Aide sevrage valium

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Nico0 homme
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Bonsoir,

Voilà je suis en sevrage de benzo et c’est très très dur.

Je suis actuellement à 36 gouttes répartis en 3 prises :

Soit : 12 gouttes le matin / 12 g à 14h et 12 gouttes le soir vers 21h30.

J’ai bien essayé la diminution par palié comme indiqué mais je n’y arrive plus.

J’ai même essayé de remonter ma dose et essayé de stabilisé mais rien à faire. Plus aucune zone de confort ...

J’ai pris du magnésium, oméga 3, j’ai suivi des séances d’acupuncture et même la TCC.

J’ai d’énormes symptômes.

J’ajoute que j’ai perdu mon emploi a cause de mon état.

Merci pour votre aide.

Quand Dieu créa le monde, il devait fumer une clope.

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Nico0 homme
Psycho junior
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Alors pas de compagnon de galère dans les benzos.

J’ai eu mon addicto encore aujourd’hui, il m’a pas rassuré, à priori c’est le truc le plus dur à arrêter.
Plus dur que la cocaine, héroïne, crack car on pouvait rien donner et que les symptômes de manques sont les plus longs :
Minimum 1 mois mais généralement 6 mois avec intensité ++++ et jamais d’alcamie pendant ce temps.

Finalement autant continuer ...... ça pue cette histoire

Quand Dieu créa le monde, il devait fumer une clope.

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madg homme
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Salut,

Les benzos sont la seule addiction que j'ai du avoir. Je compatis, c'est très dur. Tout ce que jep eux dire c'est que une fois que c'est passé, c'est passé. Je me suis senti revivre après. En revanche y a eu une période dure à base d'insomnies / sueurs froides etc...

Tu en as pris pendant combien de temps ? Depuis quand es-tu en sevrage ?

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Nico0 homme
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Salut MADG !

Ouf une réponse !

J’en prend depuis 7 ans
J’ai basculé sur une demi vie longue depuis 1an mais en fait j’arrive pas à baisser.

Trop dur, mon addicto c’est plus quoi faire ! Impossible de trouver une dose ou je suis normal !  J suis dans le mal depuis ..... 1 an et la j’ai de gros signe dépressif ( certainement du a la durée de souffrance

Comment tu as fait toi ?

Merci

Quand Dieu créa le monde, il devait fumer une clope.

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Nico0 homme
Psycho junior
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Si des personnes ont vécus des effets paradoxaux liés à un médicament je suis preneur car je prends un truc pour l’anxiete Et j’ai des angoisses ++++

Quand Dieu créa le monde, il devait fumer une clope.

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Nico0 homme
Psycho junior
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Sérieux y’a personne qui a connu la galère des benzos ?

Je vous crois pas lol

Allez booster moi

Quand Dieu créa le monde, il devait fumer une clope.

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Cusco homme
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Salut Nico,

Je suis actuellement sous traitement de valium 10mg à raison de 3/jours
Ce que je fais je les prends par moitié, jamais le générique mais le valium Roche, car je le laisse fondre sous la langue chose compliquée avec le générique.
Du coup j'ai réussi à diminuer en prenant une moitié toutes les 3-4 heures, il m'arrive même de ne prendre que 2 moitiés. Donc 10mg par jour. Sans aucun signe de manque.
Par contre je n'ai jamais arrêté complètement.
Je suis passé du Seresta 50mg au valium 10mg sans problème. Ma doc me prescrivait du Seresta et magnésium pour l alcool. Après une traversée du désert je ne suis plus dépendant de l'alcool mais il a fallu changer de benzo pour éviter justement un syndrome de sevrage.
Je ne connais pas réellement les effets secondaires d un arrêt total du Diazepam mais je pense un jour y arriver. Pour le moment je ne vois pas l intérêt d arrêter, tes posts ont attisé le fait d arrêter chez moi.
Mais je pense qu'il ne faut pas se presser, diminuer progressivement quand tu te sentiras vraiment en forme pour le faire.
Désolé de ne pas répondre tout à fait à ta demande mais je t apporte mon expérience à ce sujet peut être qu'il te sera utile.
En attendant je te souhaite bon courage.
Cordialement.
Cusco

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Nico0 homme
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Salut CUSCO !

