bonjour la compagnie,

J'ai rendez vous chez l'addictologue le 8 janvier.

J'aimerai voir avec lui une éventuelle hospitalisation pour un sevrage, alors que je suis à  une dose importante d'oxycodone.

Si cela peut se faire, à  votre connaissance, quels médicaments peuvent éviter la douleur intense du sevrage ?

Pour le moment un psychiatre m'a parlé du Diazepam (valium) en IM, ou Tercian, accompagnés de vitamino thérapie de type B et une importante hydratation.

Si l'addictologue ne le sent pas trop pour moi, peut-être que je reviendrai vers la méthadone, mais cette fois-ci en faisant l'induction à  l'hôpital, pour ne pas rater comme la première fois, où j'étais seul chez moi.

Voilà , à  l'avance, merci pour vos futurs conseils.

Amarnath

P.S : pas besoin de me décourager, cela ne servira pas ma cause, au contraire. Le conseil sur une consommation de cannabis est inutile, car cela ne me va plus, je ne peux plus fumer sans que je sois mal.

Et si tout ceci, n'était qu'une blague !

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blue pearl femme
Psycho junior
Inscrit le 24 Jun 2013
336 messages
Coucou
Pour vous dire bonne chance pour le 8 janvier moi j'ai rdv tout je vais moi aussi demander pour un sevrage à  l'hôpital ou une substitution après je peux pas vous aider plus désolé mais je tenais à  vous dire courage pour la suite salut

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majama femme
Adhérent PsychoACTIF
Inscrit le 12 Nov 2014
635 messages
Salut Amarnath,

Un petit message plein de gros encouragements pour cette nouvelle démarche ..
Je peux pas t'aider niveau conseil juste te dire que quand je suis passée de 8 à  2 mg de Sub pour calmer les impatientes et surtout pour pouvoir dormir mon doc ma prescrit du Seresta,c'est pourtant pas un somnifère mais niveau sommeil (pour le reste c'est une autre histoire) j'n'ai plus aucuns problèmes d’insomnies même quand je ne fais pas d’écarts et que je me tiens à  mes 2 mg sans rien dautre..

Ensuite sortir de son cadre en milieu hospitalier me parait une bonne idée pour s'en sortir radicalement je pense qu'il y a pas mieux (perso) et j'en passerai aussi par la si j'avais pas mes enfants.Le fait d'être entouré par de bons soignants( ce que je te souhaite) et couper cours avec son quotidien s'offrir la perception que la vie est possible sans tout ça et ou avec une approche différente c'est déjà  énorme et surtout très motivant pour la suite.

Après le mental compte énormément et un corps reposé et blindé en vitamine je pense que c'est le plus important pour réussir la ou tu le souhaites !!

Donnes des p'tites news si tu peux et surtout si tu veux

Courage Amarnath!

PS :pour les bedots j'suis comme toi c'est devenu au fil du temps pour moi le pire des anxiogènes au bout de plusieurs années de consommation

Keep the power and the smile ...

Majama

Dernière modification par majama (05 janvier 2015 à  10:01)


Peu importe le flacon pourvu qu'on aie l'ivresse..

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Amarnath homme
Ni ceci Ni cela
Inscrit le 26 Jan 2014
1041 messages
Merci les filles, c'est sympa d'encourager la bête, car il est vrai que cette démarche à  force de lire P.A est devenu anxiogène.
Il y a un peu plus de 20 ans, suite à  une hospitalisation d'urgence, je me suis retrouvé à  sevrer BZD, tercian, rohypnol, rabla, tabac, cannabis et alcool, en 10 jours, le plus gros était passé, mais si j'avais eu des idées sur le sujet à  l'avance, cela aurait ajouté du stress, bon en même temps, j'aurais peut-être moins souffert, car le service hospitalier aurait pu me donner des substituants, mais vu que personne ne savait que je consommais tout ça.... Ramassé dans la rue, dans une marre de sang, torse nu en plein mois de juillet, sans papier.... J'ai pris vraiment cher. Je me souviendrais toute ma vie de cet épisode et c'est peut-être bien ça, qui fait office de mémoire flippante.
Mais bon le passé n'est pas le présent ni le futur.

