Sevrage Bupré, 0.3mg, crise d'angoisse, seul raison que j'arrête pas. Besoin de conseils.

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1PromptU homme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Bonjour,

Bonne santé à tout le forum, je vous souhaite le meilleur pour cette année qui s'annonce être une belle année. corde-pour-se-pendre

Je suis actuellement à 0.3 mg de buprénorphine par jour, je coupe le comprimé de 0.4 mg en 4, je prends donc 3 part égale de 0.1 mg chacune, félicitation je sais compté bravo

J'ai commencé le traitement de la buprénorphine il y a un peu plus de 2 ans à cause de la codéine: je n'étais pas dépendant physiquement, mais psychologiquement, avoir pris le subutex était une erreur, mais d'un autre coté j'aurais pu aller beaucoup plus loin dans cette quête, comme la prison (fausses ordonnances) ou la mort (car mélange avec des anxiolytiques)...


Je suis passé de 2 mg à 0.3 mg, pas un seul écart, jamais. J'ai appris à le détesté une fois que j'ai appris que j'étais emprisonné et que si j’essayais de m'enfuir, c'était la punition du sevrage.

Je prends 0.1 mg le matin ou midi, 0.1 mg l’après-midi et 0.1 mg le plus tard possible avant de dormir comme ça je souffre pas au réveil.

Quand j'étais à 2 mg c'était 1 fois par jour, et les symptôme de sevrage viennent 24h après, réglé comme une horloge.

Mais avec 0.3 c'est dur ("faible" dose), je suis réglé au 3 prises quotidienne, donc je ressens le manque 3 fois par jour. Mais en moins fort que si j'étais à 2mg 

Le seul et unique syndrome de sevrage que j'arrive pas à supporter c'est la "crise d'angoisse" je sais pas si c'est ça ?
Mais une fois le manque je n'arrive plus à respirer, j'ai un poids sur mes poumons, c'est une horreur j'ai l'impression que je vais mourir d'asphyxie... Je me rappelle une nuit j'avais pas mon comprimé ce jour là, j'ai cru j'allais mourir, une horreur.. Depuis ce traumatise (appelons un chat- un chat) je n'ai plus jamais loupé un comprimé.

Pourtant je suis pas en panique ni rien, je suis calme, et ça apparait comme ça.

A noté que je prend aucun traitement ou autre médicament, ni de drogue, ni d'alcool, rien...

Si j'arrive à trouver une molécule qui supprime cette crise respiratoire, je pourrais arrêter le médicament maintenant.

Mon psychiatre ne me propose rien,
Je suis bloqué avec lui, il est juste là pour me fournir l'ordonnance et bye bye

On a essayé une myriade d'anti-dépresseur (trop d'effet indésirable), et de neuroleptique (tercian, j'avoue que c'est intéressant car ça donne une claque, peut être comme ça je pourrai dormir toute la journée et prendre moins de buprénorphine, passé à 0.2 mg voir 0.1 mg si j'ai la chance ??),

Il ne veut pas me fournir d'anxiolytique, il a pas tort vu que c'est dangereux et mon passif avec les médicaments mais avec 0.3 mg c'est pas si dramatique ?...

Voici des idées que j'ai eu: thc/cbd, anxiolytique, coupé encore plus le comprimé soit passé de 0.250mg puis 0.200mg à 0.150mg ?

En espérant que c'était digeste à lire, si vous avez des conseils, avis, questions, je prend, sincèrement.
Je sais que j'y suis presque je vois le bout du tunnel, je dois y arriver.

Avant j'avais pas d'objectif en tête, je vivais le jour au jour, pas d’inquiétude, pas de projet/travail pas d'ami, pas de petite amie.

Alors je me suis promis que si j'y arrive je signe à l'armée de terre, je me suis mis à la diététique et au sport, j'ai pris du poids je me sens mieux et fort.

Mais ce syndrome de manque me barre la route..

Mes meilleurs vœux.

