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Dernière modification par kaneda (Hier à 18:17)
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Bruno67 a écrit
Bonjour .
je suis sous Abilify (en injection) depuis de longues années .ce qui signifie déficit en Dopamine (Suite à une psychose mystique induite par le cannabis)
en substances je consomme un peu de tout , alcool aussi ,
malheureusement , la sensation de bien être , ivresse , l'euphorie etc , est très faible . je parle bien de mon expérience personnel .
Bonne journée
Bruno .
Oui, étant donné que les antipsychotiques sont des substances antidopaminergiques, les sensations d'euphorie s'en retrouvent logiquement diminuées. L'auteur a posté plusieurs sujets pour poser sensiblement les mêmes questions, donc jette un oeil sur tes autres posts afin de voir mes réponses, BINAIRE.
Salutations.
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Substance démoniaque a écrit
Re-bonjour. Bon, je comprends dorénavant un peu mieux le problème que tu as exposé dans le cadre de ton autre sujet de discussion, et pour répondre à tes multiples questions, il n'y a rien de pire qu'un mélange d'antidépresseurs et d'antipsychotiques si tu souhaites retrouver une libido.
As tu des sources qui te permettent d'avancer ces propos?
Substance démoniaque a écrit
Concernant les effets, tous ceux que je connais et qui sont sous antidépresseurs ou antipsychotiques se sont retrouvés encore plus déprimés qu'avant, et c'est très difficile de s'en sevrer. Autres effets secondaires : Prise de poids, dyskinésie tardive, akathisie...On m'avait mis sous un mois d'abilify il y a quelques années pour réduire mes consommations de benzo et d'opiacés, et je me suis retrouvé à développer des paresthésies, des tremblements, et des insomnies assez sévères, car l'aripiprazole induit de manière très fréquente des troubles du sommeil. Bon, puis avec l'atarax en prime, c'est le risque de devenir très léthargique
Et ben, parfait comme partage d'expérience, 1 mois sous abilify pour une raison complètement différente de celle de l'OP. Un partage d'expérience qui tend à faire flipper l'OP plus qu'autre chose. Le pire c'est que tu te permets d'affirmer des trucs délirants dont ça ;
Substance démoniaque a écrit
Ces deux médicaments sont susceptibles, de manière individuelle, de provoquer un PTSD qui peut se prolonger même après arrêt du traitement
Un Post Traumatic Stress Disorder? Non mais t'es sérieux là? Est ce que tu sais au moins de quoi tu parles? Permets moi d'en douter. Avec un peu de bon sens on ne se permet pas d'écrire de telles conneries..
BINAIRE a écrit
J'ai commencé abilify il y a deux jours dans le cadre d'un trouble borderline (en plus de atarax mirtazapine).
Salut!
Désolée pour le coup de gueule mais Monsieur Subtances Démoniaques dit n'importe quoi. J'ai moi aussi un diagnostic borderline, j'ai eu de l'abilify pendant 6 mois avant de passer à la quétiapine dont je suis sevrée aujourd'hui. Chaque expérience avec n'importe quel psychotropes est unique et je te laisse voir comment ça se passe pour toi. A titre personnel, cela m'a vraiment aidée sur du moyen terme ce qui me permet de m'en passer maintenant .
Alors par contre tu es en début de traitement et ça peut être un peu perturbant pendant 3 semaines (l'induction) et pour être tout à fait honnête avec toi je me méfierai quand même un peu de l'alcool... J'ai consommé pendant mon traitement, mais je suis pas une grosse buveuse donc ça se passait plutôt bien mais c'est pas non plus idéal en terme d'effet je trouve. Quand tu connais mieux la molécule c'est cool mais au début je pense qu'il est préférable de diminuer cette conso là afin de trouver petit à petit ton rythme de croisière, ça évite les mauvaise surprises.
BINAIRE a écrit
Et que pensez vous de ce mélange de prescriptions : atarax mirtazapine abilify ?