Merci pour ton passage et ton témoignage.

Je te félicite énormément pour ton sevrage à l’alcool !

Tu as du faire preuve de force de caractère que seul les gens qui connaissent cette enfer peuvent comprendre !

J sais pas comment tu fais pour ne rien ressentir comme effet en baissant de moitié car c’est quand même pas rien.

Tu prends d’autre médoc à côté à ce jour, ou juste le valium ?

Merci d’avance pour ton retour,

A bientôt

Quand Dieu créa le monde, il devait fumer une clope.

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prescripteur homme
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Bonjour, en prenant du Valium gouttes tu es dans la meilleure configuration pour baisser progressivement ta consommation de BZD.....Si c'est approprié et manifestement ça ne l'est pas, du moins pour le moment.
Tu parles de dépression, or le valium est un anxiolytique pas un anti-depresseur. D'autre part les BZD peuvent avoir un effet desinhibiteur notamment vis à vis des envies suicidaires.
Donc je dirais que ton traitement actuel est mal adapté (à cause de toi parce que tu refuses certains soins, de tes médecins , c'est toi qui peut répondre). Nous ne pouvons évidemment pas à PA nous substituer à tes soignants.
Donc, gardes ta dose de valium et essaie de trouver le médecin qui te conviennes, qui te comprennes mais aussi que tu comprennes et avec qui tu vas négocier ton traitement.
Si tu crois qu'il existe la "pilule miracle" pour sortir de ton état, tu risque d'attendre longtemps, donc cherche la plutot dans tes relations avec les soignants.
Et dis toi bien que, même si tu souhaites que les soignants aient une attitude différente, tu n'as pas de pouvoir sur eux mais le seul pouvoir réel que tu aies c'est sur toi. Donc pour améliorer le dialogue, ne cherche pas l'erreur chez l'autre mais cherche ce que tu peux améliorer de ton côté.
Amicalement

Dernière modification par prescripteur (01 décembre 2018 à  10:54)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Mascarpone homme
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prescripteur a écrit

Si tu crois qu'il existe la "pilule miracle" pour sortir de ton état, tu risque d'attendre longtemps, donc cherche là plutot dans tes re'lations avec les soignants.
Et dis toi bien que, même si tu souhaites que les soignants aient une attitude différente, tu n'as pas de pouvoir sur eux mais le seul pouvoir réel que tu aies c'est sur toi.
Amicalement

C'est exactement ça!
Et comme le dit aussi prescripteur, si tu as des symptômes de dépression, c'est pas une benzo, quelle qu'elle soit qui va t'aider à aller mieux...

Au sujet des benzos, tu poses aussi la question de l'angoisse, mais c'est là aussi un effet bien connu et la limite des benzos : Au bout d'un moment, elles ne sont plus efficaces contre l'anxiété et peuvent même avoir un effet rebond et contraire en dédoublant les angoisses qui t'ont fait les prendre au début...
Les benzos n'ont jamais été un traitement efficace et définitif contre l'angoisse (ce que trop de patients imaginent encore), elles peuvent être une béquille pour certains, le temps d'entamer une vraie thérapie avec un psy et peut être, aussi, de modifier sa vie wink

Amicalement

Dernière modification par Mascarpone (01 décembre 2018 à  11:32)


Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
Le pire con, c'est le vieux con, car on ne peut rien contre l'expérience!
Ce qui est bien chez les félés, c'est que de temps en temps ils laissent passer la lumière!

