Perso je mange d'ordinaire très très peu, et mes prods coupent généralement la faim.
Par contre, depuis que je taffe, je me force à manger, parce-que ce qui pose problème c'est pas forcément ma conso, mais plutôt une sous-alimentation qui, quand ça devient tendu niveau exigences physiques/mentales, peut me rendre complètement improductif. C'est mon objectif pour les semaines qui viennent, manger plus...
Par contre le taf me force à garder un rythme et une activité physique, et je pense qu'a long terme ça peut être bénéfique, a condition de pas compenser le manque de bouffe par une surconso, sinon je vais au crash, et j'ai des responsabilités...
Je constaté déjà une hausse de ma conso des opi/bzd depuis que j'ai repris. Mais je me suis fait un pack de secours:
catapressan,
loperamide, rivotril, et des anti émétiques qui passent l'envie de gerber aux patients sous chimio (et un peu de domperidone, quand même)...
J'évite bien sur les ponctions trop visibles aux avants bras, mais ça, je faisais un peu gaffe avant. Puis je sers de cobayes aux étudiantes infirmières pour les prises de sang, ça me fait une excuse
Enfin pour être honnête, la dernière, j'ai montré l'organisation et tout, mais elle voulait pas piquer. Alors fallait bien que je lui montre, lol. Elle m'a pas posé de question sur le fait que je pose un garrot latex seul et que je me pique avec une seule main, non dominante, mais elle a aucun intérêt à en parler...
En résumé le taf m'occupe pas mal l'esprit mais je me soucie un peu plus des consos (quantitativement, d'une part) pour pouvoir trouver mon équilibre (ou du moins, une façon de fonctionner quie permette de bien bosser