C'est courant donc ça ne me choque pas perso
Substance démoniaque a écrit
Bon, puis avec l'atarax en prime, c'est le risque de devenir très léthargique
Tu finis en beauté et je n'en attendais pas moins de ta part, l'atarax peut être prescrit à des enfants de moins de 10 ans pour des troubles du sommeil alors je t'en supplie arrête ton char.
A+
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BINAIRE a écrit
Et que pensez vous de ce mélange de prescriptions : atarax mirtazapine abilify ?
Bonne journée
Bonjour,
Bien qu'il y ait des sous forums traitant des médicaments, nous sommes un forum d'usagers de drogues, géré par des usagers de drogues et en aucun cas nos compétences nous permettraient de répondre à des questions pointues sur des traitements psychiatriques.
Cela constituerait un usage détourné de la médecine et de la pharmacie.
Cordialement
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Myozotis a écrit
Un Post Traumatic Stress Disorder? Non mais t'es sérieux là? Est ce que tu sais au moins de quoi tu parles? Permets moi d'en douter. Avec un peu de bon sens on ne se permet pas d'écrire de telles conneries..
De telles conneries? Et un témoignage culpabilisant en prime? La seule connerie que j'ai dite, c'est d'utiliser le terme "PTSD" au lieu de celui de "PSSD", post-SSRI sexual dysfunction, qui lui est bien réel. Et ce n'était pas un témoignage culpabilisant, bien au contraire, mais une mise en garde de risques liés à l'utilisation d'antipsychotique corrélée aux antidépresseurs en particulier.
La dysfonction sexuelle est un effet secondaire bien documenté de plusieurs classes d'antidépresseurs sérotoninergiques (c'est-à-dire agissant au moins en partie sur la sérotonine), y compris les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (ISRNA) et les antidépresseurs tricycliques (ATC). La dysfonction sexuelle peut avoir un impact négatif sur la qualité de vie d'une personne, ses relations et son estime de soi. Cela peut également entraîner une satisfaction réduite vis-à-vis du traitement antidépresseur, ce qui conduit à une non-observance des médicaments et entrave la guérison. Les antidépresseurs sérotoninergiques sont utilisés pour traiter une grande variété de troubles psychiatriques, y compris les troubles dépressifs et d'anxiété, le trouble obsessionnel-compulsif (TOC), le trouble de stress post-traumatique (TSPT) et les troubles alimentaires, ainsi que plusieurs troubles non psychiatriques, y compris les douleurs chroniques, les migraines, les troubles du sommeil et l'éjaculation prématurée, justement.
Le fait que les antidépresseurs sérotoninergiques aient été associés à des perturbations dans tous les aspects de la fonction sexuelle, y compris la libido, l'excitation, l'érection, la lubrification, l'orgasme et la sensation génitale, est donc d'une importance clinique primordiale, et les études menées le suggérent. Parmi les différents types de dysfonction sexuelle qui peuvent survenir pendant le traitement antidépresseur, la dysfonction érectile (DE) est peut-être unique en ce qu'elle a une classe spécifique d'antidotes pharmacologiques indiqués pour son traitement, à savoir les inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (PDE-5) (c'est-à-dire le sildénafil, le tadalafil et le vardénafil). Plusieurs études ont documenté l'association entre les antidépresseurs sérotoninergiques et la DE avec des incidences de 10 à 34 % des patients traités. Bien que la dysfonction sexuelle induite par les antidépresseurs sérotoninergiques soit généralement supposée se résoudre à l'arrêt du médicament, elle persiste chez certains patients malgré l'arrêt du traitement antidépresseur, une condition connue sous le nom de post-SSRI. Dysfonction sexuelle post-SRRI (PSSD).
