question con ! mais pourquoi on se drogue ??

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#1 
ekko
Nouveau membre
09 novembre 2011 à 09:05
certaine personne on plusieur facon pour la quel il utilise la drogue ... j aimerai savoir pour quel raison se drogue t'on

un pied sur terre l'autre sur la lune et ma pensé dans l'univers
^^

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La seule réponse universelle qui puisse exister face à  une telle question est : parce que c'est bon.

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#3 
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LLoigor homme
Modérateur a la retraite
09 novembre 2011 à 11:22
plus-un tongue

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Je plussoie les modos. On prend de la drogue parce qu'après on se sent BIEN, putain!!

La marge, c'est ce qui tient la page (Jean-Luc Godard)

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#5 
Hasta
Nouveau Psycho
09 novembre 2011 à 16:19
je l'ai déja dit ailleurs, mais je répète, et signe: c'est parce que c'est bon !!

"c'est celui qui s'égare qui découvre de nouveaux chemins", Njls Kajaer, poète norvégien

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#6 
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jade
Nouveau Psycho
09 novembre 2011 à 17:39
Je confirme; c'est parce qu' on se sent bien,et que pour moi,triste constatation,je ne parviens plus à  etre heureuse sans drogue ..!!!!

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#7 
m1977
Nouveau membre
10 novembre 2011 à 11:59
je vais surement me faire conspuer , mais aujourd'hui je pense qu'on se drogue parcequ'on a un  probleme avec l'affectif. Il nous est soit difficile d'aimer ou d'accepter d'etre aimé ce qui engendre une tristesse, une frustration et la drogue nous apporte du reconfort un peu de chaleur (beaucoup de chaleur) mais au bout d'un moment ça ne suffit pas et on doit faire un gros travail sur soi pour arreter de vivre avec cette bequille qui nous a servit un moment et qui finit par s'user.

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#8 
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LLoigor homme
Modérateur a la retraite
10 novembre 2011 à 12:02
Timothy Leary (et des dizaines et dizaines d'autres personnes : écrivains, psychologues, psychiatres, sociologues, bref tout le monde) ont pas mal écrit sur le fameux "Pourquoi" ...

Après en fonction de l'écrivain, chacun se retrouve plus ou moins dans ce qu'ils disent.

Mais "la drogue" c'est bien trop personnel pour ne tirer qu'une seule vérité.

A coté de cela, la seule qui elle met tout le monde d'accord : C'est parce que c'est bon ! :)

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On se drogue parce qu'on se sent mieux (au sens large) quand on en a pris snort . Ce n'est pas plus compliqué que ça rasta

La dope fait mieux passer les moments sans argent que l'argent, les moments sans dope.
(Fat Freddy in Freak's brothers)

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et pourquoi pas???

Demain c'est promis sur la drogue je tire un trait..  snort

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#11 
ekko
Nouveau membre
11 novembre 2011 à 09:55
oh oui c 'est c est bon mais seulment sur le moment malheureusement

un pied sur terre l'autre sur la lune et ma pensé dans l'univers
^^

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#12 
Bonnie D.
Courgette Masquée
11 novembre 2011 à 14:45
La question qui suit pourrait être :
Une fois qu'on "perd le contrôle", qu'il y a plus d'inconvénients que de bénéfices, pkoi continue t on a se droguer?

Parce qu'on est accro. Et c'est la que ça devient enervant...
A la base, ne pas se droguer / se faire du bien, ça peut paraître masochiste. Mais quand la drogue nous fait + de mal qu'autre chose, c'est une autre affaire.
Par ex, la coke fumée ou shootée. Même si c'est super bon qques secondes, c'est hyper bad pendant la looongue descente. Alors continuer à  faire des "sessions", c'est pas vraiment logique (mais je suis la première à  me faire avoir...).