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Cusco homme
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Salut Nico
Pour répondre à ta question je prends d autres médicaments :
- méthadone entre 30 et 40mg, parfois + pour un extra (mon ordonnance me le permet une ou deux fois dans le mois ce qui n'augmente à peine ma tolérance)

-  Théralène pour dormir, 30/40 gouttes selon mon état de fatigue

- Maviret : traitement contre le VHC ce qui entraîne beaucoup de fatigue par moment

- valium comme expliqué ci dessus
- baclofene : plus pour l alcool mais pour le craving de cocaïne, inutile à petites doses je n'en prend presque plus seulement quand l'envie de boire se fait bien ressentir. Ça me travaille encore le cerveau mais je bois une bière de temps en temps, mais fini les bitures surtout avec les benzos. Ça finit souvent au tribunal (souvent est un bien grand mot j'y suis allé il y a 3 ans et j'y retourne dans 2 semaines, vol de nourriture. Je suis un piètre voleur je me fais prendre à chaque fois. Alcool + benzos no good fache-non-non
Alors mine de rien ça fait pas mal...
Pour en revenir au valium, je vais demander au médecin de mon CSAPA comment s'y prendre pour arrêter, si il faut y aller à tâtons ou changer de médocs moins forts mais comme je te disais rien ne presse.
En ce moment j évite les extras, quoique j'ai pris un Taz il y a peu de temps j'ai dormi plus de 24h après. Je culpabilise, comme toujours après, car je ne veux pas foirer mon traitement contre le VHC.

Pour le sevrage d'alcool crois moi ça a duré des années avec beaucoup de rechutes le baclofene m'a bien aidé à l époque où la dose n'était pas limitée à 80mg/jours. De mémoire je prenais  150/200mg par jour.
Je te souhaite d'être patient et de réussir.
Je reste abonné à la discussion si tu as d'autres questions ou tout simplement te lire.
Rome ne s'est pas faite en un jour...
Courage.

PS : j'ai oublié le dicodin pour douleurs sciatiques et lombaires, 2/jours dose inutile je n'en prend qu'en cas de douleurs intenses (5 d'un coup)

Dernière modification par Cusco (01 décembre 2018 à  11:10)

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filousky homme
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Nico0 a écrit

Alors pas de compagnon de galère dans les benzos.

Nico0 a écrit

Ouf une réponse !

Nico0 a écrit

Sérieux y’a personne qui a connu la galère des benzos ?

Ce ton que tu utilises sur ce thread est légèrement "victime ignorante", tes autres posts sur les autres threads traitant du sujet benzodiazépines étant plutôt de bons conseils donnés. Tu dis être "dans le mal" depuis un an avec trois fois 4 mg par jour. Ton dosage n'est pas énorme et c'est d'autant plus difficile d'arrêter que l'anxiété généralisée est toujours présente. C'est un non-sens lié à l'application stricto sensu d'une méthode de sevrage sans prendre en compte l'intérêt et/ou la finalité du dit sevrage.

Les amis ont bien marqué le point antidépresseur qui manque cruellement, à priori, sur ton cas. L'expérience que je vis est que quand je diminue mon antidépresseur, l'anxiété remonte  vite et ma consommation de valium aussi. Dont acte !

Mon expérience avec les benzodiazépines. Il y a trente ans, j'ai vécu un sevrage sec de 300 mg de tranxène/jour (depuis 2 bonnes années, prescrit par un psy). J'en ai chié pendant 2 ans.

Se passent plus de dix ans sans besoin de psychotropes. Et puis, tracas de la vie, je reprends A.D (Zoloft) et benzodiazépines sous la forme de xanax, pris pendant 5 ans au même dosage. Au bout de 5 ans, j'ai switché sur le Valium pour commencer une diminution du dosage et ça a bien marché jusqu'à un plancher au delà duquel je ne suis pas bien. 

Aujourd'hui, je consomme entre 3 et 6 mg de Valium par jour en une fois le soir avant le coucher (générique à 2 mg), ayant appliqué la méthode que tu prônes sur les autres threads.

À côté je prends du Zoloft 50 mg (antidépresseur) le matin et 100 mg de méthadone/jour, le tout accompagné de cannabis (thérapeutique dans mon cas) qui m'a permis cette diminution drastique des benzodiazépines (j'étais à 20 mg de Valium il y a quelques années).

Fil

Dernière modification par filousky (01 décembre 2018 à  11:28)


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Si tu pisses contre le vent, tu vas mouiller tes sandales !

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Nico0 homme
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Salut FILOUSKY,

Je te remercie pour ta réponse pleine de logique en réalité.

En fait la difficulté que j’ai pu rencontré lors de cette année, et je te rejoins sur l’appui en parallèle d’un AD.