Il convient de noter que bien que son nom suggérerait que le PSSD ne se réfère qu'aux ISRS, il a été décrit avec d'autres antidépresseurs agissant sur la sérotonine (par exemple, les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine-noradrénaline, la néfazodone) et est défini ici comme tel. Enfin, en juin 2019, le PSSD a obtenu une reconnaissance officielle de l'Agence européenne des médicaments en tant que dysfonction sexuelle pouvant persister après l'arrêt du traitement par ISRS/SNRI . Des symptômes tels qu'une diminution de la libido, une perte de sensation génitale (c'est-à-dire une anesthésie génitale) et un orgasme sans plaisir sont caractéristiques du PSSD. Chez les hommes, le PSSD peut également être associé à divers degrés de dysfonction érectile. La durée du PSSD peut varier; dans certaines études randomisées prospectives, la dysfonction sexuelle induite par les ISRS a persisté pendant jusqu'à 6 mois après l'arrêt du médicament, tandis que plusieurs études de cas et au moins deux grandes séries de cas ont démontré que le PSSD peut persister indéfiniment pendant de nombreuses années après l'arrêt du médicament en l'absence de dépression ou d'anxiété actives. La durée d'utilisation des antidépresseurs ayant conduit au PSSD dans une étude précédente variait entre quatre jours et 2,5 ans ; la durée du PSSD après l'arrêt du médicament variait entre un mois et 16 ans (au moment de l'étude). Des études animales soutiennent la base pharmacologique du PSSD. Une revue systématique de 14 essais contrôlés par placebo chez des rongeurs a conclu qu'une exposition précoce aux ISRS (par exemple, pendant la période néonatale) était associée à une dysfonction sexuelle permanente persistante après l'arrêt du médicament, y compris l'absence de montée (RR 0,73, IC à 95 % 0,62–0,86), l'absence d'intromission (RR 0,74, IC à 95 % 0,60–0,92) et l'absence de comportements d'éjaculation (RR 0,49, IC à 95 % 0,24–1,00).
Bien que le mécanisme exact du PSSD soit inconnu, plusieurs théories ont été suggérées. Il n'existe actuellement aucun traitement établi pour le PSSD, bien qu'il existe des rapports de cas de diverses des améliorations avec différents traitements pour des symptômes spécifiques. Plusieurs études suggèrent que le PSSD est un événement indésirable grave et irrémédiable associé à un impact négatif omniprésent sur la qualité de vie. Depuis la reconnaissance du PSSD par l'Agence européenne des médicaments en 2019, un nombre significatif de preuves concernant le PSSD a été accumulé. Cependant, aucune réponse définitive sur le risque et la prévalence du PSSD n'a été trouvée, ce qui rend difficile la communication du risque aux patients dans le cadre du processus de consentement éclairé. Les objectifs de cette étude étaient de : (1) évaluer le risque de dysfonction érectile (comme le traitement par des inhibiteurs de la PDE-5) chez les hommes ayant et n'ayant pas d'antécédents de traitement par des antidépresseurs sérotoninergiques, en l'absence de comorbidités médicales ou psychiatriques ou d'autres médicaments associés à la dysfonction érectile, et (2) estimer la prévalence de la dysfonction sexuelle post-ISRS (PSSD) chez les hommes, comme en témoigne la dysfonction érectile émergente au moment du traitement avec des inhibiteurs de la PDE-5 persistant après l'arrêt du traitement antidépresseur et sans diagnostic actif de dépression ou d'anxiété.
Les études démontrant la véracité du PSSD liée à l'utilisation prolongée des antidépresseurs s'accumulent et les témoignages emboîtent le pas. Suis la chaîne du Docteur Josef Witt Doering et tu y verras des témoignages de bon nombre de personnes ayant développé un PSSD après utilisation prolongée d'antidépresseurs. Ce phénomène n'est non seulement pas une connerie, mais il est maintenant reconnu par des études menées par des sources officielles, comme l'Annals of General Psychiatry ou la National Library of Medicine, puisque tu demandes des sources.
