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- papillonavenir
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- Inscrit le 28 Aug 2013
- 1 message
Bonjour.
J'aimerai avoir des avis d'autres qui auraient fait récemment un sevrage au subutex (je suis à 4mg)
J'ai contracté une pharmacodépendance au subutex il y a plusieurs années déjà ! en sniff au début exclusivement.
J'ai demandé de l'aide à ce sujet auprés d'un médecin: il m'a dit:"alors il faut faire le traitement.
Ce qui est fait est fait, j'avais 24ans et aucune info..bref: le traitement+sniff s'est installé, je n'ai pas réussi à l'endiguer à l'époque.
Actuellement encore Suivi médicalement j'ai demandé à mon médecin(un autre !) de me prescire une cure de désintox.
Ce sevrage sera de 3semaines soit dans une clinique classique, soit dans une clinique psychiatrique.
1er point: j'hésite quand au lieu je préférerai ne pas avoir dans mon dossier médical un séjour en clinique psy, je me déciderai après avoir pris un maximum d'infos et de conseils de ces professionnels ainsi qu'en écoutant mon intuition pour trancher: si ils sont plus à même de mieux m'accompagner et de mieux répondre concernant les médications "palliatives" alors j'irai au sein de la clinique psy.
Si quelqu'un à une expérience qui pourrait m'éclairer sur ce 1er point.
Mais Surtout j'espère recevoir des conseils sur les médicaments pour pas souffrir, pas trop souffrir, que ce soit supportable.
je veux que mon sevrage aboutisse, alors je souhaite savoir ce qui m'aidera le mieux en médicaments, et en remèdes naturels (par ex: phytothérapie, magnésium, vitamines C etc...)
Est-ce si terrible que décrit sur beaucoup de Forums un sevrage de nos jours?
Au moins je sais déjà que que les métabolismes réagissent différemment.
Les médecins m'ont dit: "maintenant on donne ce qu'il faut pour que ça se passe au mieux, progressivement.
J'aimerai avoir des avis récents donc.
Je vous en remercie d'avance.
ps: je bois du vin à chaque diner et pendant 3semaines à la clinique ne rien boire,
pffff... ça va me faire bizarre c'est sur. Je me dis que l'alcool pourrait apaiser un peu mon corps contre cette bataille subutex.
et que sans je ferai la grimace.
ce "ps" c'est ma 3éme question donc: l'alcool? si quelqu'un à aussi une expérience avec ce facteur là .
Des mercis d'avance pour ceux qui ont des réponses, et/ou des réponses à travers vos expériences.
J'aimerai avoir des avis d'autres qui auraient fait récemment un sevrage au subutex (je suis à 4mg)
J'ai contracté une pharmacodépendance au subutex il y a plusieurs années déjà ! en sniff au début exclusivement.
J'ai demandé de l'aide à ce sujet auprés d'un médecin: il m'a dit:"alors il faut faire le traitement.
Ce qui est fait est fait, j'avais 24ans et aucune info..bref: le traitement+sniff s'est installé, je n'ai pas réussi à l'endiguer à l'époque.
Actuellement encore Suivi médicalement j'ai demandé à mon médecin(un autre !) de me prescire une cure de désintox.
Ce sevrage sera de 3semaines soit dans une clinique classique, soit dans une clinique psychiatrique.
1er point: j'hésite quand au lieu je préférerai ne pas avoir dans mon dossier médical un séjour en clinique psy, je me déciderai après avoir pris un maximum d'infos et de conseils de ces professionnels ainsi qu'en écoutant mon intuition pour trancher: si ils sont plus à même de mieux m'accompagner et de mieux répondre concernant les médications "palliatives" alors j'irai au sein de la clinique psy.
Si quelqu'un à une expérience qui pourrait m'éclairer sur ce 1er point.
Mais Surtout j'espère recevoir des conseils sur les médicaments pour pas souffrir, pas trop souffrir, que ce soit supportable.
je veux que mon sevrage aboutisse, alors je souhaite savoir ce qui m'aidera le mieux en médicaments, et en remèdes naturels (par ex: phytothérapie, magnésium, vitamines C etc...)
Est-ce si terrible que décrit sur beaucoup de Forums un sevrage de nos jours?
Au moins je sais déjà que que les métabolismes réagissent différemment.
Les médecins m'ont dit: "maintenant on donne ce qu'il faut pour que ça se passe au mieux, progressivement.
J'aimerai avoir des avis récents donc.
Je vous en remercie d'avance.
ps: je bois du vin à chaque diner et pendant 3semaines à la clinique ne rien boire,
pffff... ça va me faire bizarre c'est sur. Je me dis que l'alcool pourrait apaiser un peu mon corps contre cette bataille subutex.
et que sans je ferai la grimace.
ce "ps" c'est ma 3éme question donc: l'alcool? si quelqu'un à aussi une expérience avec ce facteur là .
Des mercis d'avance pour ceux qui ont des réponses, et/ou des réponses à travers vos expériences.
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- filousky
- Modérateur
- Inscrit le 14 Dec 2008
- 11530 messages
Je ne sais pas comment se passent les sevrages de nos jours, mon dernier vrai sevrage opiacé et BZD en hôpital s'étant passé il y a 30 ans.
