Oui, il y a une vie après le sevrage

#1 
Lola femme
Nouveau membre
25 mai 2013 à  17:10
Bonjour,

C'est mon premier post. Je me permets de témoigner car j'ai lu pendant quelques heures le forum, je l'ai trouvé très intéressant, mais je n'ai pas trouvé grand chose concernant le sevrage à  long terme.

Pour résumer brièvement mon expérience : j'ai 33 ans. Pendant une dizaine d'années j'ai touché à  tout ou presque (jamais d'IV par contre, c'était ma limite). Beaucoup de produits le weekend, moins en semaine (sauf le tabac et le canna que je consommais en grande quantité). Tempérament très addictif, nature sensible.

Il y a 10 ans j'ai senti qu'il fallait que je change radicalement de mode de vie. J'avais failli mourir, la peur de retomber malade et y passer m'envahissait peu à  peu, être esclave de la substance me stressait, je voyais mes amis mourir ou sombrer, j'avais des problèmes dans mon couple, avec ma famille, bref je sentais que les prods et mon mode de vie étaient à  l'origine de mon mal être. Petit à  petit je suis passée à  autre chose (dit comme ça ça parait simple mais dans l'histoire j'ai tout perdu, mes repères, mon compagnon, mes amis, j'ai quitté la France, bref changement radical de vie).

A ce moment-là  je fumais encore clopes et canna. Mais c'était un détail, j'étais sortie des prods. J'étais hyper malheureuse. Je m'ennuyais comme un rat mort, j'étais seule, sans centres d’intérêts. J'ai cumulé plusieurs épisodes dépressifs (donc mise sous AD, benzo, neuroleptiques et autres je ne me rappelle plus). Et j'ai commencé à  avoir de graves douleurs musculaires d'origine psychologiques.

Il y a 4 ans j'ai arrêté la canna et il y a 2 ans la clope. Bon là  je touchais le fond. Ont suivi grosse dépression et idées suicidaires. Je ne pouvais pas imaginer comment on pouvait vivre sans substance. Mais je luttais car je crois que l'idée d’être dépendante m'était devenue insupportable.

Maintenant je peux témoigner pour vous dire oui, il peut y avoir une vie après le sevrage. Pour moi c'est le cas tout du moins. Après de longues années a errer sans but j'ai réussi à  retrouver des centres d’intérêts. Des amis que j'aime. Des liens forts avec ma famille. Un compagnon et une vie HEUREUSE. Enfin. Jamais je n'aurais cru que c'était possible mais ça commence à  arriver doucement. J'ai d'autres dépendances (on se refait pas) mais de nature différentes (sports extrêmes, voyages, petites manies, un peu d'alcool le weekend...) mais rien qui ne me soit bien nocif. J'ai beaucoup de douleurs mais ça ne m’empêche pas d’être heureuse. Je n'ai plus aucune envie de fumer, de sniffer, ou de prendre quoi que ce soit. Je n'aurais jamais cru ça possible.

J'ai parfois une certaine nostalgie de la défonce mais c'est rare et ça ne dure pas. Mon cerveau a aussi mémorisé certaines choses. Si je remets de la musique tek mes pupilles se dilatent, je commence a transpirer, c'est assez étrange. J'évite. Aujourd'hui j'assimile plus ça a des sensation désagréables type vertiges. Intolérance totale au canna, je ne peux plus fumer même si je voulais, ça règle le problème d'une rechute éventuelle. Il parait que ça arrive chez les anciens gros fumeurs.

Voilà , tout ça pour dire bon courage à  tous ceux qui souhaitent un jour se sevrer et devenir des ex-ud. On peut être de nouveau heureux.

Lola

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#2 
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cristaline femme
Psycho junior
25 mai 2013 à  18:55
Salut Lola,

on a le même âge et je suis vraiment très heureuse de lire un témoignage comme le tien.

Je n'en suis pas encore à  ton stade car je suis sous méthadone mais j'espère y arriver et pour tout te dire j'y crois en fait beaucoup!!!

Bonne continuation à  toi...

Mais qu'importe l'éternité de la damnation à  qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance

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#3 
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vivrelibrepuismourir femme
Perverse Narcissique
25 mai 2013 à  19:27
salut!

Ce que tu dis donne de l'espoir, car j'ai lu beaucoup aussi sur le sujet, étant concernée, et je voyais beaucoup de témoignages sur le court terme.

ton témoignage est utile en ce sens.

Le changement de vie à  du contribuer à  te libérer...

Je ressens comme toi une certaine gène à  l'idée de passer ma vie sans rien prendre... Ca me parait parfois impensable, d'autre fois je me dis" ben ma vieille t'as passé l'âge de ces conneries....".

