décro à  l'arrache au crack/coke/MD/extasy et speed et arrêt du shoot

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Z0>
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Inscrit le 16 Oct 2016
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Bonjour à  tous,

J'ai pris la décision d'arrêter de me shooter et d'arrêter les produits suivant depuis un peu plus d'un mois : crack/ coke / MD / extasy / speed. J'en prenais occasionnellement puis journalièrement selon les périodes ces 5 dernières années.

Sachant que cela fait environ 25 ans que je lutte avec mes problèmes de drogues mais que j'ai eu plusieurs années de sobriétés également, et que cela fait un peu moins de 5 ans que j'ai commencé à  me shooter.

Là , j'ai des énormes douleurs et des idées de malades dû surtout aux psychoses que je me tape avec la consommation et l'arrêt du crack que j'ai découvert il y a 5 ans, connaissant les autres produits depuis beaucoup plus longtemps.

J'ai fait ça à  l'arrache, comme d'hab, car je n'arrive pas à  patienter pour une place à  l'hôpital et surtout j'ai peur qu'on me blinde de cachetons que j'arriverai plus à  arrêter après.

Du coup je suis à  vif, je prends juste encore des somnifères pour dormir mais je ne dépasse pas la dose prescrite alors j'ai beaucoup de mal à  dormir.

Pour couronner le tout, pas mal de mauvaise nouvelles : confirmation du décès d'une ex à  cause du VIH , qui m'avait quitté pour me préserver alors qu'on s'aimait encore,  séparation très douleureuse avec mon ex plus récente, qui a frôlée la mort suite à  la séparation et est maintenant à  l'hôpital, des questionnements par rapports à  mes douleurs, sachant que même en essayant de faire des shoots clean, en vrai ça avait complètement dérapé et j'avais chopé de graves infections.

Mon état de santé physique et mentale m'alarment, sachant que je me suis tapé des OD avec une quinzaine de jours de coma ces 5 dernières années, avec arrêt respiratoire, et des difficultés moteurs et sensoriels qui sont devenus de plus plus lents à  récupérer avec l'âge.

C'est pour ça que j'ai décider d'arrêter aussi violemment, sinon je me voyais en train de crever à  petit feu...

Là , je n'arrive pas à  faire le tri entre mes peurs et mon état de santé réel, sachant que j'ai une batterie d'examens à  faire.

Je me sens en train de me décomposer et pourrir, mais ça je crois que c'est des séquelles du crack, c'est surtout dans la tête, mais ça me parait tellement réel........!!!!!

J'habite un lieu qui a malheureusement des problèmes avec des nuisibles dont des insectes, pour de vrai, ce qui fait qu'augmenter ma parano des insectes dû au crack et mélangé à  la réalité où je me fait vraiment piquer, du coup ça me démange et je me gratte en parti pour de vrai mais et en parti dû au crack : il y a de quoi devenir complètement fou !!!!!!

C'est vraiment le produit qui, mélangé au reste, sort du lot au niveau du stade de folie, avec des hallucinations, des images d'horreurs qui s'imposent à  moi,  où je commence à  voir des complots partout, où je doute de tout le monde autour de moi, et dont j'ai l'impression que je suis entouré que de gens qui veulent ou vont me faire du mal.

Ajouté à  ça mes douleurs osseux, qui ne sont jamais vraiment arrêté depuis que j'ai arrêté la metha à  l'arrache, suite à  une décro à  l'arrache de la came des années en arrières de ça.

J'ai l'impression que ma vie a était un film d'horreur jusqu'à  présent, entre la rue, les squats et les apparts malsains, clairement j'ai du mal à  en voir le bout, surtout que je jongle physiquement et mentalement mais que je n'ai pas le choix que d'arrêter, car au point où j'en suis j'ai vraiment peur que la prochaine prise de produit me soit fatale.

Je suis suivis par des médecins mais qui ne peuvent pas faire plus que de compatir ou de me proposer des cachetons qu'ils n'ont jamais pris de leurs vies.

Est ce normal d'avoir aussi mal à  mes veines et qu'elles me brûlent en permanence, un mois après avoir tout arrêté?
Et mes douleurs osseux seraient ils uniquement liés à  d'anciennes douleurs suite à  mes décros aux opiacés qui refont surface? Sachant que pour l'instant, les radios que j'ai fait n'ont rien donnés...

Y a t'il des gens qui sont passés par là  et qui ont réussis à  aller mieux, au point que tout ça s'arrête?

Je me souvient qu'après chaques décros c'était hardcore, et qu'il m'a fallut beaucoup de temps pour m'en remettre, mais là  j'ai l'impression d'avoir atteint le point de non retour avec le crack qui a à  clairement endommagé quelque chose en moi, surtout que j'avais finit par le shooter et que je me suis rendu compte qu'après coup à  quel point ça m'avait ravagé le cerveau...