Dernière modification par 1PromptU (02 janvier 2023 à  17:24)

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Nineta femme
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Coucou,
Je pense sincèrement que tu dois te faire aider par un professionnel plus au fait !!! Genre un addicto tout simplement parce là tu enchaine une baisseseul et sans suivi adapté dans le but d'arrêter. Et seul c'est hyper difficile... un sevrage de TSO n'est pas à prendre à la légère tout en oubliant que OK ya le sevrage mais ya aussi le PAWS et là c'est encore une autre histoire. Envisager une hospitalisation dans un service adapté me paraît être le meilleur conseil que je puisse te donner. Je l'ai fait, partiellement, car jme suis fait virer mais ça c'est une autre histoire.... en attendant je crois que si j'avais pu aller au bout de cette hospi le sevrage dur n'aurait été qu'un détail et notamment grâce à l'aide chimique apporté sur cette période. Le catapressan est un antihypertenseur ultra efficace et utilisé uniquement en milieu hospitalier. On te donne généralement du tercian mais aussi des myorelaxants et parfois un peu de benzos (même si ils évitent au maximum). Bref il y a des solutions tu peux éventuellement commencer par aller dans un CSAPA et voir ce qui est possible dans ta région. Pour finir, arrêter son TSO n'est pas une finalité en soi, mais pour l'avoir fait je comprends ta démarche. Force à toi !

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Psychonogeek homme
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salut  c'est dommage que pour une dépendance psychologique a la codéine, tu te retrouve dépendant physiquement a la buprenorphine . c'est plus difficile a sevrer !  j ai l impression que tu n avait pas mesuré le potentiel de dépendance de cette molécule . mais tu n'a pas a t en vouloir , c'est le médecin qui ne  ta pas assait  expliqué  les  enjeux de se mode de traitement . ( sevrage  ou maintenance ) pour le moment j'ai l'impression que les diminution deviennent pratiquement impossible . tu pourrais essayer de passer a un autre opiacés ou opioïdes qui stimule différemment les récepteurs opiacés  apparament il existe plusieurs sous types de récepteurs mu ( 7   qui ont était mis en évidence pour le moment) chaque opiacés a une affinitée plus ou moins  élevée  pour chacun d entre eux . une expérience américaine  en double aveugle  avec le tramadol comme aide au sevrage a donnée de très bon résultats . je pense que sa peut être une solution  pour te permettre de passer le cap  physique du sevrage . c'est particulièrement efficace pour  faire disparaitre les symptômes physique du sevrage de la buprenorphine . reste a l utiliser intelligemment . sur  20 a 40 jours pour éviter de développer une dépendance a se dernier . après il te restera le côté Psychologique qui apparament te pose de réels problèmes. tu peux essayer d abord une phase de stabilisation sa devrait pas poser de problème vue le bas dosage de bupre sur ne 10 aîne de jours puis une phase de  réduction progressive sur  trentaines de jours je suis persuadé que sa peut donner de bons résultats . tu ne perd rien a essayer .

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Nineta femme
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Psychonogeek a écrit

salut  c'est dommage que pour une dépendance psychologique a la codéine, tu te retrouve dépendant physiquement a la buprenorphine . c'est plus difficile a sevrer !  j ai l impression que tu n avait pas mesuré le potentiel de dépendance de cette molécule . mais tu n'a pas a t en vouloir , c'est le médecin qui ne  ta pas assait  expliqué  les  enjeux de se mode de traitement . ( sevrage  ou maintenance ) pour le moment j'ai l'impression que les diminution deviennent pratiquement impossible . tu pourrais essayer de passer a un autre opiacés ou opioïdes qui stimule différemment les récepteurs opiacés  apparament il existe plusieurs sous types de récepteurs mu ( 7   qui ont était mis en évidence pour le moment) chaque opiacés a une affinitée plus ou moins  élevée  pour chacun d entre eux . une expérience américaine  en double aveugle  avec le tramadol comme aide au sevrage a donnée de très bon résultats . je pense que sa peut être une solution  pour te permettre de passer le cap  physique du sevrage . c'est particulièrement efficace pour  faire disparaitre les symptômes physique du sevrage de la buprenorphine . reste a l utiliser intelligemment . sur  20 a 40 jours pour éviter de développer une dépendance a se dernier . après il te restera le côté Psychologique qui apparament te pose de réels problèmes. tu peux essayer d abord une phase de stabilisation sa devrait pas poser de problème vue le bas dosage de bupre sur ne 10 aîne de jours puis une phase de  réduction progressive sur  trentaines de jours je suis persuadé que sa peut donner de bons résultats . tu ne perd rien a essayer .

