J'ai l'impression que lorsqu'on a pris des trucs assez fort comme de l'
héroïne, ou de la
Buprénorphine, bien après, pour accrocher à la
codéine le pourcentage pour que ça arrive est presque de zéro...
Je ne ressens pas franchement de trucs "bons" dans la
codéine, bizarrement je la vois vraiment comme un médicament, et elle me pousse pas dans un état d'addiction, genre, en reprendre.
Elle calme l'effet du manque, voir même réchauffe, mais je ne ressens pas d'accroche particulière avec elle.
J'en ai plein chez moi, et même en keu keu j'en ai presque pas envie. J'en prends pas.
Non pas par restriction, absolument pas du tout. Je ne me prive pas du tout. C'est naturel. Le repoussement se fait tout seul, sans faire d'effort.
Ou alors, ça serait parce que j'ai vraiment, vraiment trop chaud en flotte quoi...
Je suis dépendante de toute façon, car je ne peux me passer de quelque chose définitivement.
Mais oui, sans trop connaître, 200 mg, même 150 mg c'est une grosse dose.
En fait, je trouve que c'est bien sans l'être.
J'ai l'impression qu'elle fait bien des montées, donc qui pourrait être kiffant, mais ces montées sont particulièrement bien moins fortes que tous les autres produits pris avant.
Par contre, ma mère, elle en prend deux le matin, 1 le midi et deux le soir, elle pique presque du nez, c'est impressionnant ça je trouve. Piquer du nez avec de la
codéine, et beh !

Je regrette mon époque d'inconscience, et d'innocence moi.
Tout ça pour dire qu'on perd beaucoup de sensibilité à certaines de ces substances là lorsqu'on a pris des choses durant des années plus fortes selon moi.