Sans parler qu'il y a 18 ans de ça en arrière j'avais eu de gros problèmes suite à  des prises journalières de LSD avec des bad trips qui m'avaient beaucoup marqués dont j'ai eu beaucoup de mal à  m'en remettre...

S'il vous plait si vous avez des messages d'espoirs, ça m'aiderai beaucoup car je n'ai personne qui est passé par là  et qui peut vraiment me rassurer que tout ça ira mieux et que tout ça va bientôt être qu'un vieux cauchemar...

Les gens que je connais sont soit trop dedans, où trop éloignés de mes problèmes pour pouvoir m'aider correctement...

Merci d'avance si vous avez des conseils, des astuces ou des mots rassurants, ça m'aiderait vraiment beaucoup...

Dernière modification par Z0> (16 octobre 2016 à  19:10)

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toon77
Nouveau Psycho
Inscrit le 31 Jul 2016
152 messages
salut.....bien qu'ayant touché à  tout et à  haute dose je ne me suis pas retrouvé dans le même état que toi même si j'ai bien morflé aussi.

Ce qui me parle dans ton histoire c'est les ravages psychologiques du crack, j'en ai beaucoup fumé aux Antilles et là  bas c'est un truc de fou, très facile a trouver et très puissant......j'y ai laissé pas mal de plumes et j'ai sombré dans l'alcool pour m'en défaire.....donc je te dis oui pour tout ce que tu évoque a ce sujet..............et ça met longtemps à  partir c'est vrai.......

Pour tes douleurs dans tes veines tu as fait des analyses ou été voir un médecin pour ça précisément ??....tu dois être aussi gravement carencé donc sans trop t'alarmer ( parce que moi aussi j'avais l'impression de pourrir et en fait nan, c'était nerveux) essaye de te dire que de tout stopper à  l'arrache déclenche forcément tout un tas de réactions physiques et psychiques.


Je ne peux pas plus t'aider malheureusement mais si tu prends le temps de parcourir ce forum tu verras que tu n'est pas le seul a morfler loin de là  et que par ci par là , tu vas glaner pas mal de réponses à  tes questions au vu des histoire que tu pourras lire ici.

Prends soin de toi.

tout ce qui ne tue pas rend plus fort.

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Z0>
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Inscrit le 16 Oct 2016
5 messages
Merci toon77 pour ta réponse...

En ce qui concerne mes veines, oui je suis allé voir un médecin qui travaille avec les toxicos et qui m'a dit que que c'était sûrement lié au fait que mes veines sont  endommagées à  l'intérieur...Sûrement que ça ne me faisait pas aussi mal quand je consommais car j'étais anesthésié...

Et puis il faut dire qu'avant d'arrêter, j'ai cramé 2 artères auxquels je n'avais pas donné le temps de bien se remettre d'avant, j'ai fait du forcing alors qu'elles étaient déjà  en mauvais états...

J'ai aussi un abcès sur une veine que j'avais laissé traîner, maintenant que la plaie est refermée le médecin me dit qu'il n'y a rien à  faire que d'attendre, mais ça fait 9 mois et j'ai encore une bonne marque rouge alors que d'habitude je cicatrice beaucoup plus vite, là  je pensais que ça allait faire pareil et à  l'époque je ne sentais pas la douleur alors que mon bras avait enflé, ça l'avait carrément déformé mais je minimisais le truc...


En vrai je ne sais pas du tout ce que j'ai chopé ce jour là  et si ça a eu des conséquences sur mes organes, ou si ça pourrait déclencher une maladie plus tard...

En tout cas merci de me confirmer que toi aussi tu as eu des délires avec le crack comme quoi t'avais l'impression de pourrir, c'est vraiment une impression tenace, j'ai vraiment l'impression que je me décompose de l'intérieur chaque seconde un peu plus , que mes os sont en train de pourrir, j'ai vraiment les sensations et les visions qui vont avec...

Mais si tu me dis que c'est nerveux et que ça partira avec le temps, je veux bien te croire...

Je vais suivre tes conseils et aller chercher dans les témoignages des autres, je vais regarder ça.

Merci d'avoir pris le temps de me répondre, toi aussi prends soin de toi...

Dernière modification par Z0> (16 octobre 2016 à  16:12)

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pierre
Web-Administrateur
Inscrit le 15 Sep 2006
16690 messages
Tu parles du shoot, mais quels produits tu shoot ? Le crack ? Toutes les drogues ?

Est ce que les veines qui brulent ca ne peut pas etre une veinite ?

Tu parles de l'arret à  l'arrache de la méthadone. Ce qui me vient à  l'esprit, c'est n'as tu pas compensé avec les autres prods, crack et autres ?

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Z0>
Nouveau membre
Inscrit le 16 Oct 2016
5 messages
Oui en ce concerne le shoot j'ai shooté tout et n'importe quoi ces 5 dernières années...