Je suis d'accord psychonogeek il faut prendre son temps. J'ai eu 2 semaines de tramadol pour arrêt methadone et je trouve que c'est un peu repousser le manque physique au final. Car si ton cerveau est déjà habitué aux opiacés il te le fera savoir d'une façon ou d'une autre. Quand j'ai arrêté le tramadol au bout de 2 semaines, j'ai eu le syndrome des jambes sans repos de façon très violente, des tremblements, beaucoup de sudation et plusieurs nuits sans sommeil. Alors oui je pense que je n'aurais pas pu m'en passer lors de ces deux premières semaines sans metha, clairement j'aurais fait la carpe. Mais, je crois que la souffrance physique, quelque soit son degré, est de toute façon inévitable. Ce n'est qu'un mauvais moment à passer mais c'est encore une fois, selon moi, mieux de se faire aider pour le sevrage et de bien continuer le suivi  dans l'année qui suit. Comme on me l'a justement dit en hospitalisation, le plus dur ce n'est pas le sevrage en lui-même (si bien pris en charge) mais ce qu'il se passe "après". Vivre sereinement sans cette molécule prend du temps et ça il faut l'accepter. Je ne dis pas ça pour te désespérer 1promptU au contraire en avoir conscience ça permet de mieux le vivre. J'imagine que certaines personnes ont passées ces étapes sans aucune difficulté mais sincèrement je demande à voir...

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1PromptU homme
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Nineta et Psychonogeek

Merci pour vos réponses,

Je suis passé à 0.2 mg depuis hier, ça va je m'attendais au pire.

Je vais y aller doucement, mais aujourd'hui j'ai quelque chose que je n'avait pas les derniers fois, c'est un but, la détermination m'aide, le sport aussi.


Je vais pas faire le malin et penser que c'est déjà gagné, ça peut pas être si simple..

Et oui dommage le doc ne m'a pas donné une claque de réalité.. Mais ce serai trop facile de lui mettre la faute.

Je continue à 0.2 mg par jour, si j'y arrive tant mieux, je continue comme ça.

Sinon je m’inscris dans un centre d’addictologie.

Prochain rendez vous, je vois pour la cyamémazine.   

Le tramadol LP j'avais essayé ça quand j'avais plus rien, avec un tableau de conversion j'ai pas fait n'importe quoi.

Le tramadol LP c'est le seul qui est efficace à mes yeux comparé à la codéine..

Je vous tiens au courant,

Je sens que c'est le bon moment, de toute façon on peut pas mourir de manque à la buprénorphine... On peut replonger dans un plus gros dosage, mais bon si je prend plus que la pharma me donne, je vais finir en manque et ça c'est bien pire et plus important.. La seul raison que j'ai jamais utiliser la buprénorphine récréativement.


Je vous tiens à jour wink

Merci encore, bonne semaine :love:

Dernière modification par 1PromptU (03 janvier 2023 à  19:17)

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le tramadol  comme je t expliqué  , utilisé intelligemment pour un sevrage physique  de la buprenorphine donne de très bon résultats a des dosages aussi faible que 0.2  mg  bref  c est  une solution intéressante  .  comme tu veux  en tout cas si tu galère avec la réduction progressive de bupre tu peux essayer cette technique . o.2 de bupre équivaut a 6 mg de morphine .

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comme tu a remarqué nineta , pour  un sevrage physique de la méthadone  je pense qu  il  doit être possible d utiliser le tramadol dans certains cas , mais  il faut être a de très bas dosages de metha genre 1 mg ou 0,5 mg et sûrement plus que 2 semaines je dirais une 30 aine de jours  avec l aide d autres traitements symptômatique  et surtout une bonne santé physique et mentale et une bonne situation ( logement thunes etc...)

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Nineta femme
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Oui tout à fait, il faut tout un contexte pour que cela se passe au mieux et le tramadol reste une bonne option on est d'accord. Je pense juste qu'il y a un petit effet rebond à l'arrêt et perso j'ai eu du tramadol 3 jours après l'arrêt total de la methadone. Je suis passée de 10 à 0mg en 3 semaines pour ma fin de traitement et je n'avais qu'un myorelaxant pour descendre jusque là. Du coup forcément le tramadol a bien joué son rôle. En gros on est d'accord il ya plein de solutions pour souffrir le moins possible big_smile !!!!

Dernière modification par Nineta (03 janvier 2023 à  21:18)

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en fait  je pense q en (modulant),   avec  les principales molécules opiacés ou opioïdes  et les divers àutres traitement symptomatique comme la clonidine,   il  doit être possible de réussir des sevrages physique,   avec des symptômes minimes  . par contre la difficultée  réside dans les mois voir les années qui suivent l arrêt( PWAS) ont peut lire sur le psychowiki,  que d après les études , la majoritée  des consommateurs d opiacés rechutes a plus ou moins long terme . sinon il subissent une pejoration , de leurs qualités de vie qui les poussent souvent  a la consommation d alcool ou autre molécules psychactives .
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Clairement ! Nineta

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Nineta femme
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1PromptU a écrit

Nineta et Psychonogeek

Merci pour vos réponses,

Je suis passé à 0.2 mg depuis hier, ça va je m'attendais au pire.