Dans ce post, j'aimerai recevoir aussi des indications médicamenteuses, sur ce qui est prescrit pendant le sevrage et pour quels symptômes. Combien de temps l'hospitalisation dure généralement.
En même temps, j'ai un côté qui préfèrerait s'abandonner, lâcher prise et se laisser aller, mais je n'ai pas du tout confiance en le service de soin, car j'ai vécu plusieurs hospitalisation durant lesquelles, j'ai vraiment était malmené. Et le terme et faible en comparaison de la douleur.

Certains et certaines se vengent de leur mal être, accompagnés de préjugés puissants, cela donne une alchimie explosive, qui fait que la poubelle, c'est toi.

Bon dans tout les cas merci à  vous, bon courage pour votre suite de vie.

Bien à  vous,

Amarnath

Et si tout ceci, n'était qu'une blague !

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MANAHOU femme
Nouveau membre
Inscrit le 19 Oct 2014
14 messages
Bonjour à  tous,

Je rentre le 20 janvier à  l'hôpital pour un sevrage. En fait on va me remplacer l'oxycotin (160) et l'oxynorm (100) par jour, par du suboxone. Cela fait trois mois que j'angoisse terriblement car je ne sais pas comment   ce nouveau produit va agir sur mon psychisme. Je ne changerai pas d'avis, mais si vous pouviez me rassurer, cela m'aiderait beaucoup.
Je n'avais plus le choix car j'avais toujours besoin d'augmenter les doses pour ne pas me sentir trop mal. Pour la douleur, j'avoue ne pas y penser, mais si je devrais le faire ! mais c'est vraiment le côté psy qui m'angoisse le plus. J'ai peur de me retrouver sans vie, sans envie, et très mal avec ce nouveau produit et tout nouveau produit m'angoisse.
Par contre j'ai confiance en l'hôpital,car toutes les personnes que j'ai rencontrées jusqu'à  présent m'ont semblées très à  l'écoute.
Je serais vraiment très contente de recevoir vos messages de soutien. Plus que 2 semaines.
Merci à  tous

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Leaf homme
Psycho sénior
Inscrit le 31 May 2014
844 messages
Salut Amarnath,

Ayant fait une cure en septembre, je pense pouvoir dire à  peu près quels médicaments sont utilisés pour le sevrage de nos jours.

-Il y a un truc qui s'appelle le catapressan (je ne sais plus si c'est de la clonidine, je pense que oui) qui à  l'origine est un anti-hypertenseur, qui se trouve être excellent pour réduire grandement les plus grosses manifestations du manque. Le personnel infirmier fait très attention aux doses et commence avec des dosages légers, qui peuvent être augmentés au fur et à  mesure. 3-4 fois par jour, et possible d'en demander la nuit pour les impatiences (jambes incontrôlables)

-Ensuite il y a les benzodiazépines, pour moi c'était du Temesta, à  doses assez élevées (mais c'est parce que je venais directement de psychiatrie), après d'après les autres patients qu'il y avait, du Tranxène, Diazepam, Seresta. Entre 3 et 5 fois par jour.

-Les somnifères, Imovane ou Havlane. Les dosages sont arrangés en fonction des difficultés.

-Spasfon, Smecta, Immodium, pour tous les problèmes digestifs et la diarrhée. A volonté (heureusement)

-Eferalgan ou autres trucs dans le genre pour les maux de têtes et les douleurs musculaires. A la demande.

En cas de symptômes de manque très prononcés (c'était mon cas), il donnent aussi du Topalgic et de l'Atarax.