Le crack, la MDMA, le speed, la coke, des cachetons de toutes sortes, du skenan mais assez pour tomber accro, avec des pompes des plus fines aux plus grosses, selon ce que j'injectais et les doses que je choisissais de mettre selon ces jours et ces soirs là .

J'ai vraiment torturé mes veines et les ai massacré...
Et le pire c'est que je ne m'en rend compte que maintenant.

J'étais dans une spirale qui était du grand n'importe quoi, et le pire c'est que je pensais faire attention en essayant de suivre certaines règles d'hygiènes, mais que je n'arrivais plus du tout à  suivre.

J'ai finis par shooter sur tout le corps alors que je m'étais promis de ne pas le faire, mais c'est vraiment mes bras qui ont morflés sévères.

Et oui j'ai déjà  eu des veinites mais je n'avais pas mal comme ça...
Je n'avais pas les veines de mes bras qui me brûlaient en permanence avec des picotements pendant un mois...

Concernant la metha, ça faisait à  peu près un an que je l'avais arrêté, et au lieu d'en être fier, je me sentais comme une merde et je déprimais beaucoup...

Ajouté à  ça une relation avec quelqu'un qui n'était pas du tout compatissant, j'avais le moral à  zéro quand j'ai rencontré mon ex qui voulait arrêter les prods et qui m'a mis sur un piédestal quand je lui ai raconté mon parcours et quand je lui ai donné des astuces pour l'aider.

Mon ex s'est accroché et arrêté coup sur coup la shooteuse avec le skenan/ le crack et l'alcool alors qu'elle était dedans jusqu'aux bout des ongles...

Le problème c'est quelle s'est sevrée chez moi, et que pour tenir le coup à  ses réactions de fou dû aux délires à  l'arrêt des prods, j'ai finis par rechuter et m'enfoncer dans la shooteuse et tomber dans le crack, produit que je ne connaissais pas avant et qui m'a fait vriller sans même que je m'en m'aperçoive...

On a finit par se séparer tellement je ne la supportais plus, et alors qu'elle avait tout arrêté, elle est retombée dans les prods après la séparation au point qu'il y a eu complications et est maintenant à  l'hôpital pour longtemps, et moi je me suis engouffré dans la shooteuse, à  shooter tout et n'importe quoi selon les opportunités.

En vrai j'étais juste en train de me suicider, et oui l'arrêt de la metha n'était pas à  prendre à  la légère, mais j'avais tellement jonglé, que j'avais préféré zapper. J'étais fragile et j'aurai dû mieux être entouré.

Là , ça fait un mois que j'ai tout arrêté, mais reste aussi la question de comment me situer par rapport à  mon ex avec laquelle je ne veux plus retourner car trop de mauvais souvenirs, mais qui est à  l'hôpital à  cause de notre séparation et qui n'a pas lâché l'affaire par rapport à  moi.

Je me sens coupable et je voudrais continuer à  l'aider, que l'on ait pas fait tout ça pour rien, car elle ne s'est pas rendue compte de la difficulté que ça a était de subir son sevrage et de la gravité de ma rechute car elle était trop centrée sur ses propres douleurs...

Mais je ne suis pas aussi fort qu'elle le pense, j'ai déjà  du mal à  sortir la tête de l'eau, et je suis juste en mode de survie actuellement alors la soutenir me parait une épreuve de plus qui me parait très difficile à  réaliser.

Là , j'ai l'impression que je suis toujours à  2 doigts de vriller, j'ai des pulsions suicidaires, pour mettre radicalement fin à  mes souffrances car je sais que reprendre des prods pour me calmer ne ferait qu'aggraver les choses...

Dernière modification par Z0> (16 octobre 2016 à  19:06)

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toon77
Nouveau Psycho
Inscrit le 31 Jul 2016
152 messages
waooooo....waoooooo t'es pas dans une bonne passe poto là .

ça m’embête de te dire ça comme ça mais vu ta situation t'arrivera pas à  te sauver toi et elle.........va falloir penser a toi....et seulement a toi.

Les pires tortures quand on veux s'en sortir viennent souvent de la culpabilité par rapport aux autres et surtout quand ton conjoint(e) était dedans avec toi.

Vous vous êtes visiblement mis dans une situation ou va falloir la jouer en solo pour espérer s'en sortir. C'est moche mais c'est comme ça...imagines.....toi tu t'en sort mais pas elle, du coup tu replonges ?, ou elle s'en sort et pas toi, elle replonge ????

C'est pas pour rien qu'il est communément admis qu'il faut fuir ses fréquentations pour s'en sortir. De plus tu dis toi même que c'est pas possible de rester ensemble pour déccro

Le problème c'est quelle s'est sevrée chez moi, et que pour tenir le coup à  ses réactions de fou dû aux délires à  l'arrêt des prods, j'ai finis par rechuter et m'enfoncer dans la shooteuse et tomber dans le crack, produit que je ne connaissais pas avant et qui m'a fait vriller sans même que je m'en m'aperçoive...

