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- Terson
- BioHacker
- Inscrit le 25 Jul 2014
- 819 messages
Sujet un peu spéciale mais il faut que je le poste car ce dont je vais vous parlez me trotte dans la tête depuis des années.
Il y a quelques années de ça quand j'étais sous Subutex je le prenais d'une façon extrêmement anarchique. Genre 4 mg toute les 2 heures, parfois en sniff, parfois en sublinguale.
Ça me faisait rien hormis un léger rush et je me disais que au moins ça passait le temps....
Mais un soir, en pleine conso anarchique, alors que j'avais déjà pris je sais pas environ 8 mg ce jour la en plusieurs prises fractionnés je prend environ 2 mg de bupré, le fait fondre sous ma langue et.....
BOOOOOOMM ! Un manque du genre EXTRÊME s'empare de moi , un truc de fou , j'avais jamais été aussi en manque, limite je ne pouvais plus bouger, j'avais l'impression d'être dans la phase terminale d'une énorme grippe.
Ça s'est calmer en environ 3 heures.
Je me suis dit "j'ai du faire une connerie, prendre de la codéine par inadvertance ou quoi".
Environ 1 an plus tard, j'ai repris ce genre de conso de bupré bordélique, 4 mg toutes les 6 heures environs.... Et j'ai eu exactement les même effets au bout de quelques jours ! Gros manque.
C'est comme si un moment mon corps s'était dit "Oulah trop de bupré, hop hop hop on passe en mode antagoniste".
Alors voila mon interrogation , j'ai l'impression que ce phénomène se produit lorsque je prend des grosses doses de bupré environ toutes les 2 h sur 2 a 3 jours.
J'ai l'impression qu'il n'y a rien qui explique ce phénomène mais il est réelle ! Et je n'avais vraiment pas pris d'autres opis avec le sub j'en suis certains, le doute était permis la première fois mais la deuxième fois j'en étais certains.
Il y a quelques années de ça quand j'étais sous Subutex je le prenais d'une façon extrêmement anarchique. Genre 4 mg toute les 2 heures, parfois en sniff, parfois en sublinguale.
Ça me faisait rien hormis un léger rush et je me disais que au moins ça passait le temps....
Mais un soir, en pleine conso anarchique, alors que j'avais déjà pris je sais pas environ 8 mg ce jour la en plusieurs prises fractionnés je prend environ 2 mg de bupré, le fait fondre sous ma langue et.....
BOOOOOOMM ! Un manque du genre EXTRÊME s'empare de moi , un truc de fou , j'avais jamais été aussi en manque, limite je ne pouvais plus bouger, j'avais l'impression d'être dans la phase terminale d'une énorme grippe.
Ça s'est calmer en environ 3 heures.
Je me suis dit "j'ai du faire une connerie, prendre de la codéine par inadvertance ou quoi".
Environ 1 an plus tard, j'ai repris ce genre de conso de bupré bordélique, 4 mg toutes les 6 heures environs.... Et j'ai eu exactement les même effets au bout de quelques jours ! Gros manque.
C'est comme si un moment mon corps s'était dit "Oulah trop de bupré, hop hop hop on passe en mode antagoniste".
Alors voila mon interrogation , j'ai l'impression que ce phénomène se produit lorsque je prend des grosses doses de bupré environ toutes les 2 h sur 2 a 3 jours.
J'ai l'impression qu'il n'y a rien qui explique ce phénomène mais il est réelle ! Et je n'avais vraiment pas pris d'autres opis avec le sub j'en suis certains, le doute était permis la première fois mais la deuxième fois j'en étais certains.
Sautez dans l'urinoir pour y chercher de l'or.
Je suis vivant et vous êtes morts - Philip K. Dick
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- Recklinghausen
- Adhérent PsychoACTIF
- Inscrit le 09 Mar 2015
- 6185 messages
Salut,
J'aurais plus tendance à penser à des effets secondaires indésirables ou à la dose de Buprenorphine qui n'est pas adaptée à ton organisme plutôt que ces symptômes soient dus à une multi prises tout au long de la journée.
J'imagine que tu es certains de ne pas avoir absorbé de molecules opiacés lors de la survenue de ces effets ?
Normalement, rien n'empêche la,prise en plusieurs fois.
Par exemple, le Temgesic ( Buprenorphine dosée à 0,2mg ) est un vieil,anti douleur ( de palier 3 ) et sa posologie peut être de 2 comprimés ( soit 0,4 mg ) en 3 prises ( approximativement toutes les huits heures ), et ce dosage peut être exceptionnellement augmenté à une prise toutes les 6 heures.
