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Dernière modification par Nodarah (27 mai 2024 à 14:40)
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Nodarah a écrit
. désolé pour le déchainement de violence
Le seul truc violent que j'ai vu sur ton fil, c'est encore un exemple d'un CSAPA ou précisément des Pros qui sont aux manettes qui font n'importe quoi.
Si c'est que pour de la bupre , tu peux passer par un médecin traitant ou un généraliste...
Amicalement
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Dernière modification par requiemforadream (02 juin 2024 à 23:44)
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Dernière modification par Nodarah (04 juin 2024 à 00:10)
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Dernière modification par prescripteur (15 juin 2024 à 12:32)
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Nodarah a écrit
à vrai dire lire vos messages et relire mon post me font prendre conscience d'un truc qui est pas normal du tout, mon psychiatre n'était pas au courant c'est une initiative de l'infirmière avec qui je "négocie" chaque semaine.
Une question me taraude l'esprit. Si tu as vu le Psy en chef et que tu lui as raconté cette histoire d'infirmière qui prend une initiative non ordonnée par le psy, comment se fait-il que votre rendez-vous n'ai pas donné un remontrance du psy à l'infirmière, lui ordonnant de cesser cette pratique digne du moyen-âge.
Les infirmières se doivent d'appliquer les consignes données par le médecin et non improviser derrière leur dos, bien que cela soit souvent le cas dans le quotidien.
Amicalement
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filousky a écrit
Nodarah a écrit
à vrai dire lire vos messages et relire mon post me font prendre conscience d'un truc qui est pas normal du tout, mon psychiatre n'était pas au courant c'est une initiative de l'infirmière avec qui je "négocie" chaque semaine.
Une question me taraude l'esprit. Si tu as vu le Psy en chef et que tu lui as raconté cette histoire d'infirmière qui prend une initiative non ordonnée par le psy, comment se fait-il que votre rendez-vous n'ai pas donné un remontrance du psy à l'infirmière, lui ordonnant de cesser cette pratique digne du moyen-âge.
Les infirmières se doivent d'appliquer les consignes données par le médecin et non improviser derrière leur dos, bien que cela soit souvent le cas dans le quotidien.
Amicalement
Fil
Le medecin n'est pas contre l'iniative, si il l'était je n'aurai pas à continuer à pointer pour avoir mes pochettes; c'est une antenne du centre (beaucoup plus grand) de la ville a coté, à vrai dire je me suis pas battu pour garder mon traitement.. j'ai surtout subi et suis en négociation avec l'infirmière (qui cette fois m'a donné un jour supp de secours) qui elle gère tout ce qui est hors traitement et me voit toutes les semaines (contre une fois par mois pour le médecin)
j'ai pas vraiment la tête à me battre contre ceux qui peuvent me couper les vivres quand ils veulent, j'ai pas super envie de devoir faire la manche pour une continuité de traitement (qui implique plus d'une centaines de cachetons/mois hors bupré..) sachant que les médecins pas trop loin sont pile ou face
je pense et j'espère que ce sera résolu mois prochain, le temps de montrer "patte blanche" sauf qu'en attendant c'est système D j'ai recommander de la kéta pour les soirées ou la bupré me tiendrait pas 24h et de l'etiazolam pour les soirées ou pas de prazepam (que je prends en journée contre une angoisse généralisée)
la justification c'était l'impossibilité pour eux de savoir ce que je ferai du traitement un mauvais jour.. qu'est ce qui m'empêcherait de gober tout une boite? (spoiler: moi.. j'en ai besoin au quotidien, je prends ça comme un traitement et non pour me défoncer, role que j'avais attribué au seresta histoire de pas mélanger torchons et serviettes dans ma tête)
jamais abusé de mes médicaments, j'ai du aller les voir une fois pour qu'ils me dépannent un jour de bupré que j'avais perdu, et vu que je suis en démarches de soins (communauté thérapeutique/centre) quand je vois mon psychologue (qui transmet les messages quand j'ose pas en face..) je lui parle beaucoup de ma peur de manquer, de mes angoisses et du stress quotidien que j'ai mais même lui ne peut visiblement rien faire (ou alors il faut que je sois cash..)
à vrai dire je flippe. pas uniquement à cause de ça qui au final n'est qu'un facteur aggravateur parmis les autres; je ne sais pas comment en parler sans qu'on pense que je veuille me défoncer avec mon traitement, ce qui n'est pas du tout le cas.. je déteste qu'on me retire quelque chose que je gère et sur le coup ça peut me provoquer de sacré "crises".. comme mon post que j'ai écris en rentrant du csapa complètement abasourdi du manque de confiance alors que j'ai arrêté sans soucis l'héro jamais menti devant eux et à vrai dire c'est carrément devenu mon seul point de repère après un déménagement compliqué et je voudrai pas tout foutre en l'air pour une histoire de traitement que l'infirmière me prends.. au début j'avais pareil, quand mes doses n'étaient pas fixés je pointai tous les jours pour récupérer ma bupré (à prendre devant elles, sauf que c'était au centre principal qui ne m'a jamais posé problèmes, j'étais très jeune comparé aux gens dont ils ont l'habitude et j'ai senti certaines libertés prises qui n'auraient surement pas eu lieu avec un consommateur plus agé.
Mon éducateur au début d'ailleurs pensait que j'allais être un cas "facile" comparé à tous les 'vieux consommateurs qui tapent depuis 10 ans' (désolé moi ça en fait que 7, je suppose que c'est pas assez pour que ce soit considéré sérieux?)
mais je n'ai pas du tout fait le même portrait au médecin que je l'ai fait ici, j'en serai incapable c'était littéralement un cri du coeur ou encore ajd je me sens totalement perdu, j'ai l'impression de réussir à réfléchir uniquement sous ké, j'arrive plus à avaler un repas complet perdu 4 kilos ce mois ci
tellement de choses en tête et pourtant je fais super attention à ce que je dis maintenant..
et l'infirmière m'a "sucré" le traitement après être arrivé en larmes devant elles pck tout partait dans tous les sens dans ma tête, à vrai dire ça ma remis les pieds sur terre..
Non, mon csapa n'es pas le safe space qu'ils clament être et m'ont vraiment niqué à un moment ou j'avais besoin d'aide qu'on me dise que ça allait aller et que c'était temporaire. qu'une personne ne disparaissait pas de nos souvenirs
bon tampis. j'ai été naif, j'ai déballer ce que j'avais sur le coeur mais j'aurai pas du.. je le saurai la prochaine fois, un oreiller c'est mieux et si je suis pas en état je n'irai pas, au lieu d'y aller peut importe mon état (encore une fois c'est eux qui m'y poussent.. on me répète sans cesse que c'est mon espace, un endroit ou je peux lacher tout ce que j'ai sur le coeur)
me suis fait avoir.. ma faute, j'aurai du me taire
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Dernière modification par Nodarah (20 juin 2024 à 22:21)
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