Ca a du être dur psychiquement d'être seule face à  ta dépression, j'ai l'impression que c'est un peu un aspect inévitable post sevrage....

en tout cas tu as eus beaucoup de force d'esprit pour ne pas rechuter et aller jusqu'au bout de ta démarche!
Bravo!

Ton post me redonne un peu d'espoir!
Merci

Bye

"Lassée de grimacer sur l'écran des vigiles, je revisite l'enfer de Dante et de Virgile"

Je suis malade mentalement : Une sociopathe dangereuse.

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Parfait Lola ;-)

Tu as réussi et tu nous montres, à  moi et à  ceux qui sont encore "dedans", que c'est possible, et ça c'est cool :)

Je vois tout à  fait ce que tu veux dire rapport la musique techno, et de mon côté je me force en ce moment à  me faire des sessions "musique d'avant la techno". Essayer de sortir de la dope et d'un milieu soit disant "festif" (qui ne l'est plus à  la longue, à  force on peut s'en lasser et ne garder que les 'mauvaises' habitudes) en écartant ce qui peut y faire penser...

En tout cas bonne nouvelle que la lecture de ton témoignage, chose la plus plaisante que j'ai pu lire aujourd'hui :)

++

Apprécier le moment présent pour enfin vivre à  son propre rythme

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#5 
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psychoniac homme
Psycho junior
06 juin 2013 à  00:06
C'est bien de lire des messages comme le tiens ça fait plaisir!

Bonne continuation

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#6 
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filousky homme
Modérateur
06 juin 2013 à  07:30
Sur le sujet, oui il y aune vie après le sevrage, il y en a même plusieurs si on veut bien s'en donner la peine.

J'ai personnellement fait un sevrage de tous produits (suite à  une héroinomanie dans les années 80) en 1990 suivi d'une tranche de 10 ans pendant laquelle j'ai créé ma société, me suis marié et divorcé, fait un troisième enfant avant de me raccrocher aux opiacés histoire d'avoir quelque chose de sérieux à  faire ........................

Et je ne regrette rien de rien, juré et sincère !

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#7 
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LLoigor homme
Modérateur a la retraite
06 juin 2013 à  08:30
Si on parle de "sevrage" dans le sens, un acte d'arrêt d'un certain nombre de jours (exemple cure), alors oui évidemment qu'il y a une vie après ... Et il y en avais un avant, et celle d'après ne sera pas forcement plus belle, parce qu'on réussi son sevrage, le bonheur prend tellement de choses en compte je pense, qu'il est difficile d'en remettre la faute a un seul point d'une vie.

Après si on parle de "sevrage" dans le sens : "prise d'un traitement de substitution".

Moi "je" pense qu'il y a aussi une vie "pendant" ce traitement et qu'elle n'est pas forcement désagréable.

(La encore c'est selon moi surtout ce qu'il y a autour qui fait que souvent on remet la cause de notre malheur sur la substitution)

Et que tout les cas sont possible, par contraste je pense qu'on peu être totalement épanouie dans sa substitution et y rester (pourquoi changer si on vie bien !?) , et être très malheureux après sa substitution réussie. neutral

Je pense que jamais mon sevrage ou ma substitution ne me rendrai plus malheureux que par exemple une grosse rupture amoureuse, de multiples échec professionnels, ne pas avoir de logement, la solitude, la maladie, et beaucoup d'autres choses qui pourrait m'arriver.

LLoigor merci-1

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#8 
shana femme
Nouveau membre
06 juin 2013 à  11:45
Bonjour à  tous!

