En ce moment, je lis un manuel (prêté par mon
CAARUD) destiné aux professionnels travaillant avec des UD. Ca s'appelle
Réduction des risques infectieux chez les usagers de drogues par voie intraveineuse.
Et comme il est assez complet, j'apprends des choses. Donc je partage.
Pour les usagers ayant les veines abîmées, rien ne s'oppose à ce que ce soit l'usager, sous supervision du personnel de santé, qui fasse le prélèvement de sang en vue de tests VIH/hépatites (combien de fois on m'a rétorqué "oh mais non, on n'a pas le droit !", ben en fait, si !)