Je vais y aller doucement, mais aujourd'hui j'ai quelque chose que je n'avait pas les derniers fois, c'est un but, la détermination m'aide, le sport aussi.


Je vais pas faire le malin et penser que c'est déjà gagné, ça peut pas être si simple..

Et oui dommage le doc ne m'a pas donné une claque de réalité.. Mais ce serai trop facile de lui mettre la faute.

Je continue à 0.2 mg par jour, si j'y arrive tant mieux, je continue comme ça.

Sinon je m’inscris dans un centre d’addictologie.

Prochain rendez vous, je vois pour la cyamémazine.   

Le tramadol LP j'avais essayé ça quand j'avais plus rien, avec un tableau de conversion j'ai pas fait n'importe quoi.

Le tramadol LP c'est le seul qui est efficace à mes yeux comparé à la codéine..

Je vous tiens au courant,

Je sens que c'est le bon moment, de toute façon on peut pas mourir de manque à la buprénorphine... On peut replonger dans un plus gros dosage, mais bon si je prend plus que la pharma me donne, je vais finir en manque et ça c'est bien pire et plus important.. La seul raison que j'ai jamais utiliser la buprénorphine récréativement.


Je vous tiens à jour wink

Merci encore, bonne semaine :love:

Ça va le faire tu as l'air motivé mais permets moi d'insister un peu sur une demande de soutien concret. Et pas que pour le sevrage ! Tiens nous au courant ! smiley-gen013

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1PromptU homme
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Quand vous parler de Tramadol c'est de la libération prolongé ou direct ?

En LP le dosage le plus faible que j'ai lu c'est 50 mg et en conversion avec la morphine c'est 1/5 soit l’équivalent de 0.3333 mg quelque chose du genre en buprénorphine.

Ou alors on peut trouve du tramadol à faible dose utilisé en pédiatrie ou pour les animaux si c'est possible.

Vous soulevé un point important, l'après sevrage.

Même si je n'ai jamais eu un écart depuis le début ? Et que j'ai un mode de vie irréprochable
Et que je pars à l'armée (c'est l'objectif 2024)

Et que je veux plus de médoc ?

Je risque d'en vouloir encore ? Ça fait peur...


Je vais parler du tramadol/cyamémazine/myorelaxant/accommodation au psy

Dernière modification par 1PromptU (04 janvier 2023 à  01:34)

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Psychonogeek homme
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après  avoir réussi ton sevrage,   tu  verras  comment ton corps réagit  niveau sommeil , moral. , bien être général , avec une bonne condition physique , et une hygiène de vie correct il est tout a fait possible que tu puissent   vivre sans avoir besoin de reprendre des opiacés. seul le temps te le dira . oui demande pour le tramadol  LP ou li peut importe du moment que sa couvre les signes de manque de la bupre . avec le LP tu auras besoin de moins de prises par jour tu peux essayer avec le  tercian perso je trouve qu'il a trop d effets secondaires  si tu a peur de cette crise qui t oppresse les voies respiratoires se sont des symptômes de manque des opiacés comme une espèce de boule dans le gorge qui serre . tu peux demander un anti spasmodique .

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je vais pas te mentir dans la dépendance aux opiacés les taux de rechutes sont particulièrement élevés  .   tout va dépendre de la capacité de ton  système nerveux central  a
retrouver et  réequilibrer,   un bon niveau  de neurotransmetteurs  ,. d'après les dernières recherches  en neurosciences se serait le taux de déplétion en dopamine,.  qui se caractérise les mois qui suivent le sevrage par un sujet qui reste prostré, sans motivation ni énergie psychique  ou physique (asthénie )et dysphorie  qui  poussèrait  aux fréquentes  rechutes