Chose que j’ai essayé de faire mais sans résultat avec bien entendu un suivi régulier auprès d’un psy qui à la longue m’a paru désemparé devant mon cas.

Les AD essayé : SEROPLEX, CYMBALTA, EFFLEXOR, DEROXAT et enfin le ZOLOFT que j’ai extrement mal supporté sans oublié le BUSPIRONE ( ce n’est pas un AD ) mais qui m’a encore plus enfoncé je ne saurais l’expliquer.

L’arrêt du tranxene que tu as vécu à sans aucun doute dû être un calvaire, un enfer, c’est tous simplement de la folie, et puis encore deux ans à souffrir c’est ce qu’ont peut appeler le syndrome de symptômes prolongés, très classiques avec les benzos a priori, mais tu as surtout eu de la chance de ne pas passer l’arme à gauche comme on dit.

La question qui me semble essentiel est :

Les anxiolytiques à long terme ne sont ils pas nocif ? Augmentation de l’anxiété, sommeil perturbé, etcccc

Car dans mon cas, au départ j’etais Anxieux comme Mr Tous le monde est au fil des années cette anxiété a augmenté de façon extraordinaire.

Tu dis prendre soit 3 ou 6 mg ( dose faible ) mais c’est quand même jongler avec 50% d’ecart à chaque fois.

Ne vaudrait il pas mieux augmenté l’AD et réduire par palier de 1 mg le valium ?

Car plusieurs thèses appui le fait que les anxiolytiques en général ne sont en réalité efficace que sur quelques mois.

idem pour les somnifères qui a long termes sont inefficaces d’apres de nombreuses recherche sur mon ami Google.

Alors sommes nous en droit de penser que ceux que nous prenons pour une aggravation des symptômes ou d’un trouble anxieux, panique, phobique  soit en réalité due au médicament lui même ?

Effet rebond ? Paradoxal ?

Désolé pour la longueur de ma réponse.

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Nico0 homme
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Pardon j’ai oublié de répondre à prescripteur et MASCARPONE, je viens de relire avec attention vos réponses et je suis à ce jour 100 % d’accord avec vous.

Je parle de dépression dans le sens où la durée, difficulté du sevrage ( dans mon cas ) m’a plongé dans une dépression.

La question est : Est elle iatrogène suite à la sévérité des symptômes que j’endure depuis des mois ?

Prescripteur : tu parles de l’effet deshnibiteur des anxios mais j’en prend depuis des années et cet effet arrive généralement en début de traitement. ( ce n’est pas une affirmation )

Cet effet je l’ai bien connu avec l’introduction du ZOLOFT ( pulsion suicidaire + phobies d’impulsion), la psy a quand même commencé le dosage à 75 mg jour, de par expérience ne doit on pas commencer par la dose la plus faible à savoir 25 mg pour cette ad ?

Suite à l’arrêt du Zoloft au bout de 12 jours de prise, mon addictologue a décidé 15 jours après d’ introduire le buspirone, catastrophe !!!
Pâleur, tremblement, j’ai eu 1 hallu ( insecte  sur le sol ), il n’y avait rien, je pleurais, agressif, insomnies, réveil matinal avec angoisse ++++.

En cherchant sur internet, j’ai remarqué que mes symptômes ressemblaient à un syndrome sérotoninergique.

Direct à l’hopital Purpan en urgence ( bien réputé comme hôpital quand même )

J’explique mon cas, au final pas une prise de sang, aucune prise de température, pas de tension, pas d’electrocardiogramme, rien !

J’ai jamais vu ça !

Conclusion de l’examen : sevrage benzo !

Depuis la pris du Zoloft j’ai perdu sommeil et pensée intrusives qui m’angoisse énormément ceux 3 mois après.

Question ? Mon cerveau est il grillé ? Peux ton qualifié mon état de stres post traumatique ?

J’ai rdv ce lundi avec mon addicto et en parallèle contacter le CSPA de ma ville.

La thérapeute qui me suivait m’a dit : il vous faut être stable pour une thérapie et je suis loin de l’être.

Peut être essayer un AD ancienne génération tryciclique ?