Aussi, je ne sais pas si c'était uniquement dans le centre où je suis allé (ça m'étonnerait) mais il y avait une salle de balnéothérapie (donc un spa et un sauna) ça faisait vraiment un bien fou. Même si tu ne te sens pas d'humeur à  le faire quand tu es là  bas, je te conseille vraiment de tester malgré tout, c'est génial pour les douleurs musculaires. Ah et parmi les membres du personnel, il y en a qui sont formés pour faire des massages (à  la demande), et aussi tu peux demander à  prendre un bain chaud. Très très très utile. Tout ne se fait pas que par médocs, il faut s'en souvenir.

Je te souhaite bonne chance, vraiment du fond du coeur. Si je peux te donner un conseil, c'est de privilégier ton bien-être mental au bien-être physique. Parce que les symptômes physiques, tu peux les calmer avec certains médocs, mais la douleur/fatigue mentale, rien à  faire, ça ne part pas facilement. Perso c'est ce qui m'a fait jeter l'éponge, je pouvais endurer toutes les douleurs musculaires et avoir la chiasse 20 fois sur la matinée, mais ne plus être capable de penser, de parler, de rêver, de créer, être totalement vide, ça m'était insupportable.

Dernière modification par Leaf (05 janvier 2015 à  21:06)

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blue pearl femme
Psycho junior
Inscrit le 24 Jun 2013
336 messages
Coucou Manahou salut
Je vous souhaite bien du courage pour votre hospitalisation je peux vous apporter que mon soutient moi aussi comme vous je cherche à  me sevrer je ne peux pas vous dire quoi que ce soit sur le suboxone je connais pas
Bon courage pour la suite j'espère que tout iras bien
drogue-peace

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Amarnath homme
Ni ceci Ni cela
Inscrit le 26 Jan 2014
1041 messages
Merci à  vous, et merci Leaf pour les détails intéressants.

Mais qu'est donc cette mystérieuse oxycodone ??? C'est vraiment la molécule la plus étrange que je connaisse, car effectivement, pour se sentir juste bien ou même "normal" il faut constamment augmenter les doses. C'est un truc de fou, car j'ai baissé de 20 mg et cela fait un mois que c'est le mal de vivre en dents de scie.
La première année, je pouvais baissé sans trop en pâtir, mais à  ce jour c'est devenu tellement difficile, car même avec le temps, rien n'y fait, je me sent toujours aussi mal.
Je peux vous assurer que je suis loin du récréatif, pour avoir étais capable de rester quasiment à  la même dose, pendant tout ce temps. Mais c'est au prix de mauvaises nuits, de mauvaises journées...

Manahoo, passer au suboxone ne doit pas être très simple, mais pourquoi pas. Pour ma part, à  chaque fois que j'essaye une nouvelle molécule, c'est la cata !
C'est pour cela que je me dis qu'il est préférable de sevrer complètement le produit, mais à  la lecture des très maigres témoignages, je ne me sens pas non plus rassuré.

J'ai essayé de passer en LP, puisque je ne prend que de l'oxynorm (LR), mais le mal être était terrible.
J'ai essayé le skenan, j'ai gerbé mes tripes pendant une semaine et le mal être....
J'ai essayé la méthadone, peut-être pas assez longtemps (une semaine), j'ai mis quinze jours pour m'en remettre.
J'ai essayé le subutex, peut-être pas assez longtemps non plus, mais pareil, un putain de mal être, qui ne permet pas de continuer, sans avoir envie de se jeter par la fenêtre.

Mais quelle est donc la différence avec cette molécule et les autres. Je préfèrerai une bonne héro à  50 %, ce serait moins difficile, comme cela l'avait été, il y a une quinzaine d'années.

J'évite de partir dans des angoisses, pour ne pas être comme toi Manahou, au trente sixième du dessous, je m'interdis de penser à  ce genre de choses, même si parfois, les angoisses s'imposent et aucune technique de relaxation n'en vient à  bout tout de suite.

Je me sens un peu perdu comme toi, à  ce niveau.

J'ai vraiment trouvé mon maître !
Humblement je me prosterne à  ses pieds, et lui demande de m'accorder sa grâce, car je ne vois pas comment faire pour sortir de ça.