La question je trouve, c'est pkoi untel va etre plus "atteint" qu'un autre. Le pkoi de la dépendance, on est manifestement pas tous égaux.
Tout le monde va trouver ça bon, mais certains vont se contenter d'un plaisir occasionnel. C'est la qu'entre en compte les considérations médico-psycho-sociales...
Ça vient du patrimoine génétique? De l'environnement social? De l'état psychologique? ...

Il y a une théorie américaine, je crois, qui dit que la dépendance résulte de la rencontre de 3 "éléments" : 1 personne, 1 produit, 1 situation. Ils representent ça par 3 cercles qui se "rencontrent", et la dependance c'est la zone où les 3 cercles se superposent.
Je ne sais pas ce que vaut cette théorie, mais c'est plutôt crédible. En gros, si l'un des 3 éléments était différent (l'individu, la drogue ou l'environnement) le processus de dépendance n'aurait pas été le même.
C'est un peu une synthèse des différentes réponses proposées.

Dernière modification par Bonnie D. (11 novembre 2011 à 15:20)


Pleine de bonne volonté et de conneries....
[ Mais âmes sensibles, s'abstenir... Je suis un vrai serpent!
Pssss, psssss... : Je danse comme un cobra. surpris ]

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#13 
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Bicicle
Rat de laboratoire
11 novembre 2011 à 15:11
Moi je ne suis pas d'accord avec vous.

Il ne me semble pas qu'on se drogue "parce que c'est bon", on se drogue parce qu'on aimerait aller bien.

La réponse de clemz aussi vaguement formulée soit-elle, est parfaitement juste : pour répondre à  la question "Pourquoi se drogue t-on ?", il me semble qu'il faille d'abord répondre à  la question "Pourquoi ne se drogue t-on pas ?" et surtout "Pourquoi ne se droguerait-on pas ?".

Quand on a les réponses à  ces questions, alors on a les pistes pour répondre à  la première question.

"Quiconque fait deux cent mètres sans amour, va à  ses funérailles vêtu de son linceul." W.Whitman

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Hello !

En fait je pense qu'on a tous des chemins différents, des raisons différentes pour consommer ce produit, et que du coup, le déclic pour arrêter passer aussi par un truc perso, et différent pour chacun.
D'où la difficulté d'aider ceux qui veulent s'en sortir. Et que certaines personnes arrivent à  gérer et à  bien le vivre, je le comprends parfaitement.

En plus on a tous des sensibilités différentes, ce qui peut être terrible pour l'un sera vivable pour l'autre, etc...

Moi, je sais que la came, pendant un moment, comment dire, c'était parce que je voulais mourir mais - sur le coup, je l'ai vécu comme j'ai pas le courage de me suicider - et finalement, la came m'aidait à  vivre avec ce que j'avais dans la tête. Déplaçait mes problèmes.
En même temps, me donnait l'impression de contrôler un minimum ce qui se passait, j'en avais tellement marre d'être une victime, au moins là , c'est moi qui décidait.

Après j'y ai trouvé du plaisir, dans la came, dans le cercle que je fréquentais. Jusqu'au moment où j'ai choisi de vivre sans avoir un tyran sur le dos. Et de changer.

La notion même de plaisir est différente pour chacun, moi, mon plaisir essentiel, c'était de couper mon cerveau qui tournait à  100 à  l'heure. Donc j'aimais les opiacés, qui me réconciliaient avec moi même.
Un peu de paix dans ce monde de brutes.

Après - grand moment de philosophie - chacun voit midi à  sa porte !

Bonne journée
bluenaranja

U talkin' to me ?

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Oui,pourquoi?

Busette

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#16 
Minette
Nouveau Psycho
13 novembre 2011 à 00:45
Parce que ça détend, qu'on se sent bien et qu'alors on communique.
3 options, la dernière est en la cerise sur le gâteau

Mais ça dépend des drogues... il y en a qui répondent à  des objectifs plus spécifiques même si leur point commun a été emplement cité.