J’attend votre avis et merci encore !!

Quand Dieu créa le monde, il devait fumer une clope.

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prescripteur homme
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L'association zoloft buspirone est en effet à risque de syndrome serotoninergique. Mais s'il y a bien eu 15 jours entre les deux ça n'aurait pas du entrainer de problème.

De nombreux patients ont du essayer plusieurs AD avant de trouver le bon, quand même ils y arrivent. Donc, à discuter avec tes soignants !
Amicalement

Dernière modification par prescripteur (01 décembre 2018 à  19:43)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Nico0 homme
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Merci prescripteur !

Ce qui est désolant c’est qu’à aucun moment ni l’addictolgue ni l’urgentiste n’est fait le rapprochement et que ce soit le malade après recherche sur Internet qui fait son diagnostic seul et qui s’avère peut être bon !

Oui je sais pour les Ad qu’il faut parfois en essayer plusieurs c’est pourquoi je te demandais ton avis pour les trycicliques ?

Le danger avec la psychiatrie c’est qu’elle est à mon sens empirique comme la prison peut être criminogène.

On touche quand même au cerveau qui reste à ce jour très peu connu mais c’est un autre sujet.

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Le danger avec la psychiatrie c’est qu’elle est à mon sens empirique

Oui c'est clair. C'est pourquoi il est difficile de prévoir l'effet des médicaments, notamment des AD. Les tricycliques peuvent etre une solution mais il est donc difficile de dire à l'avance s'ils seront meilleurs.
Je pense que, sur l'anxiété, des pratiques comme la méditation peuvent etre assez efficaces.
Amicalement


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Mascarpone homme
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prescripteur a écrit

Je pense que, sur l'anxiété, des pratiques comme la méditation peuvent etre assez efficaces.

Voilà, c'est un peu ce que je voulais faire passer wink et il existe aussi tout un tas de techniques non médicamenteuses qui ont une éfficacité certaine...Simplement, c'est plus long et il te faut trouver celle(s) qui te convient le mieux. Mais je peux t'assurer, si je prend rien que mon cas personnel, que ça fini par marcher (et je suis quand même passé par des périodes, jusqu'à 6 mois d'affilés, sans pouvoir sortir de chez moi seul tant je faisais des attaques de panique, à la fin, j'arrivais même à en faire chez moi...) et comme je l'ai toujours refusé, je n'ai JAMAIS, pris une seule benzo pour essayer de me sortir de ces angoisses: les seuls "médocs" que j'acceptais c'était la phytothérapie et l'homéopathie (autant dire, vu mon état, du placébo big_smile )

Moi, c'est un psy qui m'a aidé et une grosse prise de conscience sur ma vie de l'époque...Je pense que l'angoisse et les attaques de panique étaient provoquées par mon cerveau par l'intermédiaire de mon corps pour me dire:" Eh coco! ça fait des années que tu te voiles la face pour ne pas agir et réagir contre des tas de trucs qui ne vont pas dans ta vie! cesses de faire le mort et...Bouge! big_smile" et, le pire, c'est que c'était vrai! Je m'obligeais à supporter des trucs totalement contraires à mes idéaux, tout ça par peur de l'inconnu et manque de confiance en moi.

Dès que j'ai commencé à me mettre des coups de pied au derche et à agir (même si au début les actions étaient aussi insignifiantes qu'un coup de fil à la cpam, par exemple), ça a commencé à aller mieux. Toujours encouragé par ce psy, au moindre progrès et à la plus petite action.

Et, je connais au moins 3 personnes, dont une trés proche, qui elles, ont opté pour les benzos et juste ça depuis près de 25 ans eek , ben, elles en sont, au mieux, toujours au même point et au pire, encore plus angoissées et phobiques, et avec l'addiction aux benzos en prime...Quand moi, je vais de mieux en mieux...Déjà, je suis bien moins angoissé qu'avant et surtout, quand je sens venir la crise (rarement aujourdhui), j'arrive de mieux en mieux à la gérer voire à la circonscrire dans l'oeuf...