Je pense en cas de sevrage difficile, d'essayer de passer à  la méthadone, mais cette fois-ci en milieu hospitalier.
J'ai peu confiance en leur efficacité, ils m'en ont tellement fais voir de toutes les couleurs. En même temps, je ne suis jamais aller dans un service spécialisé.
A chaque fois que j'ai vécu des douleurs extrêmes, je n'avais le droit qu'à  un vulgaire temgesic 2 mg, qui ne faisais pas plus d'effet qu'une fraise tagada. Quand je leur en redemandais, j'avais toujours la même rengaine : "le docteur va passer..." Et je ne le voyais pas et finissais toujours par entendre, qu'il était déjà  rentré chez lui... Et la nuit arrivée avec son lot de douleurs intenses et d'angoisses, d'être seul dans le vide céleste.
Mmmmmh que de bon souvenirs !

Si j'avais de l'argent, je partirai à  Bruxelles, Belgrade ou Tel Aviv pour un sevrage UROD, mais entre 5000 euros et 7000 euros.... Ce n'est pas possible !

Donc voilà , j'attend le 8 janvier pour voir un nouvel addicto, qui ne dois rien y connaitre à  l'oxynorm, comme toujours. C'est un médicament qui n'est pas couramment sevré. Je n'ai pour le moment rencontré aucun médecin qui connaissait ce médoc et aucun témoignage de personne qui aurait réussit à  le sevrer ou remplacé.

Mais quelle est donc cette mystérieuse oxycodone ???

Je suis ouvert pour recevoir un maximum de réconfort ou de conseils, qui serviront aussi à  Manahou, qui comprend bien ce dont je parle... La galère. Dans le fond ça me fais rire, car pour moi la vie est un canulars, dans laquelle on oublie notre vraie nature, et jouons des rôles de traumatisés, alors que nous sommes l'essence même de la vie.
Quelle blague ! Mais quelle blague , mes amis !

Merci pour votre soutien, bonne journée.

Amarnath

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Amarnath homme
Ni ceci Ni cela
Inscrit le 26 Jan 2014
1041 messages
Manahou, cela fait combien de temps que tu prends de l'oxy et avec quel dosage a tu commençais ? Etais-ce comme moi, pour des douleurs physiques ?
Pourrais-tu me décrire ton journal de consommation.
Pour limiter les doses et ne pas plus mouflet, cela fais au moins un an que je note toutes mes prises avec les heures. Si je rate une dose, sans le savoir sur le moment, je passe une nuit de merde, avant de me rendre compte sur mon carnet, que j'en avais oublié une. Stabiliser la descente de ce produit, me parer un parcours du combattant.
A tu déjà  essayé autre chose, connais-tu des personnes qui ont réussi à  sevrer ?
Dis moi tout ce que tu sais s'il te plais, car cela fais deux ans que je scrute tout les sites français et anglophones, sans jamais rien trouver d'autre que des plaintes mortifères, mais jamais de témoignages de personnes qui aurait réussie quoi que ce soit dans la baisse ou le sevrage.
Même juste baisser et presque impossible, alors j'ai du mal à  imaginer le reste.

La méthadone ne couvrait vraiment pas le craving et pourtant, je sentais bien que j'étais au-dessus de ma tolérance. L'accroche psychologique de l'oxy est vraiment très puissante, il serait bon que ce soit indiqué dans le psychowiki de PA, car je viens à  croire, qu'il y a dépendance et dépendance...

A l'avance merci Manahou.

Amarnath

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Leaf homme
Psycho sénior
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844 messages
Je n'ai jamais été dépendant à  l'oxy (j'en ai déjà  pris quelque fois, putain que c'était bon) et tous les opiacés ont leurs caractéristiques propres, néanmoins il y a quelques bases communes, donc je pense qu'il y a certains conseils que je peux te donner, pour ce qui est du sevrage/diminution du dosage.