Je viens ici essayer d'avoir des conseils car je sors de cure (méthadone) et retour très dur...
Je vous explique en gros : j'ai 31 ans je suis sous métha depuis 7 ans (petit dosage 10mg) et là  je suis posée j'ai un cdi depuis 7 ans, un chéri en or( qui n'as jamais connu les drogues)...
Le 27 mai je rentre en cure avec mon frangin (qui lui était à  40mg de métha, déjà  rassurée je me disais je vais grave moins galérer que lui lol et nan...)
Nous sommes rentrés dans un centre de village, genre on devait être leur 1ers "tox" (plus de conso de produit depuis 7 ans, ni héro, ni coke ni alcool, juste tabac), déjà  le docteur passe 5 minutes par jour, pas de psy à  qui parler, les infirmières n'avaient jamais eu de cas comme nous, bref on s'est senti seuls...
Au début catapressan, les 3 premiers jours impecc juste un peu nerveuse (1/2 comprimé toutes les 3h, moi ok toujours tension entre 12 et 15), puis le vendredi (donc le 5eme jour), aie aie grosse crise de manque, mes jambes me tiraient un truc de fou, le ventre, transpiration..le doc dit on reste toutes les 3h au catapressan, mais il me donne des dafalgan et qui me faisait rien!!! J'ai demandé autre chose, il me m'ont donné de l'ibuprofen 200mg (400mg ils voulaient pas!) le vendredi je pleurais en écoutant du rap, en regardant la tv...Bref après ça allait mieux lundi on sort, et là  hier à  nouveau les jambes qui tiraient, (je dors plus...Ca me saoul grave, ils m'ont donné seresta mais j'ai vu ça rend accro j'ai pas quitté une merde pour une autre, xanax pareil...PFFF comment bien dormir??? Que faire? le doc m'as meme pas fait d'ordonnance, un vrai con j'aurais du aller dans une grande ville...
Pouvez vous m'aider me dire quoi faire? sans prendre des trucs qui rendent accro et pourquoi hier ça m'as repris le manque alors que je suis à  11 jours sans métha? j'ai failli craquer demandé du sub (genre 2mg pour me calmer car le sub s'arrete + vite que la méta, mais c'est une spirale infernale...
Le généraliste peut me donner du catapressan? Un ami son pere prend du candersartan, c'est presque pareil est ce que c'est dangereux si j'en prend? J'ai encore des frissons...Et suis crevée je dors plus...
Merciii

Dernière modification par shana (06 juin 2013 à  11:50)

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Salut wink

Tes crises de manque après 11jours sont les derniers signes de la came (méthadone) qui réclame sont du. Les derniers sursauts de l'animal blessé en train de crever, si on veut..; Stade par lequel tu es obligée de passer car les opiacés ce n'est pas un jeu et c'est quand on veut stopper que l'on s'en rend compte. Effet boomerang.

Tiens bon, après ce mauvais moment tu seras enfin libérée, et pour de bon ce ne sera plus qu'un mauvais souvenir  wink

ps: quand en manque je marche beaucoup et je gigote la nuit des jambes à  en faire des moulinets, ok si on me voyait faire j'aurais l'air con mais au moins ça soulage un minimum lol. j'me tape sur les cuisses, les molets, enfin bref courage Shana si onze jours sans c'est que tu n'es vraiment pas loin de la sortie :)

Dernière modification par MOsh EnVrac (06 juin 2013 à  12:50)


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#10 
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Melanie85 femme
Nouveau Psycho
06 juin 2013 à  13:28
Je suis pas aussi optimiste que Mosh car le sevrage physique méthadone peu durée 3 semaines un peu près et le sevrage psychologique,c'est parfois plusieurs mois.

Voici un lien d'une discussion sur le sujet ,sinon tu peu aussi trouver d'autre témoignage de sevrage méthadone si tu cherche un peu sur le forum.

sevrage métha

Dernière modification par Melanie85 (06 juin 2013 à  13:30)

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#11 
Phoenix homme
Psycho sénior
06 juin 2013 à  14:46
Le truc sur lequel je rebondis, c'est ta peur des benzos sous prétexte qu'on y devient accro...

EFFECTIVEMENT, c'est bien un groupe de molécule qui entraîne une dépendance, mais... Au bout de combien de temps et à  quelles doses?

Les ordonnances sont limitées à  3 mois pour les anxiolytiques et 1 mois pour les hypnotiques. Dans la mesure où ce sont des médicaments beaucoup (trop?) prescrits, si on tombait dans la dépendance au bout de 5 jours, tu ne crois pas qu'on réduirait les durées de prescription?

Par exemple, j'ai été sous Xanax à  1,5mg par jour (dose usuelle maxi il me semble) pendant plus d'un mois avec un arrêt net (pas à  conseiller quand même), eh ben j'ai absolument rien ressenti comme symptômes de sevrage...

Donc avec des benzos "classiques" (car elles sont toutes différentes: pas question d'utiliser du Rohypnol pendant un mois par exemple, sa durée de prescription est d'ailleurs limitée à  15j - c'est un hypnotique), sur des durées usuelles, pas de raisons de te faire des cheveux...

Sur une durée d'un mois avec des doses autorisées par l'AMM (même maximales), je n'ai jamais vu qui que ce soit devenir dépendant à  un anxiolytique. Et sur une durée de deux semaines, pareil pour les hypnotiques (sauf le Rohypnol)

C'est bien assez pour te permettre de terminer ton sevrage... Si ça peut t'aider, ne t'en prive pas! A condition de ne pas en abuser, si tu tournes à  une boîte de xanax par jour, ce que je viens de dire n'est évidemment pas valable :)

Dernière modification par Phoenix (06 juin 2013 à  14:47)


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#12 
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Ricoson homme
Adhérent PsychoACTIF
06 juin 2013 à  15:18
Bonjour.