Myozotis a écrit
Et ben, parfait comme partage d'expérience, 1 mois sous abilify pour une raison complètement différente de celle de l'OP. Un partage d'expérience qui tend à faire flipper l'OP plus qu'autre chose. Le pire c'est que tu te permets d'affirmer des trucs délirants dont ça ;
Ce n'est pas du tout pour le faire flipper, c'est à but informatif et de prévalence. Par exemple, le risque de développer une dyskinésie tardive après une utilisation prolongée d'antipsychotique augmente de 10% chaque année chez l'utilisateur, et comme son nom le laisse suggérer, ce trouble du mouvement objectif est irréversible. Si la Valbénazine a été mise sur le marché pour diminuer les symptômes liés à la survenue de la dyskinésie tardive, ce n'est pas pour faire plaisir aux pharmaciens ni pour inventer de nouvelles maladies, c'est qu'il s'agissait d'un risque à la fois reconnu est très préoccupant.
Pour d'autres antipsychotiques atypiques, comme la clozapine par exemple, ils présentent également un risque accru de développer des maladies sanguines appelées Agranulocytose. Il faut savoir que la clozapine est le seul antipsychotique requérant des prises de sang régulières, que l'on appelle clozapinémie, afin de vérifier si un risque de baisse significative de globules blancs survient et qui serait susceptible d'engendrer une agranulocytose. La clozapine a d'ailleurs été bannie à la fin des années 70 en finlande en raison d'une prédisposition génétique existant chez les finlandais et qui s'était résultée par plusieurs morts. Si je parle de ça, c'est parce que des cas d'agranulocytose ont également été signalés avec l'abilify dont parle l'OP.
Je laisse l'OP se renseigner par lui-même, mais lorsqu'on ne possède aucune base de connaissance sur les risques liés à l'utilisation de médicaments psychiatriques, en particulier les antipsychotiques, on ne se permet pas de juger des commentaires comme "culpabilisants", on essaie d'en savoir plus et d'être ouvert. J'ai énormément lu sur le sujet pour ma part, et des ouvrages prolifiques sur cette thématique, comme ceux du Docteur Peter Breggin, psychiatre diplômé de l'université Harvard, ceux du Docteur Joanna Moncrieff, diplômée de l'Université de Londres ou du Docteur Peter Gøtzsche, cofondateur de la Collaboration Cochrane, ne manquent pas et sont extrêmement parlants.
Myozotis a écrit
Tu finis en beauté et je n'en attendais pas moins de ta part, l'atarax peut être prescrit à des enfants de moins de 10 ans pour des troubles du sommeil alors je t'en supplie arrête ton char.
Tu n'as pas compris que je ne parlais pas de l'atarax utilisé de manière individuelle pour traiter des insomnies ponctuelles ou transitoires puisque j'ai moi-même utilisé de l'atarax qui m'a bien aidé, mais de l'amoncellement de molécules affectant à la fois récepteurs sérotoninergiques, dopaminergiques tout en étant jumelés à des sédatifs à demi-vie intermédiaire. Ce n'est pas l'atarax que je juge, mais le cocktail.
Dernière modification par Substance démoniaque (Aujourd'hui à 00:58)
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Substance démoniaque a écrit
De telles conneries? Et un témoignage culpabilisant en prime? La seule connerie que j'ai dite, c'est d'utiliser le terme "PTSD" au lieu de celui de "PSSD", post-SSRI sexual dysfunction, qui lui est bien réel. Et ce n'était pas un témoignage culpabilisant, bien au contraire, mais une mise en garde de risques liés à l'utilisation d'antipsychotique corrélée aux antidépresseurs en particulier.
Ah tu n'y vois rien d'alarmiste et de culpabilisant dans tes propos. Il y a une personne qui vient d'avoir un diagnostic et un nouveau traitement et tu te permets de lui dire qu'en gros il n'aura plus de libido, qu'il perdra tout élan vital... Excuse moi mais tu te prends pour qui?
Je finis le HS ici et te renvoie au rappel des consignes de Kaneda ;
kaneda a écrit
Bien qu'il y ait des sous forums traitant des médicaments, nous sommes un forum d'usagers de drogues, géré par des usagers de drogues et en aucun cas nos compétences nous permettraient de répondre à des questions pointues sur des traitements psychiatriques.