Personnellement, je crois que diminuer un dosage petit à  petit est difficile si l'on ne compense pas avec quelque chose d'autre (pas des médocs), dans les habitudes de vie, du sport, se mettre à  quelque chose de nouveau (dessin, instrument de musique, mécanique, SM, etc), te trouver des nouveaux plaisirs, abordables et disponibles, enfin tu vois ce que je veux dire - pour attirer notre attention sur autre chose que sur la baisse du dosage, parce que si tu y penses constamment, forcément tu vas faire attention à  tous les changements d'humeur/physiques qui découlent de cette baisse, et tu vas commencer à  paniquer, ça va te foutre mal, et tu vivras d'autant plus mal cette diminution.

Il faut sérieusement préparer le terrain psychologique pour entamer la diminution, parce qu'au fond, c'est ça le plus difficile, comme je te le disais plus haut, la douleur physique on peut l'atténuer avec des médocs, on peut la décrire, la situer, mais la douleur mentale est très difficile à  gérer; et il semble d'après tes écrits que l'accroche psychologique de l'oxy est un frein non négligeable dans ta quête.

Après, s'il t'est vraiment impossible de diminuer l'oxy, pourquoi ne pas aller en centre pendant une ou deux semaines pour commencer un traitement métha ou sub?? Lorsque j'étais en cure, j'ai vu passer pas mal de personnes qui venaient là  pour faire la transition entre héro/skénan/autres et métha/sub sans accrocs, avec les bons médicaments au bon moment, donnés par des professionels de la santé. Ils passaient une semaine, parfois moins parfois plus, dans un environnement relaxant au possible, sans aucune pression extérieure, et entamaient leur traitement métha/sub petit à  petit, avec l'équipe d'infirmiers qui ajustaient les dosages au fur et à  mesure, et une fois la bonne posologie trouvée, ils passaient quelques jours à  se stabiliser, reprendre de l'appétit, et pour certains, se mettre à  des activités qu'ils ne pratiquaient pas avant.

Il faut savoir demander de l'aide, et dans ton cas, je pense qu'être accompagné dans tes efforts pourrait t'être bénéfique. D'ailleurs, cette diminution de dosage, tu en as parlé à  ton médecin?
Reputation de ce post
 
Merci pour cette empathie sincère, j'ai les yeux qui coulent... Amarnath

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Amarnath homme
Ni ceci Ni cela
Inscrit le 26 Jan 2014
1041 messages
Non de Dieu, j'ai passé une partie de la journée, à  regarder tout les sites possibles qui pouvaient parler de l'oxycodone.

C'est une molécule tellement agressive sur le moyen et long terme, que divers collectifs ont vu le jour au canada, pour attaquer en justice les grands groupes pharmaceutiques, Bayer et Pfizer.

Je n'avais jamais vu de rapport médicaux aussi nombreux, sur le fait de la perte de mémoire, les problèmes pour uriner, la perte de cheveux, les dents qui s'abîment vitesse grand V et le squelette qui perd de la densité osseuse. Je ne dis jamais ce genre de chose, mais pour une fois je me permets : à  des doses comme les nôtres, l'oxycodone, c'est vraiment de la merde ! Très peu de gens témoignes positivement, sauf au début, car il faut dire que c'est efficace le premier mois sur les douleurs. Ce qui est normal, à  1,5 à  2 fois plus puissant que la morphine...

Le sevrage est un calvaire et je n'ai lu aucun témoignage, spécifiant la réussite de celui-ci, sauf par le biais de TSO méthadone.

Enfin voilà , pas de quoi perdre le sourire, même si j'ai encore un bout de dent qui est tomber il y a trois jours. Elles s'abîment vraiment vite, même si j'ai toujours un sourire de jeune vieux gosse ! Les cheveux tombent, c'est vrai ! Mais je reste positif car ce n'est pas le cas de mes testicules, c'est déjà  ça !!!

Bonne soirée

Et si tout ceci, n'était qu'une blague !

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