Petite remarque : Le Rohypnol n'est plus commercialisé en France depuisa peu près 2 mois.

Rico.

Soyons réalistes, exigeons l'impossible !!

La majorité des imbéciles reste invincible et satisfaite en toute circonstance. La terreur provoquée par leur tyrannie se dissipe simplement par leur divert

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#13 
Phoenix homme
Psycho sénior
06 juin 2013 à  15:31
Bonjour!

C'est faux wink

C'est en milieu hospitalier qu'il n'est plus délivré depuis le 30 avril... En pharmacie, il est toujours disponible, et le sera légalement jusqu'au 30 septembre! Ceci étant, une recommandation a été faite aux prescripteurs visant l'arrêt de sa délivrance. Mais il est toujours disponible!

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#14 
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Ricoson homme
Adhérent PsychoACTIF
06 juin 2013 à  15:39
Et bien, j'avais mal compris.

J'avais cru que c'était fini fini.
Ma remarque etait mauvaise.

Rico

Soyons réalistes, exigeons l'impossible !!

La majorité des imbéciles reste invincible et satisfaite en toute circonstance. La terreur provoquée par leur tyrannie se dissipe simplement par leur divert

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#15 
shana femme
Nouveau membre
07 juin 2013 à  14:05

MOsh EnVrac a écrit

Salut wink

Tes crises de manque après 11jours sont les derniers signes de la came (méthadone) qui réclame sont du. Les derniers sursauts de l'animal blessé en train de crever, si on veut..; Stade par lequel tu es obligée de passer car les opiacés ce n'est pas un jeu et c'est quand on veut stopper que l'on s'en rend compte. Effet boomerang.

Tiens bon, après ce mauvais moment tu seras enfin libérée, et pour de bon ce ne sera plus qu'un mauvais souvenir  wink

ps: quand en manque je marche beaucoup et je gigote la nuit des jambes à  en faire des moulinets, ok si on me voyait faire j'aurais l'air con mais au moins ça soulage un minimum lol. j'me tape sur les cuisses, les molets, enfin bref courage Shana si onze jours sans c'est que tu n'es vraiment pas loin de la sortie :)

Merci, mais je trouve que psychologiquement c'est vraiment dur à  tenir, et j'ai pas eu de soutient cette cure était naze, vraiment livré à  nous meme, pourtant je suis forte mais là  c'est vraiment dur, je dors plus la nuit, ils m'ont donné des somnifères mais je veux pas être accro à  ça, ou ils voulaient me filer des anti dépresseurs pareil j'en veux pas, je veux pas remplacer la métha par autre chose qui rend accro...
Pour les jambes je fais pareil, mais ça me rend folle...Quelle merde!!
En + le doc m'as dit c'est plus facile un sevrage subutex ou carrément came, il parait que métha c'est le + difficile et je m'en rend bien compte....
En tout cas merci, ça me fait du bien de partager tout ça...

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#16 
shana femme
Nouveau membre
07 juin 2013 à  14:06

Melanie85 a écrit

Je suis pas aussi optimiste que Mosh car le sevrage physique méthadone peu durée 3 semaines un peu près et le sevrage psychologique,c'est parfois plusieurs mois.

Voici un lien d'une discussion sur le sujet ,sinon tu peu aussi trouver d'autre témoignage de sevrage méthadone si tu cherche un peu sur le forum.

sevrage métha

Merci Mélanie je vais allé voir ça....

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#17 
Lola femme
Nouveau membre
08 juin 2013 à  00:11

shana a écrit

ils m'ont donné des somnifères mais je veux pas être accro à  ça, ou ils voulaient me filer des anti dépresseurs pareil j'en veux pas, je veux pas remplacer la métha par autre chose qui rend accro...

J'avais tendance a être accro à  tout ce qui passe et je ne le supportais plus. J'ai fini par céder et prendre ce que me prescrivaient les médecins (somniferes, AD, benzo, neuroleptiques). Avec du recul je ne le regrette pas du tout. Niveau addiction j'avais connu bien pire et à  côté du reste arrêter ça c'était rien ! Ca m'a permis de me remettre sur les rails. Je regrette surtout d'avoir attendu avant de les prendre, je me serais retapée plus vite.

Après ça dépend un peu de chacun mais pour moi ça a marché (après plusieurs ajustements du traitement quand même, je ne suis pas tombée tout de suite sur le traitement qui me convenait)

Dernière modification par Lola (08 juin 2013 à  00:15)

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