C'est la suite et ma relation avec l'alcool qui me fait te répondre. J'ai un peu raisonné comme toi, à savoir : on ne retouche à rien, mais l'alcool pourrait m'aider un peu. Il m'a aidé et pas qu'un peu à me retrouver hospitalisé à nouveau pour plusieurs sevrages alcooliques. A mes yeux, l"'alcool n'est pas du tout bon copain des sevrages. Expérience cuisante à l'appui.
Aujourd'hui, je ne bois plus du tout et soigne ma dépendance opiacée avec de la méthadone sans plus de soucis que cela.............
Bon courage
Fil
C'est la suite et ma relation avec l'alcool qui me fait te répondre. J'ai un peu raisonné comme toi, à savoir : on ne retouche à rien, mais l'alcool pourrait m'aider un peu. Il m'a aidé et pas qu'un peu à me retrouver hospitalisé à nouveau pour plusieurs sevrages alcooliques. A mes yeux, l"'alcool n'est pas du tout bon copain des sevrages. Expérience cuisante à l'appui.
Aujourd'hui, je ne bois plus du tout et soigne ma dépendance opiacée avec de la méthadone sans plus de soucis que cela.............
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- prescripteur
- Modérateur
- Inscrit le 22 Feb 2008
- 11142 messages
Personnellement je pense que l'hospitalisation est sur-valorisée comme si c'était un substitut à la volonté. Ce qu'elle est souvent pendant l'hospitalisation mais au retour les rechutes sont fréquentes.
L'alternative est la diminution progressive des doses (prevoir quelques semaines voire mois à 4 mg) et une modification du contexte (dealers, famille, travail etc..) qui favorise le sevrage et surtout après défavorise la rechute.
Toutefois si tu sniff le Sub il est possible que le sevrage soit impossible et demande un passage par la Methadone pour arreter le sniff d'abord puis la methadone.
Enfin, je le redis, faire un sevrage n'est ni facile ni anodin et il est bon de reflechir, avec un professionnel de santé si possible, sur les motivations et surtout sur les mesures anti-rechute, sachant que 70% environ des sevrages de TSO mènent à une rechute. Passer par une période de faibles doses jusqu'à ce qu'on se sente prêt est souvent utile et c'et un avantage du sevrage progressif = on peut faire des paliers.
Amicalement
L'alternative est la diminution progressive des doses (prevoir quelques semaines voire mois à 4 mg) et une modification du contexte (dealers, famille, travail etc..) qui favorise le sevrage et surtout après défavorise la rechute.
Toutefois si tu sniff le Sub il est possible que le sevrage soit impossible et demande un passage par la Methadone pour arreter le sniff d'abord puis la methadone.
Enfin, je le redis, faire un sevrage n'est ni facile ni anodin et il est bon de reflechir, avec un professionnel de santé si possible, sur les motivations et surtout sur les mesures anti-rechute, sachant que 70% environ des sevrages de TSO mènent à une rechute. Passer par une période de faibles doses jusqu'à ce qu'on se sente prêt est souvent utile et c'et un avantage du sevrage progressif = on peut faire des paliers.
Amicalement
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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- pierre
- Web-Administrateur
- Inscrit le 15 Sep 2006
- 16690 messages
Le médicament qu'il faut absolument utiliser lors d'un sevrage en hopital, c'est le Catapressan® (clonidine), qui soulage de beaucoup des symptômes physiques du sevrage !
J'ai fait deux sevrages, l'un sans, l'autre avec, ca n'a rien à voir !
J'ai fait deux sevrages, l'un sans, l'autre avec, ca n'a rien à voir !
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- bighorsse
- Banni
- Inscrit le 19 Mar 2007
- 8506 messages
il faut bien peser les avantages et inconvénients du sevrage d'un TSO:
- dans quel but est il envisager?
- en quoi le subutex te gêne t il le plus?
- d'où vient l'idée du sevrage? toi; pression extérieure?
- qu'attends tu de ce sevrage?
-comnment envisages tu l'après?
il n'y a pas de lieu miracle; en hosto général c'est utile quand on est à des dosages si élevés que là c justifié
en hopital psy : on ne s'occupera pas de ta personnalité...juste une délivrance de psychotropes+benzo+AD et même souvent des anti psychotiques qui te réduiront en lavasse sans enlever le vrai manque et les envies
une communauté thérapeutique peut être une solution pour assurer le long terme
- dans quel but est il envisager?
- en quoi le subutex te gêne t il le plus?
- d'où vient l'idée du sevrage? toi; pression extérieure?
- qu'attends tu de ce sevrage?
-comnment envisages tu l'après?
il n'y a pas de lieu miracle; en hosto général c'est utile quand on est à des dosages si élevés que là c justifié
en hopital psy : on ne s'occupera pas de ta personnalité...juste une délivrance de psychotropes+benzo+AD et même souvent des anti psychotiques qui te réduiront en lavasse sans enlever le vrai manque et les envies
une communauté thérapeutique peut être une solution pour assurer le long terme
l angoisse est le vertige de la liberté
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