Pour en tenir à la e- clope et au
e-liquide psychotrope, quelque soit sa composition.
L'important est la dissolution dans le PG.
Lorsque la dissolution est totale, les molécules
psychotropes se comportent de la même manière que la
nicotine.
Elles sont transportées via le PG... Un peu comme si les molécules de PG les portaient dans un sac à dos pour les déposer dans les poumons ( c'est une image
).
Pour ce qui est des résistances, que se soit avec les
Noids ou avec l'
etizolam ( pas encore testé d'autres molécules pour le moment ), les résistances ne souffrent pas et sont opérationnelles dans la durée, du moment qu'il ne reste pas de poudre en suspension.
J'aurais tendance à éviter les suspension, pour la courte vie des résistances ( pas très grave ) et au risque de voir les restes de poudre s'agglomérer dans la bouche et la gorge ( risque d'irritation à mon avis voir pire ) ainsi qu'aux risques dentaires ( mais c'est juste une supposition, je n'ai pas les connaissances pour l'affirmer ).
L'
Etizolam est plus usité de par sa très courte demie vie par rapport aux autres benzos
RC disponible sur le marché et également du fait de son effet
psychotrope qui lui est propre ( avis personnel ).
Quoi que je miserais quelques euros sur le Flunitrazolam qui semble être une molécule prometteuse. Mais ce n'est que pure hypothèse vu que je n'ai jamais joué le rat de laboratoire pour cette molécule.
JE trouve neanmoins que c'est une belle avancée au niveau de la
Réduction Des Risques. Les molécules ne sont que " transportées " par le
e-liquide.
Les poumons souffrent moins qu'en combustion ou en chasse du dragon, les paroles nasales ne risquent rien et mes dents semblent bien supporter la vapeur.
Afin de limiter les risques de consommation compulsive, j'aurais tendance à penser qu'investir dans un tank de capacité de 2 ml pourrait être une bonne solution.
Cela limiterait le fait de biberonner sans s'en rendre compte vu le peu de contenance et l'obligation de recharger le tank.
Pour continuer sur l'exemple de l'
etizolam, une concentration de 2mg/ml ( voir 1mg/ml ) dans un tank de 2 ml, permettrait de consommer l'équivalent de deux comprimés ( de 1 ou 2 mg suivant la concentration choisie ).
Pour les stimulants, j'aurais tendance à penser que le,principe resterait le même... Une concentration faible dans un tank à petite capacité permet de calculer la dose qui sera incorporée avant de recharger.
Il sera préférable d'utiliser la Température Contrôle plutôt que les watts afin de supprimer le risque de dry hit ( vaper le coton sec ainsi que les fils résistifs en lieu et place du liquide ). Cela.permettra " d'aller jusqu'à la fin du tank sans risque accru pour la santé du consommateur.
Sans compter la discrétion, qui même si les produits utilisés ne sont pas classés stupéfiant, reste un avantage non négligeable dans un pays qui a tendance à mettre au banc les consommateurs de drogues ( considérés comme des malades mentaux, je me permets de le repréciser).
Par contre, j'aurais tendance à déconseiller l'injection de PG.
Pour une injection, je pense qu'il est préférable que le produit soit soluble dans l'eau ( mais je ne suis pas affirmatif vu que je ne suis pas injecteur ).
Le post de Boris Vian devra être lu avec insistance car sa mise en garde est tout à fait justifiée.
@ +
Reck.