Cela constituerait un usage détourné de la médecine et de la pharmacie
On est pas dans Science et Vie ici mais sur un forum d'autosupport. Donc, tu peux ranger tes articles du vidal car en plus tu ne réponds absolument pas à la demande de l'OP dont la question principale et la seule où on peut se permettre de répondre, est de savoir ce qu'il en est des interactions.
Comme Kaneda l'a souligné on ne peut pas se permettre de dire ce que l'on pense d'un traitement car nous n'avons pas les compétences pour! Je n'aurais pas dû dire que son traitement ne me choquait pas comme toi tu n'as pas à lui exposer les pires risques encourus. On ne sait rien sur les raisons de la mise en place de ce traitement donc quand on fait preuve d'un minimum d'honnêteté intellectuelle on ne vient pas étaler sa science pour soutenir.
Sans rancune.
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Myozotis a écrit
Ah tu n'y vois rien d'alarmiste et de culpabilisant dans tes propos. Il y a une personne qui vient d'avoir un diagnostic et un nouveau traitement et tu te permets de lui dire qu'en gros il n'aura plus de libido, qu'il perdra tout élan vital... Excuse moi mais tu te prends pour qui?
Je finis le HS ici et te renvoie au rappel des consignes de Kaneda ;
Je me prends pour quelqu'un de renseigné sur ce type de traitement et répondant à une personne demandant elle-même des renseignements et qui est fortement préoccupée, justement, par sa libido comme en témoignent les nombreux sujets que cette même personne a publiés. Rien d'HS ou d'alarmant.
Cordialement.
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Myozotis a écrit
Ah tu n'y vois rien d'alarmiste et de culpabilisant dans tes propos. Il y a une personne qui vient d'avoir un diagnostic et un nouveau traitement et tu te permets de lui dire qu'en gros il n'aura plus de libido, qu'il perdra tout élan vital... Excuse moi mais tu te prends pour qui?
Je finis le HS ici et te renvoie au rappel des consignes de Kaneda ;
Je me prends pour quelqu'un de renseigné sur ce type de traitement et répondant à une personne demandant elle-même des renseignements et qui est fortement préoccupée, justement, par sa libido comme en témoignent les nombreux sujets que cette même personne a publiés. Rien d'HS ou d'alarmant.
Cordialement.
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Myozotis a écrit
On est pas dans Science et Vie ici mais sur un forum d'autosupport. Donc, tu peux ranger tes articles du vidal car en plus tu ne réponds absolument pas à la demande de l'OP dont la question principale et la seule où on peut se permettre de répondre, est de savoir ce qu'il en est des interactions.
Tu me demandes à la fois d'argumenter et d'appuyer ces arguments par des sources. Il faudrait vraiment te décider. Il était fortement préoccupé par sa libido, je lui ai répondu.
Mais justement, je lui parle et l'averti des interactions médicamenteuses de façon limpide et intelligible. L'OP voulait retrouver une libido devenue inerte, non seulement je lui explique qu'il risque d'aggraver son problème, mais je lui donne également des informations sur les autres risques liés à ce type de traitement que son psychiatre ne lui a surement pas fournies.
Dernière modification par Substance démoniaque (Aujourd'hui à 01:18)
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Substance démoniaque a écrit
Je laisse l'OP se renseigner par lui-même, mais lorsqu'on ne possède aucune base de connaissance sur les risques liés à l'utilisation de médicaments psychiatriques, en particulier les antipsychotiques, on ne se permet pas de juger des commentaires comme "culpabilisants", on essaie d'en savoir plus et d'être ouvert.
D'où tu connais mon parcours et mes connaissances Monsieur le grand lecteur?
ON EST SUR UN FORUM DE PUDS peu importe le savoir, le vécu ou la profession on est tous.tes au même niveau. Ce qui est mis en avant ici c'est le savoir expérientiel pairjectif et toi tu n'as jamais consommé de neuroleptiques ou d'ISRS au long cours, tu ne parles pas de l'impact que cela aurait eu sur ta libido. Non tu sors des théories toutes faites et ultra anxiogènes! Ce que tu fais c'est tout sauf de la RDR en autosupport.