La méditation, l'acupuncture, l'hypnose, l'EMDR, la tcc avec un psy qui te convient (j'en ai testé une bonne dizaine avant de trouver le mien) , etc etc tout ça ce sont des pistes sérieuses pour te soigner.

Et si je peux ajouter, pour moi, la chose qui a été la plus importante et a vraiment créé LE déclic vers la guérison c'est : AGIR! Ne surtout pas rester dans la rumination et l'anticipation. Agir, même si au début, il ne s'agit que de toutes petites choses qui peuvent paraitre insignifiantes à la majorité. Perso, j'étais trop dans le "réfléchir" et pas assez dans le "faire". Quitte à se planter, comme on dit, il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne font jamais de conneries.

Amicalement


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prescripteur homme
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Et si je peux ajouter, pour moi, la chose qui a été la plus importante et a vraiment créé LE déclic vers la guérison c'est : AGIR! Ne surtout pas rester dans la rumination et l'anticipation. Agir, même si au début, il ne s'agit que de toutes petites choses qui peuvent paraitre insignifiantes à la majorité. Perso, j'étais trop dans le "réfléchir" et pas assez dans le "faire". Quitte à se planter, comme on dit, il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne font jamais de conneries.

Et, comme dit Lao Tseu "Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas.”

http://surlechemindesoi.blogspot.com/20 … e-par.html

  Amicalement

Dernière modification par prescripteur (02 décembre 2018 à  11:55)


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Nico0 homme
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Bonjour,

Je tenais à vous remercier, j’ai rendez vous demain avec mon addictologue et vais convenir avec lui d’une nouvelle approche.

Essayer l’intégration d’un AD tryciclique vu l’echec des AD nouvelles générations.

Lui demander si le sevrage en hospitalisation libre est elle une bonne solution ? Dans le sens où certe je serais sevrer physiquement mais absolument pas psychologiquement et psychiquement et c’est bien le plus dur dans un post sevrage enfin je pense n’en n’ayant pas connu.

Merci MASCARPONE pour ton soutien :

Je vais en parallèle essayer l’hyponose et l’EMDR, malheureusement l’acuponture Et une TCC brève n’ayant pas donné de bon résultat.

Contacter un nouveau Nathuropathe pour essayer à nouveau de creuser de ce côté.

Et enfin appeler le CSPA de ma ville.

C’est peu mais c’est un début ! Comme tu m’a dit.

Merci prescripteur également, je viendrais vous donner de mes nouvelles bien entendu suite au rdv avec l’addicto

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Mascarpone homme
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Nico0 a écrit

l’acuponture Et une TCC brève n’ayant pas donné de bon résultat.

Suivant l'acupuncteur et le psy, par expérience wink , les résultats peuvent aller de nuls à tops...Le plus difficile, c'est de trouver le BON thérapeute je crois que c'est plus important encore que la technique en elle même...

Bon courage!


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Cusco homme
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Salut Nico
En lisant un de tes autres posts tu dis que tu ne bois pas du coup excuse moi d'avoir mal lu ou mal compris.
C'est pour ça que j'ai autant détaillé sur le sujet alcool.
Prends soin de toi et porte toi bien surtout.
Moi je m apprête à partir faire une prise de sang pour le suivi de mon traitement VHC + les CDT (alcool) que mon avocat demande pour mon dossier je passe au tribunal la semaine prochaine. Je ne m inquiète pas pour l alcool et on ne m'a demandé aucun autre dépistage.
Bye, bonne journée et bonne semaine.
Cusco

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Nico0 homme
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MASCARPONE,

Je te cite :

< Le plus difficile, c'est de trouver le BON thérapeute je crois que c'est plus important encore que la technique en elle même... >

Ne faut il pas être stable psychologique pour entamer une bonne thérapie ?

Car ma Psychoterapeute m’a clairement dit qu’il est difficile d’avoir des résultats positifs en étant dans le mal car pas assez lucide, pas de recul, pas de positivisme.

L’introduction d’un AD me semble donc adéquat au vue des circonstances ?

A bientôt

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Mascarpone homme
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Nico0 a écrit

Ne faut il pas être stable psychologique pour entamer une bonne thérapie ?

