Entierement d'accord avec KAO. Il faut sortir de l'hypocrisie. Meme en 
IV ou en 
sniff, le 
subutex reste un succès au niveau sanitaire ! 
Regardons les chiffres. Divisions par dix du nombre d'OD en France : aucun pays autre pays n'a atteint ces chiffres qui sont du en grande parti à  l'apparition du 
subutex ! Chute vertigineuse de l'infection VIH qui si elle est du à u programme d'echange de seringue, et du aussi à  la distribution libérale de 
subutex. Il n'y a qu'a voir ce qui se passe au canada, ou la seul métha est donné au compte goute, avec des programmes d'échange de seringues plus important qu'ici: 30% des nouveaux contaminés VIH sont des UD... Mais dans les bénéfices,  il y a aussi l'arrêt des casses de pharmacie et la baisse de la délinquance, l'amélioration de la santé.... 
De plus, il ne faut pas  accusé les "mésuseurs". Si il s'injectent ou 
sniff ou fument le 
subutex, c'est tout simplement qu'il se font un traitement de 
substitution sur mesure, en l'absence total de galéniques qui leur conviennent (traitement de 
substitution injectable ou fumable ou sniffable) ! C'est pourquoi  nous n'utilisons pas le mot mesusage, très connoté péjorativement, mais usage alternatif de la 
substitution !
De meme pour les primo-consommateurs de 
subutex au marché noir. Si on peut certes regretter qu'ils deviennent primo-dépendant au 
subutex, au niveau sanitaire, par contre, c'est un bénéfice. Car on peut supposé  que ces consommateurs auraient de toute manière prix des 
opiacés, 
subutex ou pas. Et là , Ils ont un produit stable, qui ne provoque pas d'overdose ou très peu. De plus, ils sont beaucoup plus proche du système de soins, puisque pour rentrer dans ce système, ils n'ont pas à  changé de produits !!!