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Dernière modification par 1PromptU (02 janvier 2023 à 17:24)
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Psychonogeek a écrit
salut c'est dommage que pour une dépendance psychologique a la codéine, tu te retrouve dépendant physiquement a la buprenorphine . c'est plus difficile a sevrer ! j ai l impression que tu n avait pas mesuré le potentiel de dépendance de cette molécule . mais tu n'a pas a t en vouloir , c'est le médecin qui ne ta pas assait expliqué les enjeux de se mode de traitement . ( sevrage ou maintenance ) pour le moment j'ai l'impression que les diminution deviennent pratiquement impossible . tu pourrais essayer de passer a un autre opiacés ou opioïdes qui stimule différemment les récepteurs opiacés apparament il existe plusieurs sous types de récepteurs mu ( 7 qui ont était mis en évidence pour le moment) chaque opiacés a une affinitée plus ou moins élevée pour chacun d entre eux . une expérience américaine en double aveugle avec le tramadol comme aide au sevrage a donnée de très bon résultats . je pense que sa peut être une solution pour te permettre de passer le cap physique du sevrage . c'est particulièrement efficace pour faire disparaitre les symptômes physique du sevrage de la buprenorphine . reste a l utiliser intelligemment . sur 20 a 40 jours pour éviter de développer une dépendance a se dernier . après il te restera le côté Psychologique qui apparament te pose de réels problèmes. tu peux essayer d abord une phase de stabilisation sa devrait pas poser de problème vue le bas dosage de bupre sur ne 10 aîne de jours puis une phase de réduction progressive sur trentaines de jours je suis persuadé que sa peut donner de bons résultats . tu ne perd rien a essayer .
Je suis d'accord psychonogeek il faut prendre son temps. J'ai eu 2 semaines de tramadol pour arrêt methadone et je trouve que c'est un peu repousser le manque physique au final. Car si ton cerveau est déjà habitué aux opiacés il te le fera savoir d'une façon ou d'une autre. Quand j'ai arrêté le tramadol au bout de 2 semaines, j'ai eu le syndrome des jambes sans repos de façon très violente, des tremblements, beaucoup de sudation et plusieurs nuits sans sommeil. Alors oui je pense que je n'aurais pas pu m'en passer lors de ces deux premières semaines sans metha, clairement j'aurais fait la carpe. Mais, je crois que la souffrance physique, quelque soit son degré, est de toute façon inévitable. Ce n'est qu'un mauvais moment à passer mais c'est encore une fois, selon moi, mieux de se faire aider pour le sevrage et de bien continuer le suivi dans l'année qui suit. Comme on me l'a justement dit en hospitalisation, le plus dur ce n'est pas le sevrage en lui-même (si bien pris en charge) mais ce qu'il se passe "après". Vivre sereinement sans cette molécule prend du temps et ça il faut l'accepter. Je ne dis pas ça pour te désespérer 1promptU au contraire en avoir conscience ça permet de mieux le vivre. J'imagine que certaines personnes ont passées ces étapes sans aucune difficulté mais sincèrement je demande à voir...
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Dernière modification par 1PromptU (03 janvier 2023 à 19:17)
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Dernière modification par Nineta (03 janvier 2023 à 21:18)
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1PromptU a écrit
Nineta et Psychonogeek
Merci pour vos réponses,
Je suis passé à 0.2 mg depuis hier, ça va je m'attendais au pire.
Je vais y aller doucement, mais aujourd'hui j'ai quelque chose que je n'avait pas les derniers fois, c'est un but, la détermination m'aide, le sport aussi.
Je vais pas faire le malin et penser que c'est déjà gagné, ça peut pas être si simple..
Et oui dommage le doc ne m'a pas donné une claque de réalité.. Mais ce serai trop facile de lui mettre la faute.
Je continue à 0.2 mg par jour, si j'y arrive tant mieux, je continue comme ça.
Sinon je m’inscris dans un centre d’addictologie.
Prochain rendez vous, je vois pour la cyamémazine.
Le tramadol LP j'avais essayé ça quand j'avais plus rien, avec un tableau de conversion j'ai pas fait n'importe quoi.
Le tramadol LP c'est le seul qui est efficace à mes yeux comparé à la codéine..
Je vous tiens au courant,
Je sens que c'est le bon moment, de toute façon on peut pas mourir de manque à la buprénorphine... On peut replonger dans un plus gros dosage, mais bon si je prend plus que la pharma me donne, je vais finir en manque et ça c'est bien pire et plus important.. La seul raison que j'ai jamais utiliser la buprénorphine récréativement.
Je vous tiens à jour
Merci encore, bonne semaine :love:
Ça va le faire tu as l'air motivé mais permets moi d'insister un peu sur une demande de soutien concret. Et pas que pour le sevrage ! Tiens nous au courant !
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Dernière modification par 1PromptU (04 janvier 2023 à 01:34)
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Psychonogeek a écrit
enzymes enkephalinases même injectées directement dans le cerveau
On a fait ça sur des êtres humains ou on a testé sur des souris ?
Je n’ai trouvé qu’une source, l’Universalis, qui ne précise pas.
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1PromptU a écrit
Quand vous parler de Tramadol c'est de la libération prolongé ou direct ?
En LP le dosage le plus faible que j'ai lu c'est 50 mg et en conversion avec la morphine c'est 1/5 soit l’équivalent de 0.3333 mg quelque chose du genre en buprénorphine.
Ou alors on peut trouve du tramadol à faible dose utilisé en pédiatrie ou pour les animaux si c'est possible.
Vous soulevé un point important, l'après sevrage.
Même si je n'ai jamais eu un écart depuis le début ? Et que j'ai un mode de vie irréprochable
Et que je pars à l'armée (c'est l'objectif 2024)
Et que je veux plus de médoc ?
Je risque d'en vouloir encore ? Ça fait peur...
Je vais parler du tramadol/cyamémazine/myorelaxant/accommodation au psy
Coucou, oui effectivement on m'a donné en LP 50mg 4 fois par jour perso.
Ça aide énormément mais à l'arrêt ça a été un peu sportif. En plus du tercian j'ai eu un peu de valium que j'ai arrêté rapidement et pour les troubles du sommeil teralene pendant 1 mois. Ça le fait en vrai ne tkt pas !!! Et il ya autant de façon de vivre le sevrage qu'il y a de personnes. J'ai entendu plein de témoignages et ça dépend de tellement de choses... de mon côté tout allait bien après le physique sauf que j'ai déclaré une maladie de peau affichante et je me suis en même temps mis le défi de reprendre mes études c'est plutôt ce combo qui m'a fait flancher psychologiquement et ce pourquoi aujourd'hui après 6 mois d'arrêt j'ai eu besoin du zoloft 50mg et de l'abilify 5mg/jour. Mon problème de peau est traité même si les poussées sont toujours là elles sont plus espacées, pour mes études ça roule du coup dans ma tête ça va mieux. Alors oui j'ai envie de consommer et je compense avec la bouffe mais j'ai un beau passé de toxicomanie et je suis passée de 90mg de methadone/ jour à zéro seule et en 5 ans donc l'un dans l'autre.. tu as des projets tu sais où tu vas crois en toi et au pire un échec n'en est jamais vraiment un !!!! Demande le combo à ton médecin et bouge fait des activités qui te plaisent, fais du sport mais pas en trop violent, ne reste pas trop seul sinon tu vas cogiter sur les douleurs bref va au bout de ton projet et n'anticipe pas l'avenir, on est tous différents !!!!
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