Il y a des effets secondaires à tout traitement, je ne remets pas en cause tes sources, je te dis juste qu'elles n'ont absolument pas leur place ici. Si la personne témoigne d'effets secondaires à la limite tu peux la rassurer en lui disant qu'elle n'est pas folle mais là ce n'est pas le cas, tu anticipes quelque chose qui n'est pas arrivé.
Cette pratique peut être extrêmement délétère et encore plus pour une personne avec une fragilité psychologique. Les risques que tu lui fais encourir peuvent être ; créer une méfiance totale envers son thérapeute ce qui peut aller jusqu'à une rupture de soin, une angoisse accentuée liée à sa situation, un arrêt brutal du traitement, une auto médication pour contrer les effets secondaires...
C'est là où c'est moi qui vient te dire que tu me la feras pas à l'envers avec ton discours appris dans ta chambre.
Je m'excuse sincèrement auprès de BINAIRE ainsi que la modération de PA pour ce HS monumentale mais franchement Substance, je pense que tu t'es trompé de plateforme.
A+
Dernière modification par Myozotis (Aujourd'hui à 01:34)
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Substance démoniaque a écrit
Il était fortement préoccupé par sa libido,
Je ne l'ai pas lu dans ce topic en tout cas, je ne vois pas écrit; quel impact aura mon traitement su ma libido. Sorry si ça a été écrit ailleurs moi je réponds seulement à la question posée ci dessus.
Cordialement
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Myozotis a écrit
D'où tu connais mon parcours et mes connaissances Monsieur le grand lecteur?
ON EST SUR UN FORUM DE PUDS peu importe le savoir, le vécu ou la profession on est tous.tes au même niveau. Ce qui est mis en avant ici c'est le savoir expérientiel pairjectif et toi tu n'as jamais consommé de neuroleptiques au long cours, tu ne parles pas de l'impact que cela aurait eu sur ta libido. Non tu sors des théories toutes faites et ultra anxiogènes! Ce que tu fais c'est tout sauf de la RDR en autosupport.
Et toi? Tu connais mon parcours et mes connaissances? Tu connais quels sont les neuroleptiques que j'ai consommés au cours de ma vie? Mes connaissances ne se basent pas uniquement que sur des articles bidons ponctionnés du vidal, comme tu dis, mais également sur des expériences personnelles, car l'abilify n'est pas le seul antipsychotique que j'ai consommé au cours de ma vie, et est certainement le seul que j'ai stoppé sur le très cours terme.
Myozotis a écrit
Il y a des effets secondaires à tout traitement, je ne remets pas en cause tes sources, je te dis juste qu'elles n'ont absolument pas leur place ici. Si la personne témoigne d'effets secondaires à la limite tu peux la rassurer en lui disant qu'elle n'est pas folle mais là ce n'est pas le cas, tu anticipes quelque chose qui n'est pas arrivé.
Tu n'as toujours pas compris. Je n'anticipe pas ce qui va arriver, mais ce qui peut arriver à un risque critique. Tous ces traitements causent des dysfonctions sexuelles lorsqu'ils sont pris de manière individuelle. Lorsqu'une personne se retrouve polymédicamentée avec des traitements occasionnant les mêmes risques, cela décuple fortement les symptômes indésirables que l'OP ne désire en aucun cas.
Myozotis a écrit
C'est là où c'est moi qui vient te dire que tu me la feras pas à l'envers avec ton discours appris dans ta chambre.
J'ai un vécu que tu ignores totalement, et je ne l'ai pas appris dans ma chambre. S'il te plait, range un peu ta manière de me parler dégradante et hyperbolique et tente de soutirer des connaissances de la part de personnes dont tu estimes instinctivement et de manière irraisonnée que leur vécu n'a pas d'importance ou n'existe pas.
Dernière modification par Substance démoniaque (Aujourd'hui à 01:46)
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Myozotis a écrit
Je ne l'ai pas lu dans ce topic en tout cas, je ne vois pas écrit; quel impact aura mon traitement su ma libido. Sorry si ça a été écrit ailleurs moi je réponds seulement à la question posée ci dessus.