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#17 
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Akhéane
Fée clochette
24 novembre 2011 à 02:54
Oh oui, il y a évidemment un moment où on en prend parce que c'est troop booooooon big_smile

Mais après?
Franchement, après quelques années de consommation il me semble que l'aspect délicieux est remplacé par quelque chose de plus, hum, "nuancé"... avec quand même quelques mauvais côtés qui se font sentir... :s big_smile
Alors finalement, la conso au quotidien c'est: continuer à  se saigner aux quatre veines (huh, c'est le cas de le dire^^) au point que presque la totalité de notre fric finit fumé/fixé/sniffé, alors que finalement le produit ne fait presque plus rien, continuer à  supporter le manque et dépenser une énergie considérable pour concilier la vie de tox avec la vie quotidienne (ce qui dans mon cas commence vraiment à  partir en sucette...^^), rester dans un carcan, une sorte de routine qui définit beaucoup trop de choses... Eh bien les p'tits gars, vu de l'extérieur (vu de l'intérieur aussi d'ailleurs^^), ça n'a pas l'air si funny que ça..!! Et pourtant les années passent, et pourtant on continue...

En fait la question ne serait pas "pourquoi se drogue t'on" mais "pourquoi est-ce qu'on continue à  se droguer??" big_smile

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question stupide, mais, ça vous est pas arrivé, à  un moment donné, après un sevrage ou quoi, de bof ma foi, plus envie, plus besoin en tous cas ?
genre, jme sens bien même sans rien, je fais des choses intéressantes et c'est plus une nécéssité ? et de quand même finir par retaper parcequ'on a cette image de nous ?
moi je me suis construite avec cette image (qui est moi, on peut pas dire le contraire heu heu heu!!), de la meuf rock'n'roll sur les bords, qui a pas froid aux yeux (bon, en vrai, je suis timide, parfois, souvent, bref..) et qui fait des trucs de malades ("bonté divine" !) , style de vie pas plan plan quoi .

eh bien, qq part, au fond de moi, il y a ce que je définirai comme l'addiction au geste , pour les fumeurs . J'aime ça, j'aime et j'ai aimé, et je continuerai d'aimer je pense, les prods, un attachement particulier quoi . Et cé bête, mais je me verrai pas trahir cet attachement . Plus vicieux, j'ai souvent "relancé la flamme", comme avec un amour en train de sombrer dans la routine .
Je me disais, t'as voulu être rock'n'roll, cé le chemin que t'as choisi, assume, dur à  définir . Incompréhensible pour le commun des mortels je le concède . (mais pourquoi n'en profite-t-elle pas pour décrocher ??????????)

ben oui pourquoi ?

fidélité à  la con ? loyauté à  deux balles ? allégeance aux bons souvenirs ? besoin de ça parceque j'ai une image de moi en tête et que sans ça, je sais plus trop qui je suis ?

bof, ma foi, j'ai d'autres choses dans ma vie, bien d'autres choses, mais jsai pas, ca me rattache à  des valeurs en qq sorte. comme le maillot d'une équipe de foot !

et ces questions éveillent en moi un tas d'autres questions ; pourquoi on se maquille même si on est plutôt jolie ? on n'a qu' à  s'en passer ! pourquoi faire des enfants alors que au bout de la Vie ya la Mort ? pourquoi l' oisiveté nous flingue alors que quand on a marné 12heures par jour on aspire qu' à  une chose ; le lit !!

bouh, jme pose trop de questions ! mais ca veut pas s'éteindre !!!!!! haaaaaa ...

bises à  tout le monde
Reputation de ce post
 
bien vu ! Caïn.

