Bien le bonjour amis Psycho.
Je viens faire deux
TR de ce que j'ai vécu sous éphénidine, une éxpérience... Plutôt convaincante.
Je me présente: j'ai 21ans, 45kg a la pesé, 1m70, dépressif sous
xanax et anti-dépresseur.
Bien évidement, 1h après test allergène, je décide de me faire un
para de 60mg, dose plutôt soft.
H+1: Je sens que ça commence a monter, il est 20h, je suis a table avec ma belle famille, je bug sur des truc a la con comme mon assiette de spaghetti devant moi, et j'ai du mal à suivre les conversation, mais jusque la tout va bien.
H+1H30: Je plane, complètement dissocié, je capte a moitié ce qu'il se passe, mon beau frère me parle, mes seuls réponses sont "oui tu as surement raaaaaiii..raaaii...raison". Je comprends alors que je ne suis plus apte à parler et qu'il vaudrait mieux que je file si je ne veux pas me faire roder par ma belle famille. Je décide alors de sortir voir un ami. Une fois dehors, au sommet du hight, je ne marche plus droit, mais j'arrive à atteindre la voiture dans laquelle nous squattons lors de nos soirées.
Et a partir de la mon pote (que je connais depuis l'enfance donc premier tarpet et tout ensemble, mais nous avons arrêté de fumer) me mets des musique de l'époque de nos premiers tapets. et la des barres de rire, je chante sur nos vieux sons, on cherche toujours plus vieux, complètement pérché que j'étais mais heureux, je ressentais trop de plaisir, trop de nostalgie.
H+3: je gobe deux
xanax et redescend petit a petit, on continue a squatter jusqu’à 23h et nous décidons donc de rentrer. Une fois rentré je prends un diclazépam 2mg et je pars m'endormir devant un film. Et a vrai dire, j'ai pas fait long feu!
Le lendemain je décide de remettre ça, toujours 60mg, a 20h cette fois-ci pour que ma montée se fasse lorsque je sois avec mon collégue et non pendant le repas avec la belle famille.
Je sors donc 1h aprés rejoindre mon ami dans la voiture, ça monte petit a petit et la rebelote des barres, des discussions interminable pendant deux heures.
H+3: je sens que je commence a redescendre, je gobe mes deux
xanax, lorsqu'un ami d'enfance débarque dans la voiture. C'est le seul de nous trois qui fume encore. Il roule son tapet tranquille, et par je ne sais quelle idée, je décide de tirer juste UNE barre dessus, mais une vrais barres de forrain. De la nos discussions s’enchaînent et je me retrouve complètement arraché. Je peux pas décrire se sentiment de dissociation et de bien étre.
H+3H30: je vois que je suis incapable de suivre leur discussion, je décide donc de rentrer. En rentrant, je fais attention a tout, que mon ordi sois bien branché, que je ne réveil personne que je branche mon portable pour dormir etc... tout ça en 15 minutes, j'étais d'une lenteur extrême mais je n'avais qu'un seul but: me coucher dans les meilleurs conditions possibles, je voulais mon petit cocon parfait. Une fois allongé, et aprés avoir gobé un diclazepam 2mg, je décide de me lancer dans un grand film du cinéma français: "La Cité de la Peur".
Mais bien évidement je n'est pas fait long feu non plus, 15 minutes de film, ou j'analysais le moindre gag, et je m'endors sec. Trop de réflexions surement.
Je ne suis pas déçu de l'éphénidine, mais elle me rappelle les perche que je prenais sous
MXP, perche que j'apprécié moins.
Je retente se soir, avec un dosage plus élevé de 20mg. Je verrais bien ce que cela donne!
Amicalement,
Dr-Skyzo