48h que je n'en prends plus (du Zamudol cf
tramadol LP)
Je profite d'une fièvre pour placer ce moment, ce qui me permet de ne pas savoir si les courbatures et les douleurs sont liées à l'absence de
Tramadol.
Je suis moins boosté, cela je m'en rends compte, mais ai-je besoin de l'être ?
Je ne cherche pas via le
Lyrica à remplacer le
Tramadol, pour moi ce sont deux sujets différents.
Je cherche juste à calmer mes douleurs, celles physiques pas psychiques.
Ce qui m’intéresse c'est de souffrir le moins possible, s'il faut vraiment du
tramadol alors ce sera exceptionnel et rare, je trouve cette molécule trop puissante, elle fait faire de drôles de choses, des choses qui ne me paraissent pas saines, ce sentiment de triche me dérange.
A travers mes récentes vadrouilles (et ce sacré
sevrage de Rivotril), j'ai découvert que d'énormes progrès avaient été fait en matières d'antidépresseurs, ce qui ne m’intéressent pas aujourd'hui mais me rassure, et pour gommer la stimulation du
Tramadol, j'inviterai à se rapprocher de ces molécules, apparemment moins contraignantes en terme de prescription comme de part leurs moindres effets secondaires.
http://www.stacommunications.com/journa … french.pdf C'est agréable de pouvoir disposer, à portée de clic, d'autant d'informations.
Ce que je retiens avec le
Tramadol, qu'il soit prescrit par un généraliste, par un neurologue ou autre spécialiste, c'est les abus d'utilisations comme de prescriptions, je sens que cette situation expose les professionnels comme les patients a une forme d'ambiguïté qui ne laisse pas le temps au patient d'y voir une pause bénéfique.
Entre le
valium, que je prends le soir, qui fait rêver et non dormir, et le
tramadol qui excite, j'ai réussi à passer 5 jours sans quasiment dormir, je n'en suis pas fier, j'ai fait ce que j'ai pu pour dormir, mais j'ai réalisé qu'on ne pouvait pas vivre comme cela.
Il faut que je parvienne à trouver mon équilibre, une forme de bien-être le moins toxique possible.
Le
tramadol ne guérit pas, je ne l'oublie pas, je perds mon temps et mon énergie.
S'il devait m'aider ne serait ce qu'une fois par semaine, je n'aurais aucun scrupule à l'utiliser.
Maintenant en faire une vie, c'est une erreur à mon sens.
Je lis et comprends qu'il puisse être difficile de s'en sevrer, mais j'ai appris récemment que l'homme disposait de beaucoup de forces inexploitées, qu'il suffisait de réveiller pour revivre.
Il faut parler de tout cela, ici ou ailleurs. Bon courage à tous, nous sommes plus fort ici ensemble.
Dernière modification par Alapz (30 mai 2015 à 09:31)