Cordialement
L'OP a posé plusieurs topics liés à son traitement le même jour à la même heure, et je n'ai fait que répondre de manière synthétique à l'ensemble de ses préoccupations. Voilà.
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Substance démoniaque a écrit
Et toi? Tu connais mon parcours et mes connaissances? Tu connais quels sont les neuroleptiques que j'ai consommés au cours de ma vie?
Faut pas m'attaquer sur mes connaissances si tu veux pas que je t'attaque sur ta légitimité On est con hein?
Substance démoniaque a écrit
car l'abilify n'est pas le seul antipsychotique que j'ai consommé au cours de ma vie, et est certainement le seul que j'ai stoppé sur le très cours terme.
C'est de ça dont tu dois parler ton expérience!!!
Substance démoniaque a écrit
J'ai un vécu que tu ignores totalement, et je ne l'ai pas appris dans ma chambre. S'il te plait, range un peu ta manière de me parler dégradante et hyperbolique et tente de soutirer des connaissances de la part de personnes dont tu estimes instinctivement et de manière irraisonnée que leur vécu n'a pas d'importance ou n'existe pas.
Bien sûr qu'elles existent et ont de l'importance, tu ne les mets juste pas en valeur... Moi quand je te lis, uniquement sur ce topic, je me demande légitimement pour qui tu te prends. Tu exposes des faits en t'appuyant presque uniquement sur de la littérature scientifique et ça ne reflète en rien qui tu es. Ce que je cherche est plus profond que tes connaissances théoriques.
Je suis professionnelle de la RDR depuis plusieurs années et je suis diplômée en addictologie mais sur ce forum c'est Myoz la magnifique PUD psychiatrisée qui parle et même si j'apporte parfois mon savoir théorique je ne me base pas là dessus , car ici mon savoir c'est mon vécu.
On arrête là, je ne te répondrai plus sur ce topic car on est HS;
Bien cordialement.
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Myozotis a écrit
Bien sûr qu'elles existent et ont de l'importance, tu ne les mets juste pas en valeur... Moi quand je te lis, uniquement sur ce topic, je me demande légitimement pour qui tu te prends. Tu exposes des faits en t'appuyant presque uniquement sur de la littérature scientifique et ça ne reflète en rien qui tu es. Ce que je cherche est plus profond que tes connaissances théoriques.
C'est simple, j'associe des connaissances théoriques très légitimes à des connaissances empiriques afin de renforcer mon érudition sur des sujets qui me tiennent particulièrement à coeur. Pour te donner une idée, mon pseudo n'est pas révélateur d'une détestation de l'usage des drogues récréatives comme le pensait meumeuh dernièrement, mais surtout à l'usage de certaines substances qui m'ont torturé sur le plan personnel et corrélées aux traitements que l'OP est en train de suivre actuellement.
Si je ne tiens pas à trop exposer mon vécu, et j'en ai un très gros, crois-moi, c'est d'une part parce que je n'ai pas envie d'être jugé, même si je me doute bien que psychoactif n'est pas un endroit où le jugement est arbitraire, mais aussi et surtout parce que je n'ai pas forcément envie d'exposer tout mon parcours par le simple fait d'être humblement conscient de ne pas être le centre du monde. C'est une question de principe, d'humilité et peut-être aussi de méfiance ou de timidité pour ma part. Tout ce que je tente de faire, c'est d'apporter mon savoir à la fois théorique et personnel lié aux risques de certaines substances tout en me préservant de trop en dévoiler sur le plan personnel, car lorsqu'une personne quémande des conseils et des indications sur les traitements qu'elle reçoit, ce qui l'intéresse, c'est elle, pas moi.
Si tu veux en savoir plus sur moi, et j'ai également envie d'en savoir plus sur toi car tu m'intéresses aussi, je t'en prie, n'hésite pas à m'envoyer des MP. J'y répondrai.
Salutations chaleureuses.
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