On a finit par se séparer tellement je ne la supportais plus
,

Je sais c'est moche ce que je te dis mais tu dois t'en douter au fond de toi......vu ce que tu décris de ta situation faut pas prendre tout ça à  la légère, ton corps est abimé et je sais pour l'avoir vécu que même si on a l'impression de tenir le coup, sur les années le psychisme s'en prends de sacré coups. Ça aussi tu l'as analysé chez toi.

Penses à  toi d'abords.  A un moment faut lacher ses amis de défonce et chacun doit se démerder seul pour s'en sortir ou pas.

Prends soin de toi.


tout ce qui ne tue pas rend plus fort.

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Z0>
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Inscrit le 16 Oct 2016
5 messages
Je sais bien que tu as raison, tout ce que tu dis est vrai mais j'ai vraiment du mal à  lâcher l'affaire par rapport à  cette histoire, ça me rends super triste de voir que ça était un échec alors qu'on a vraiment fait notre possible pour que ça marche...

Dernière modification par Z0> (17 octobre 2016 à  00:49)

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mikykeupon
Modérateur à la retraite
Inscrit le 10 Mar 2009
9631 messages
Mis à  part l'hôpital,as-tu déjà  pousser la porte d'un CSAPA ?

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Z0>
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Inscrit le 16 Oct 2016
5 messages
Oui, j'allais pour y chercher du matos stériles, demander conseil aux médecins et infirmières, pour faire des recherches de veines, mais tout dépend sur qui je suis tombé car même gentille et avec de bonnes intentions, je suis tombé sur une infirmière qui n'y connaissait rien et qui m'a mal aiguillé.

C'est en écoutant ses conseils que j'ai eu un abcès car je lui avais parlé de mes tendances à  faire beaucoup de tirettes pour être sûr d'être toujours dans la veine jusqu'à  la fin de mes shoots.

Elle m'avait dit qu'il ne fallait surtout pas faire ça et que je m'abîmais les veines, et qu'une seule tirette suffisait.

Bah j'aurai préféré abîmer ma veine mais d'être dans la veine jusqu'au bout, que de l'avoir écouté et d'avoir shooté à  côté, sachant que j'avais tendance à  à  trembler quand je sentais le produit monter, et donc de ne plus être dans la veine si je ne vérifiais pas jusqu'au bout...

Je lui avais demandé aussi pourquoi quand je shootais dans une artère ça me brûlait et elle ne savait pas non plus pourquoi.

Je ne connaissais pas votre site à  l'époque, et maintenant j'y ai trouvé des explications clairs et concrètes.

J'avais tendance aussi à  lécher mes gamelles et à  lécher les stérifiltres pour ne pas gâcher de produit et je lui avais demandé si je risquais quelque chose à  faire ça, elle m'avais répondu que non, qu'elle n'y voyait aucun soucis.....!!

Maintenant avec le recul, je comprends pourquoi j'avais mal à  l'estomac!!

Je lui avais aussi fait part que j'avais tendance à  lécher tout le sang que je perdais quand je loupais mes trous et que du coup j'enchaînais par dessus un nouveau trou sans désinfecter, et que je me posais la question jusqu'où c'était dangereux de faire ça (désolé pour ce détail gore mais ce sont des choses dont je ne peux pas parler avec tout le monde, et j'espère être à  la bonne place ici).

A ça elle m'a juste demandé pourquoi je léchais mon sang?
Ce n'étais pas par plaisir mais pour récupérer le maximum de produit!!
Et elle ne m'a finalement pas répondu à  ma question, elle ne comprenait juste pas pourquoi je faisais ça...

Comme quoi, ils sont bien sympas mais certains ne sont pas très au courant...!

J'aurai mieux fait de m'écouter et ça aurait évité d'avoir niqué ma veine au point d'avoir une marque aussi visible et rouge 9 mois après avoir shooté à  côté...

Mais bon ils font de leurs mieux mais j'ai l'impression que ce n'est pas là  bas que je trouverai les solutions les plus adaptés à  mes problèmes d'aujourd'hui...

Mais je te remercie mikykeupon pour ta suggestion, j'aurai pu ne pas connaitre et ça aurait pu me rendre service quand même...

Dernière modification par Z0> (17 octobre 2016 à  02:10)

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mikykeupon
Modérateur à la retraite
Inscrit le 10 Mar 2009
9631 messages
Il existe des CSAPA compétant. Tu trouvera même une discussion sur les centres de soin et ce que les personnes qui y ont séjourné raconte leurs expériences.
Tu y trouveras sûrement ton bonheur.

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