Après, comme chaque organisme est différent...
Mais rien n'explique un phénomène de manque.
Peut-être produis-tu des molécules opiacés de par toi même lorsque tu consommes souvent de la Buprenorphine ?
Se serait une explication mais qui ferait sursauter de leur chaise des professionnels de santé
Reck.
J'aurais plus tendance à penser à des effets secondaires indésirables ou à la dose de Buprenorphine qui n'est pas adaptée à ton organisme plutôt que ces symptômes soient dus à une multi prises tout au long de la journée.
J'imagine que tu es certains de ne pas avoir absorbé de molecules opiacés lors de la survenue de ces effets ?
Normalement, rien n'empêche la,prise en plusieurs fois.
Par exemple, le Temgesic ( Buprenorphine dosée à 0,2mg ) est un vieil,anti douleur ( de palier 3 ) et sa posologie peut être de 2 comprimés ( soit 0,4 mg ) en 3 prises ( approximativement toutes les huits heures ), et ce dosage peut être exceptionnellement augmenté à une prise toutes les 6 heures.
Après, comme chaque organisme est différent...
Mais rien n'explique un phénomène de manque.
Peut-être produis-tu des molécules opiacés de par toi même lorsque tu consommes souvent de la Buprenorphine ?
Se serait une explication mais qui ferait sursauter de leur chaise des professionnels de santé
Reck.
L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.
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- Mascarpone
- Vieux clacos corse pas coulant
- Inscrit le 19 Sep 2015
- 4222 messages
Ca n'a peut être rien avoir....
MAIS, je tiens quand même à dire, qu'ayant passé près de 10 ans sans rien du tout comme opi dans le corps (ni autre molécule d'ailleurs), il m'est arrivé, parfois, de me retrouver comme en manque...Avec tous les symptômes typiques que je connais bien...Soudainement...Comme ça
Ca m'est arrivé aussi lorsque je prenais de la codéine, même à petite doses mais que j'en attendais plus (les jours où ça n'allait pas trop et où plus ou moins consciemment j'attendais...Quelque chose, un effet, un rush et que ça ne venait pas ou pas comme je l'aurais voulu (la codéine étant une molécule capricieuse et les effets même à dose égale étant trés variables d'une prise à l'autre et d'un jour à l'autre...Sans compter que les dernières années, je m'en servais vraiment comme d'un tso, au point d'oublier régulièrement de les prendre....
Déduction de ces étranges phénomènes: Je pense que le cerveau est pour beaucoup dans les ressentis que nous pouvons avoir...J'ai d'ailleurs un pote qui ne touche plus aux opi depuis des lustres et qui me sort parfois qu'il n'est pas bien, comme en manque...On en rigole quand ça arrive, mais je crois qu'il n'hallucine pas, et que ça n'est pas si con que ça comme hypothèse...
MAIS, je tiens quand même à dire, qu'ayant passé près de 10 ans sans rien du tout comme opi dans le corps (ni autre molécule d'ailleurs), il m'est arrivé, parfois, de me retrouver comme en manque...Avec tous les symptômes typiques que je connais bien...Soudainement...Comme ça
Ca m'est arrivé aussi lorsque je prenais de la codéine, même à petite doses mais que j'en attendais plus (les jours où ça n'allait pas trop et où plus ou moins consciemment j'attendais...Quelque chose, un effet, un rush et que ça ne venait pas ou pas comme je l'aurais voulu (la codéine étant une molécule capricieuse et les effets même à dose égale étant trés variables d'une prise à l'autre et d'un jour à l'autre...Sans compter que les dernières années, je m'en servais vraiment comme d'un tso, au point d'oublier régulièrement de les prendre....
Déduction de ces étranges phénomènes: Je pense que le cerveau est pour beaucoup dans les ressentis que nous pouvons avoir...J'ai d'ailleurs un pote qui ne touche plus aux opi depuis des lustres et qui me sort parfois qu'il n'est pas bien, comme en manque...On en rigole quand ça arrive, mais je crois qu'il n'hallucine pas, et que ça n'est pas si con que ça comme hypothèse...
Dernière modification par Mascarpone (21 juillet 2017 à 12:42)
Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
Le pire con, c'est le vieux con, car on ne peut rien contre l'expérience!
