protocole d'arrêt des hypnotiques

Salut

Je viens de voir ce tableau et je le trouve cohérent et bien fait ..

A l’epoque (2011/12) j’ai entrepris un sevrage alprazolam 0,5mg je suis parti de 10cp/jrs a 1 sans trop de pb mais arrivé à 1 puis 1/2 puis 1/2 un jour sur deux puis 3 .. et arrêt.

A partir de 1/2 c’etait pas trop ça, je n’ai pas eu de crises de manque mais des rebonds d’anxiété, des tremblements qd je faisais qlq chose de précis .. et ça a duré 3 ou 4 mois (c’était gerable malgré tout) ..

Les rebonds d’anxiétés étaient lourd, style avant un partiel (je croyais que mon cœur allait lâcher et la TA devait être à 18 ..) ou lorsque j’avais un truc stressant c’etait horrible alors qu’en temps normal sans les bzd j’ai jamais été quelqu’un de trop stressé.

Les tremblements me soûlaient ++ car besoin d’etre précis par moment et la c’etait chiant, en plus certains collègues l’avaient capté mais je disais que c’etait du au stress .. c’etait Relou et je pense qu’avec une baisse plus progressive comme l’indique ce tableau ça se serai mieux passé.

Bon aujourd’hui c’est de l’histoire ancienne et réglée.

Amicalement

Peut être car il est déjà quadrisécable, et qu’à l’image du protocole quand le comprimé est en moitié c’est 1/2 et quand le comprimé est en quart tu le convertis en quart de lexomil.

Les quarts ne sont faisable qu’avec lui il me semble les autres comprimés doivent être coupés mais ce protocole est viable je pense sur du quadrisecable.

Attends l’avis de gens plus avisés.

Bises Léa

Merci pour ce tableau !!
je ne suis pas sûre d'y arriver en si peu de temps (même s'il s'agit de 18 semaines !!) mais je serais très contente si je pouvais arriver à me sevrer sans trop trop de difficultés.

si vraiment j'arrive à ne plus consommer tous les jours, (donc utiliser les benzo comme avant, que très occasionnellement en cas de gros stress ou insomnies ou "chocs" émotionnels en raison de mon hypersensibilité)
mais actuellement, il m'est impossible de pouvoir arrêter brutalement sans avoir d'horribles douleurs musculaires, tremblements, confusion mentale, du mal a me concentrer et  à mémoriser, (et ne parlons pas du manque psychologique pur et de l'anxiété !)

  et vu mon métier je peux pas me permettre une seule journée dans cet état, et certaines plus que d'autres d'ailleurs. J'harcèle le médecin pour qu'il me prescrive toujours plus et je triche sur les doses, en pique dans ma famille (et culpabilise). Je sais qu'après la prise nocturne je vais passer une super journée mais la nuit je m'étouffe parfois et je me demande si je vais me réveiller ^^'  j'aimerais que tout ça s'arrête, malgré le bien que ça me procure tout les soirs et parfois en milieu de journée lorsque je peux me le permettre au niveau de mon travail.

J'ai l'espoir que je vais peut-être en une année stopper cette dépendance, avec un suivi psychologique sans doute, mais sans avoir à devoir prendre un arrêt de travail prolongé pour désintoxication, cela me ferais vraiment ch*** professionnellement parlant.


Merci

Dernière modification par HarPearl (30 juillet 2019 à  22:38)

Mirouf, il n' y a pas de plante pour ça (ou juste en plus pour aider) , juste le sevrage progressif en passant a priori par une bzd plus longue.

https://www.has-sante.fr/jcms/c_2038262 … mbulatoire

ou

https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … C3%A9pines

Consulter un addictologue ou un CSAPA et ne pas oublier le versant alcoologie.
Le Valium gouttes permet de doser précisément et peut etre utilisé en complément du Seresta pour rendre la baisse plus supportable.

Amicalement

Dernière modification par prescripteur (15 septembre 2020 à  16:16)