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il est certain qu'à  partir du moment où l'identité personnelle vient se superposer à  celle de la came, alors l'arrêt devient problématique en ce sens qu'on se retrouve comme à  nu
il faut donc se construire une nouvelle identité si l'on veut se déprendre des illusions identificatoires

l angoisse est le vertige de la liberté

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j'aime bien l'idée du "pourquoi pas,  et du merde, c'est enormement bon", on peut devenir  (zen, hystero ou ce qu'on veut ) on controle peut etre ses etats d'ames ^^

"l'avenir a une excellente mémoire" ... Miss.tic

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#21 
Latige2 homme
Nouveau Psycho
23 février 2012 à 14:04
je me retrouve énormément dans ce que tu dis Bighorsse!
J 'ai l' impression que je ne serai plus rien, plus personne quand j' aurais enfin décro.
Je me suis construis là  dedans, depuis tout petit.(comme Obelix).
Qu' est ce qui va me rester aprés...
C' est exactement le genre de question que j' ai en tete à  chaque fois que je redémmarre des démarches de sevrage.
La reconstruction de sa personnalité est elle vraiment possible???

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Latige, ben voilà , moi cé pareil . pourtant j'ai vraiment des choses qui me constituent, des choses qui ne sont pas la came. Mais comme on dit, quand on aime vraiment, cé quand on ne sait pas pourquoi . il faudrait que je retrouve quel écrivain a dit ça .

après tout, il y a plein d'habitudes dont on ne cherche même pas à  se défaire, parcequ'elles ne nous pèsent pas . Exp ; j'ai pas BESOIN de boire un café vers 16h avec mes potes qd on fait une pause, mais je le fais qd même, sans me poser de question et cé agréable . après tout, je pourrai juste m'asseoir et discuter, un café ou pas de café, ça change rien au plaisir de voir mes potes, mais cé agréable avec le café .

jveux dire que jvai pas me retrouver à  grelotter si je ne prends pas CE café .

je reste convaincue que on peut gérer les prods, ce que j'ai fais à  peu près jusqu' à  maintenant, mais j'ai peut-être l'impression de gérer, peut-être parceque je n'ai que 23ans, et que je ne touche pas aux seringues, alors ça reste "de la rigolade" .

il y a aussi le fait de refuser les "loisirs" médiocres (très snob de ma part) . Je préfère m'enfermer dans ma bulle empoisonnée plutôt que participer aux ragots par exp. Lotre jour, à  une soirée avec d potes (qui consomment pas, ou alors alcool et joint parfois quoi), il y a un copain qui a dit, allez, soirée médisance, et ils ont tous commencé à  parler de untel et unetelle qui étaient absents . Eh ben, ça ma dégoutée, littéralement . je ne supporte pas, j'en suis plus que indisposée, j'en suis à  être écoeurée de mes potes.

je trouve ça tellement bovin (pardon les vaches, je vous aime mes louloutes)

je préfère des loisirs plus subtils, tels ; les drogues . Et puis, sous héro, morphine ou codé, tu compose des belles chansons, si tu es exigeant avec toi-même et si tu fais un effort d'écriture (parceque des fois, sous opis, tu crois que tout ce que tu écris est génial, genre l'inspiration divine, et en fait c'est tout pourri LOL)

bref, je ne sais pas si on est des meilleures personnes parcequ'on est défoncés, mais en tous cas, qd j'en vois certains, sobres ! ça me donne pas envie de devenir clean !!!

bises à  vous tous, une bonne journée et un bon w.e  = )

MissY

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#23 
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lindia femme
accroc et pas qu"au 1er niveau :(
27 août 2012 à 16:19
notre cerveau à  déjà  la "drogue" endorphine, dopamine et l'être humain est insatisfait, et les plaisirs simples et besoins naturels en délivrent à  petite quantité (manger, faire l'amour...) et lorsqu'on prends de la drogue on satisfait notre cerveau,qui ses souvient alors de se plaisir, après pour l'addiction, la drogue devient le médicament de nos tourments...

Que le vent te pousse toujours en avant et que le soleil illumine ton visage.
Et surtout que le vent du Destin t'emmène danser avec les étoiles.