Ce qui est bien chez les félés, c'est que de temps en temps ils laissent passer la lumière!
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- Terson
- BioHacker
- Inscrit le 25 Jul 2014
- 819 messages
Mais on produit tous naturellement des opiacés, les endorphines... 
Je suis certains de ne pas avoir consommé d'autres opis et puis théoriquement on peux parfaitement consommer d'autres opiacés par dessus la bupré.
D'ou le mystère, j'ai toujours pensé que l'explication c'était qu'a un moment avec ce genre de conso la bupré sature les recepteurs et commence a agir comme un antagoniste sous certaines conditions, mais évidemment si c'était l'explication je pense que ce serait connus.
Le mystère va perdurer je pense mais comme ce phénomène est puissant chez moi, je trouve ça bien d'en parler.
Je suis certains de ne pas avoir consommé d'autres opis et puis théoriquement on peux parfaitement consommer d'autres opiacés par dessus la bupré.
D'ou le mystère, j'ai toujours pensé que l'explication c'était qu'a un moment avec ce genre de conso la bupré sature les recepteurs et commence a agir comme un antagoniste sous certaines conditions, mais évidemment si c'était l'explication je pense que ce serait connus.
Le mystère va perdurer je pense mais comme ce phénomène est puissant chez moi, je trouve ça bien d'en parler.
Sautez dans l'urinoir pour y chercher de l'or.
Je suis vivant et vous êtes morts - Philip K. Dick
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- Mascarpone
- Vieux clacos corse pas coulant
- Inscrit le 19 Sep 2015
- 4222 messages
Terson a écrit
Mais on produit tous naturellement des opiacés, les endorphines...
Oui et??????
Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
Le pire con, c'est le vieux con, car on ne peut rien contre l'expérience!
Ce qui est bien chez les félés, c'est que de temps en temps ils laissent passer la lumière!
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- Terson
- BioHacker
- Inscrit le 25 Jul 2014
- 819 messages
Mascarpone a écrit
Terson a écrit
Mais on produit tous naturellement des opiacés, les endorphines...
Oui et??????
Je répondais simplement a Reckling. Je n'aime pas citer abusivement les messages.
Sautez dans l'urinoir pour y chercher de l'or.
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- Caïn
- PsychoAddict
- Inscrit le 04 Oct 2013
- 2003 messages
Une piste pourrait être celle d'un cachet daubé mais je vois mal comment. Ce serait fou qu'un cachet codéiné ait pu se mélanger avec d'autres jusqu'à se retrouver dans ta boîte. Mais bon...
Tu as aussi la possibilité d'avoir chopé une "vraie" grippe...
Il m'est arrivé de moins sentir une prise, je me suis demandé s'il y avait pu y avoir un sous-dosage. ça me paraît improbable. En revanche mon toubib m'a dit que le sub qui se vend dans la rue est très peu fiable. Mais je le soupçonne de me dire ça pour me dissuader de faire des extras en allant acheter illégalement du sub.
Tu as aussi la possibilité d'avoir chopé une "vraie" grippe...
Il m'est arrivé de moins sentir une prise, je me suis demandé s'il y avait pu y avoir un sous-dosage. ça me paraît improbable. En revanche mon toubib m'a dit que le sub qui se vend dans la rue est très peu fiable. Mais je le soupçonne de me dire ça pour me dissuader de faire des extras en allant acheter illégalement du sub.
La drogue c'est de la merde, surtout quand t'en as plus.
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- filousky
- Modérateur
- Inscrit le 14 Dec 2008
- 11530 messages
Caïn, un comprimé de codéine ou de la came après la prise de Subutex ne provoque pas de manque du tout, juste tu ne la sens pas.
C'est dans le sens inverse que le manque arrive, chose que Terson sait puisqu'il l'a écrit.
Amicalement
Fil
C'est dans le sens inverse que le manque arrive, chose que Terson sait puisqu'il l'a écrit.
Amicalement
Fil
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Si tu pisses contre le vent, tu vas mouiller tes sandales !
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- Caïn
- PsychoAddict
- Inscrit le 04 Oct 2013
- 2003 messages
Ben si un comprimé de codé s'était glissé dans le stock de Terson, il aurait senti le manque au moment de la prise suivante de subu, donc il l'aurait pris avant... Il était dans des prise multiples.
Mais bon cette histoire est en effet dure à expliquer.
Mais bon cette histoire est en effet dure à expliquer.
La drogue c'est de la merde, surtout quand t'en as plus.
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