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il ne faut pas oublier l alimentation  qui doit être  de qualité et variée , cela aidera ton  corps et ton cerveau  a avoir tout les  principaux nutriments précurseurs  pour pouvoir synthèser naturellement  avec plus de facilité toutes les neuro hormones donc il a besoin pour un fonctionnement optimal . je me souviens du post sur PA d une jeune fille  qui a raconté son sevrage a la dure de méthadone son pseudo CT goldeneyers je crois . après 2 mois d une  souffrance insensée  ,elle c était sevré physiquement mais les mois qui ont suivi ,elle est restée prostré sur son canapé mort vivante elle ne ressentait plus aucune émotion  sans énergie vide elle a essayé de soulager cette état avec du speed   comme ont peut l imaginer sa lui a  fait pété les plombs après quelques semaines . bref finalement elle a rendemandée a son Csapa  de la remettre sous méthadone .a mon avis  ont a là  les symptômes typique d une déplétion  dopaminergique . perte de motivation  , asthénie  , perte d intérêt etc... la rechute était inévitable a cause d un  système nerveux qui a perdu sa capacité  a synthétiser  et libérer  naturellement   de la dopamine qui ne l oublions pas et précurseurs d autres catécholamines . j ai toujours pensait que les endorphines jouées un rôle mineur dans les symptômes  post sevrage , et même le sevrage initial vue quelle sont dégradées  très rapidement par les enzymes enkephalinases même injectées directement dans le cerveau elle produisent  une analgésie très fugace .

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Échec Scolaire homme
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Psychonogeek a écrit

enzymes enkephalinases même injectées directement dans le cerveau

On a fait ça sur des êtres humains ou on a testé sur des souris ?
Je n’ai trouvé qu’une source, l’Universalis, qui ne précise pas.

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comme souvent  sur nos pauvres petits rats  , avec leurs petites bouilles ! mais c'est  bien caractérisé avec des  résultats beaucoup plus pointus   dans un jargon de chercheurs en neurosciences .

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après un exercice physique intense,   le corps continue a libérer  les  quelques heures qui suivent  quantités de diverses endorphines qui sont dégradées au fur et a mesure  . moi qui fait de la course a pied je ressens bien leurs effets  appaisant qui  s estompent au fur et a mesure . après elle. agissent sur différents récepteurs distribuait un peu  partout le long  des voies nerveuse  même dans le ventre notre deuxième cerveau .

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Psychonogeek homme
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un autre signe  que la dopamine joue un rôle important , dans les effets  positifs des opiacés  ainsi que  dans leurs sevrages . pendant la phase aiguë du sevrage ont retrouve un syndrome des jambes sans repos  qui serait en partie dû a une hyperactivité des neurones dopaminergique  .

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Nineta femme
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1PromptU a écrit

Quand vous parler de Tramadol c'est de la libération prolongé ou direct ?

En LP le dosage le plus faible que j'ai lu c'est 50 mg et en conversion avec la morphine c'est 1/5 soit l’équivalent de 0.3333 mg quelque chose du genre en buprénorphine.

Ou alors on peut trouve du tramadol à faible dose utilisé en pédiatrie ou pour les animaux si c'est possible.

Vous soulevé un point important, l'après sevrage.

Même si je n'ai jamais eu un écart depuis le début ? Et que j'ai un mode de vie irréprochable
Et que je pars à l'armée (c'est l'objectif 2024)

Et que je veux plus de médoc ?

Je risque d'en vouloir encore ? Ça fait peur...


Je vais parler du tramadol/cyamémazine/myorelaxant/accommodation au psy

Coucou,  oui effectivement on m'a donné en LP 50mg 4 fois par jour perso.
Ça aide énormément mais à l'arrêt ça a été un peu sportif. En plus du tercian j'ai eu un peu de valium que j'ai arrêté rapidement et pour les troubles du sommeil teralene pendant 1 mois. Ça le fait en vrai ne tkt pas !!! Et il ya autant de façon de vivre le sevrage qu'il y a de personnes. J'ai entendu plein de témoignages et ça dépend de tellement de choses... de mon côté tout allait bien après le physique sauf que j'ai déclaré une maladie de peau affichante et je me suis en même temps mis le défi de reprendre mes études c'est plutôt ce combo qui m'a fait flancher psychologiquement et ce pourquoi aujourd'hui après 6 mois d'arrêt j'ai eu besoin du zoloft 50mg et de l'abilify 5mg/jour. Mon problème de peau est traité même si les poussées sont toujours là elles sont plus espacées, pour mes études ça roule du coup dans ma tête ça va mieux. Alors oui j'ai envie de consommer et je compense avec la bouffe mais j'ai un beau passé de toxicomanie et je suis passée de 90mg de methadone/ jour à zéro seule et en 5 ans donc l'un dans l'autre.. tu as des projets tu sais où tu vas crois en toi et au pire un échec n'en est jamais vraiment un wink !!!! Demande le combo à ton médecin et bouge fait des activités qui te plaisent, fais du sport mais pas en trop violent, ne reste pas trop seul sinon tu vas cogiter sur les douleurs bref va au bout de ton projet et n'anticipe pas l'avenir, on est tous différents !!!!

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