Il ne s'agit pas d'une psychanalyse, mais d'une thérapie cognitive et comportementale, et le but, justement, contrairement à une psychanalyse, c'est d'obtenir des résultats rapidement sans aller forcément  au fond et aux racines du mal...

Mais là, je parle d'anxiété, pas de dépression ni de TON cas particulier qui, vu où tu en es, passera forcément plus ou moins rapidement par un sevrage de benzo...

Toujours est-il que la prise d'une benzo sur une longue période et sans traitement de fond réel de ta pathologie ne pourra que te mener dans le mur un jour ou l'autre sans aucun bénéfice sur ta santé et ton équilibre.

La 1ere chose, comme déjà dit plus haut, c'est de te trouver un thérapeute qui TE convienne et qui t'aide à mener à bien ce sevrage avec le moins de désagréments possibles et en ne mettant pas bêtement de côté, les raisons qui t'ont amené à bouffer des benzos sans  essayer de les  soigner correctement (rappel: les benzos ne guérissent rien du tout), de plus, il faudrait aussi déterminer si tes symptômes dépressifs sont induits uniquement par le sevrage ou si tu as réellement un début de dépression (et, auquel cas, y remédier aussi).

Bref, ya du boulot wink et en premier lieu, il te faut faire la chasse à TON bon thérapeute (voire, pourquoi pas, TES thérapeutes, car rien n'empêche de faire de la méditation, de l'acupuncture une tcc et une emdr à la fois...)qui pourra t'aider et collaborer avec toi à ta propre guérison.

Amicalement

Dernière modification par Mascarpone (03 décembre 2018 à  11:33)


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Bonjour,

Car ma Psychoterapeute m’a clairement dit qu’il est difficile d’avoir des résultats positifs en étant dans le mal car pas assez lucide, pas de recul, pas de positivisme.

Je pense en effet qu'elle est plus dans une démarche d'inspiration psychanalytique.
La méditation, par exemple, ne revendique pas une action thérapeutique directe mais "simplement" une autre façon d'être soi, qui a souvent au surplus des effets thérapeutiques.


https://www.relaxationdynamique.fr/medi … technique/

La pratique de la méditation de pleine conscience ne se limite pas au temps des séances, elle passe également par un mode de vie basé sur des attitudes. Des façons d’être qu’il nous faut apprendre à cultiver, chacun à sa façon, pour atteindre le véritable objectif de cette démarche… qui n’a rien à voir avec le fait de vous abonner à tel site ou utiliser telle application.
Les attitudes de la pleine conscience

La méditation de pleine conscience met en avant 12 attitudes qu’il nous faut apprendre à cultiver, à développer en parallèle des aspects purement techniques de la méditation

méditation - attitudes

le non jugement
la gaieté
l’acceptation
l’ouverture
l’esprit du débutant
la curiosité
la patience
la gratitude
la confiance
le pardon
le non-effort

En nous penchant sur ces attitudes, ce qu’elles représentent pour nous, la façon dont nous souhaitons les développer, la valeur que nous leur donnons, nous créons les conditions propices et nourrissons nos méditations.

Sans cette approche réflexive, qui fait appel à la connaissance, à l’acceptation de soi, mais aussi au projet de construction de soi, les meilleures séances de méditations guidées ne sont que des outils vides de sens.

Accepter d’inclure consciemment ces attitudes dans son mode de vie, c’est donner de la profondeur et de la permanence à cette démarche. C’est passer d’un cycle d’expériences courtes et répétitives, à un cycle continu de construction de soi, dans la durée.

De même, en adoptant cette approche, la méditation – ou toute autre technique – cesse de devenir une fin en soi pour reprendre sa place d’outil. Elle cesse d’être un but en soi pour redevenir un moyen, parmi d’autres, d’atteindre votre objectif : vous construire, autour de vos valeurs.

C’est aussi la fin des sempiternelles questions de savoir « comment » procéder, si le geste est bon, si l’on est bien assis, si la posture est bonne, si l’on respire correctement… toutes ces interrogations perdent leur sens, car en définitive : seul l’objectif compte !