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l'insatisfaction est un état naturel qui mène l'Homme à  la conquête des étoiles; c'est donc un puissant moteur pour l'évolution personnelle et celle de la race humaine
par contre, la non satisfaction des besoins et désirs peut amener sur bien des chemins de traverses....
l'usage de stup n'est pas necessairement lié à  un état de desespoir ; on peut fort bien vouloir conquérir les étoiles avec ce genre de moyens....on oublie trop souvent que la dépendance n'est pas obligatoire, et que les drogues apportent des connaissances autres , même si ce n'est pas de bon ton de le penser

l angoisse est le vertige de la liberté

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#25 
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No man's brain homme
Psycho junior
27 août 2012 à 20:54
1. Parce que je me sens vraiment moi
2. [large]Parce que c'est bon[/large]

"A force d'être malade, on devient  bon médecin !"

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#26 
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prescripteur homme
Adhérent PsychoACTIF
28 août 2012 à 10:17
Je trouve ce débat très interressant, notamment pour les soignants parce que c'est LA question.
Globalement, dans les statistiques, pour la plupart des produits le taux de dépendance est le tiers du taux d'experimentation. Ce qui veut dire qu'un tiers des experimentateurs seulement évoluent vers une dépendance. Pourquoi ??
La plupart des soignants pensent actuellement que cela tient à  une "faille" dans la personnalité de l'usager, qui le rend plus sensible à  la dépendance. En général, on met en avant les expériences traumatisantes (en effet nombreuses chez les UD). Pour l'alcool on a aussi mis en évidence des "gènes" de susceptibilité (donc innés).
Mais ce qui me gêne c'est que c'est le discours des soignants, alors que, comme ce sujet le montre, ce n'est pas vraiment le discours spontané des UD = "parce que c'est bon" !!!
Je n'en conclus rien, juste une interrogation !
Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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#27 
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mikykeupon homme
Modérateur à la retraite France
28 août 2012 à 10:22
Perso je pense que ce qui peux rendre dépendant est la façon dont on consomme.

Si l'on consomme dans un but purement récréatif, la dépendance est moins systématique que pour les personnes qui consomment dans le but d'oublié quelque chose qui les ennuie.

En tout cas dans mon entourage c'est ce que bien souvent j'ai pu constater.

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#28 
avatar
prescripteur homme
Adhérent PsychoACTIF
28 août 2012 à 11:23
Question corollaire = "pourquoi on ne se drogue pas, et surtout plus" ??
Ce qui inspirerait l'evaluation et le traitement du sevrage. En sachant qu'il y a deux sevrages = le sevrage total et le sevrage par TSO. De nombreux messages dans ce forum semblent indiquer que ces UD ne considerent pas les TSO comme un VRAI sevrage.(alors qu'objectivement s'il n' a plus de pb de justice, de santé, de consommation etc... il s'agit d'un vrai sevrage).
Bref, lâchement j'ouvre le débat plutôt que de tenter de répondre.
Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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#29 
avatar
mikykeupon homme
Modérateur à la retraite France
28 août 2012 à 11:29
Ce qui m'as poussé a arrêter mes consommations régulières était le fait de ne rien faire d'autre de ma life a part me défoncer et me battre. J'aspirait à  autre chose, me sentir utile, construire quelque chose.

Ce n'est ni la santé ni la justice qui m'ont calmé, mais plutôt l'envie de garder mon cerveau en bon état et être maître de mes émotions et sentiments, ainsi que l'amour et le soutiens d'une nana génial.

Dernière modification par mikykeupon (28 août 2012 à 11:34)

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#30 
avatar
LLoigor homme
Modérateur a la retraite
28 août 2012 à 11:47

prescripteur a écrit

Question corollaire = "pourquoi on ne se drogue pas, et surtout plus" ??

Ça va peut être paraitre "nianian" ce que je vais dire, mais une chose qui fonctionne (en tout cas pour moi cela aura était radical, plus aucune envie de me défoncer, une extinction instantané de cette recherche d'état de défonce) : c'est de faire une rencontre, notamment son véritable amour cool

Mais c'est a double tranchant, car quand on perd cette personne, des gens auront surement tendance a lacher prise (de la même manière que beaucoup de personne arrive accro a un produit a cause d'une rupture/divorce), et a se re-perdre dans la toxicomanie ....


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