Vous êtes la seule personne à savoir si vous avez atteint ou pas cet objectif et, le cas échéant, ce qu’il faut encore travailler pour y arriver, à votre rythme. Vous avez reconquis votre autonomie de pensée.

https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9di … sant%C3%A9
http://apprendre-a-mediter.com/



Comme je te l'ai dit plus haut un voyage de mille lieues commence par un premier pas.
Ce premier pas apparait souvent dérisoire mais il est essentiel.
Par contre je ne suis pas d'accord avec Mas, mais c'est peut etre que je l'ai mal compris.

La 1ere chose, comme déjà dit plus haut, c'est de te trouver un thérapeute qui TE convienne et qui t'aide à mener à bien ce sevrage avec le moins de désagréments possibles et en ne mettant pas bêtement de côté, les raisons qui t'ont amené à bouffer des benzos sans  essayer de les  soigner correctement (rappel: les benzos ne guérissent rien du tout), de plus, il faudrait aussi déterminer si tes symptômes dépressifs sont induits uniquement par le sevrage ou si tu as réellement un début de dépression (et, auquel cas, y remédier aussi).

Je crois que la priorité est de corriger d'abord les causes de ton recours aux BZD et ensuite en effet de te sevrer.

Amicalement

Dernière modification par prescripteur (03 décembre 2018 à  11:53)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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prescripteur a écrit

Je crois que la priorité est de corriger d'abord les causes de ton recours aux BZD et ensuite en effet de te sevrer.

C'est évident super je me suis sans doute mal exprimé wink Mais c'est pour ça aussi que j'ai mis en aparté son cas personnel:

Je voulais dire :

1ére chose à faire pour lui, trouver SON bon thérapeute (ou SES) qu'il soit psy, acupuncteur, hypnothérapeute, expert en emdr ou, que sais je encore! (à lui de tenter et de trouver)

Et avec son (leur) aide, trouver le chemin de la guérison et, forcément, un jour ou l'autre (une fois guéri, bien sûr) entamer le sevrage dans les conditions optimum...

Dans MON cas, évidemment, vu que j'avais refusé catégoriquement toute aide chimique, le cheminement n'était pas tout à fait le même (je n'avais pas la problématique d'un quelconque sevrage à envisager un jour), mais bien sûr, s'il ne va toujours pas bien (voire même plus mal) c'est vraiment pas la priorité que de s'engager dans un sevrage (une modification du traitement, par contre serait peut être à envisager, mais ça, c'est à voir avec un BON thérapeute.

Amicalement


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Nico0 homme
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Bonsoir à tous,

Merci pour vos retours.

Compte rendu du RDV avec addictologue.

Étant donné la très mauvaise réaction initié par la l’intégration du zolfot ( pulsion suicidaire ) par le dernier psy ( 75 mg dés le premier jour ) au lieu des 25 mg préconisé, l’addictologue me propose :

Abondon du sevrage dans l’immédiat ( stabilisation à la dose actuelle )

Mise en place d’un nouveau traitement AD.

Prise en charge en hospitalisation libre en hôpital en service psychiatrie pendant l’intégration du nouvelle AD.

Étant donné ma non réceptivité sur les AD nouvelles générations, il s’orienterait sur un tryciclique.

Il préfère me garder sous surveillance par mesure de sécurité et adapter au jour le jour selon les symptômes ( je crois qu’il m’aime bien car il voit les efforts que j’essaie d’efectuer depuis 1 ans ).

M’a conseillé d’essayer l’ATARAX 25 entre 1 à 3 comprimés  par jour.

Voilà il doit me rappeler pour les disponibilités.

Qu’en pensez vous ?

Merci d’avance.

Quand Dieu créa le monde, il devait fumer une clope.

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prescripteur homme
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Très bien. Bravo. Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Nico0 homme
Psycho junior
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Merci prescripteur !

J’espere que je prend la bonne décision !

Rdv avec Nathuropathe vendredi, je viendrais vous dire également le compte rendu : si cela peut être utile juste à 1 personnes c’est déjà bien !

Bonne soirée

Quand Dieu créa le monde, il devait fumer une clope.

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Mascarpone homme
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Super! Je crois que tu es sur la bonne voie wink

Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
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